Actualités :: Burkina/ Réponses aux besoins sanguins dans nos hôpitaux : L’amicale des (…)

Afin d’anticiper sur les besoins pressants de sang dans nos hôpitaux en cette période d’hivernage, l’amicale des femmes de la fondation, avec sa tête sa présidente Jeannie Bertille Zangreyanogho, et la directrice générale adjointe en charge du support de la Bank of Africa (BOA), Aïssata Sondo/Ouédraogo, mobilise ses membres.

Vue des poches de sang déjà collectées sur les centaines attendues

Hommes comme femmes, supérieurs comme subalternes, aucune exception n’a été faite. Ils se sont tous mobilisés pour donner leur sang, ce liquide précieux souvent en manque dans les hôpitaux.
Soucieux des défis liés au sang dans nos hôpitaux en période d’hivernage, l’amicale des femmes de la BOA se tient chaque année prête à renouveler son action de don de sang.

Stéphanie Naré, agent de la banque BOA et donneur

Cette initiative est la 6e du genre pour l’amicale des femmes de la banque. La directrice générale en charge du support l’a trouvée importante en précisant qu’elle permettra de sauver des vies et surtout de venir en aide aux personnes blessées sur les fronts dans ce contexte de crise sécuritaire que traverse notre pays.

Patrick Douamba, agent de la banque BOA et donneur

Sauver des vies, surtout les enfants

En s’appuyant sur les dires de la DGA, la présidente a aussi ajouté le fait que c’est une manière pour elles, en tant que femmes, d’inculquer dans leur milieu la solidarité, mais également de contribuer à répondre à ce besoin de la société.

Aïssata Sondo/Ouédraogo, directrice générale en charge du support de la banque BOA

Pour Patrick Douamba, cet agent de la banque et également père de famille, il n’est pas à sa première fois. L’homme donne depuis qu’il était étudiant et étant maintenant dans le monde professionnel, il continue de le faire, surtout quand il pense aux touts petits. Il promet de le faire tant que sa santé le lui permettra.
Stéphanie Naré, elle est à son troisième don. Et elle justifie son acte par le fait qu’elle est mère. « Et quand je sais qu’il y a des femmes enceintes, des enfants qui sont dans les hôpitaux et qui sont dans le besoin, surtout en cette saison pluvieuse où il y a le pic du paludisme. C’est un acte qui paraît anodin, mais il faut savoir que des gens meurent par manque de sang », a-t-elle expliqué.

Bertille Zangreyanogho, présidente des femmes de la Fondation BOA au Burkina

Yvette Zongo
Lefaso.net

Suspension de Securicom Protect : « Nous comptons sur (…)
Affaire appel à l’assassinat de Bassolma Bazié : Le (…)
Burkina/Santé oculaire : Le ministère de la Santé lance (…)
Burkina/Enseignement supérieur : L’université Joseph (…)
Burkina/ Sécurité : 22 nouveaux officiers sapeurs-pompiers
Burkina/ Santé oculaire : L’ONG Light for the World fait (…)
Dédougou : Un homme condamné à trois mois de prison avec (…)
Boucle du Mouhoun : Les acteurs éducatifs dressent le (…)
Loterie nationale burkinabè (LONAB) : Deux heureux (…)
Relations clients-opérateurs de téléphonie mobile : Moov (…)
Burkina Faso : Lilium Mining aux côtés des enfants des (…)
Entrepreneuriat : La Banque Commerciale du Burkina (…)
Burkina : « Ma manière de diriger ne va pas fondamentalement
Demandes de terrains et d’autorisations d’aménagement : (…)
Burkina/Santé : Des équipements pour renforcer le (…)
Lutte contre la fraude : Saisie de produits de (…)
Burkina/Production semencière : Le ministre de (…)
OCADES Caritas Burkina : Une croissance de 19% du volume (…)
Financement du Projet de mobilité et de développement (…)
Gaoua : Quatre élèves condamnés à des peines de travail (…)
Crash du vol AH 5017 : « Il faut faire en sorte que (…)

Pages :



LeFaso.net
LeFaso.net © 2003-2023 LeFaso.net ne saurait être tenu responsable des contenus "articles" provenant des sites externes partenaires.
Droits de reproduction et de diffusion réservés