Actualités :: Alphabétisation et éducation non formelle : Le CES montre la voie à (...)

Du 4 au 11 septembre à Ouagadougou s’est tenue la première session extraordinaire de l’année 2007 du Conseil économique et social (CES) sous le thème "Valorisation du capital humain pour un développement durable : le défi de l’alphabétisation et de l’éducation non formelle au Burkina Faso". La cérémonie de clôture, intervenue le mardi 11 septembre dernier, a été présidée par le président du CES, Thomas Sanon.

La première session extraordinaire de l’année 2007 du Conseil économique et social (CES) s’est tenue du 4 au 11 septembre à Ouagadougou. Placée sous le thème "Valorisation du capital humain pour un développement durable : le défi de l’alphabétisation et de l’éducation non formelle au Burkina Faso", elle a été l’occasion pour les conseillers membres de faire des recommandations diverses en vue d’une amélioration de ces deux types d’enseignements.

Les conseillers ont recommandé, pour ce faire, la mise en place d’une structure à caractère national chargée de l’animation de la mobilisation sociale en faveur de l’alphabétisation et de l’éducation non formelle, présidée par le président du Faso. Le relèvement de l’allocation budgétaire en faveur des acteurs de ces enseignements et l’élargissement des sources de financement du Fonds pour l’alphabétisation et l’éducation non formelle, tout comme la valorisation des acquis, ont fait l’objet de recommandations.

Le président du CES, Thomas Sanon, a indiqué que l’alphabétisation et l’éducation non formelle constituaient des "instruments privilégiés" pour la valorisation du capital humain. "Le Conseil a positivement apprécié le rôle et la place du Fonds pour l’alphabétisation et l’éducation non formelle pour leur promotion dans notre pays". Il a ainsi lancé un appel à l’Etat, aux institutions et au secteur privé afin de développer, intensifier leurs appuis audit Fonds.

Avec le concours de plusieurs acteurs dont Catherine Kaboré, directrice générale de l’Alphabétisation et de l’Education non formelle, Paul Taryam Ilboudo de l’Oeuvre suisse d’entraide ouvrière (OSEO) et Fati Ouédraogo, consultante à l’ambassade du Canada, les participants ont été entretenus sur les atouts de ces enseignements. Daouda Bayili, ancien ministre, a, pour sa part, fait une communication sur la problématique de leur financement.

Par Philippe BAMA

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