Evénements de Gasseliki et de Nafona : Le Collectif contre l’impunité et la stigmatisation des communautés (CISC) réclame de la lumièreAprès l’organisation de la marche, le 12 janvier 2019, pour dénoncer les tueries de Yirgou, le Collectif contre l’impunité et la stigmatisation des communautés (CISC) revient avec cette déclaration pour réclamer la vérité sur les récents événements qui ont fait des morts à Gasseliki et à Nafona. Lisez plutôt ! Au début de l’année 2019, le monde découvrait l’horreur à Yirgou. Plusieurs dizaines de personnes y ont été massacrées. Les premières victimes ont été tuées par des individus non identifiées ; par la suite, des Burkinabè ont tué d’autres Burkinabè sur la seule base de leur identité culturelle. Le Collectif contre l’impunité et la stigmatisation des communautés (CISC) est né sur les cendres de cette tragédie pour assurer la veille dans le règlement des questions urgentes (justice, prise en charge des rescapés) et mener des actions pour préserver notre pays de telles atrocités dans le futur. Pendant que les morts de Yirgou ne sont pas encore tous enterrés, la violence a refait surface à Gasseliki et à Nafona. Sur la même période, à Nafona dans la province de la Comoé, suite à un incivisme généralisé, trois personnes ont trouvé la mort dont un civil et deux policiers dans l’exercice de leur fonction. Ces faits sont inadmissibles dans une République et sont une conséquence de la faillite de l’Etat qui peine à assurer la sécurité de tous les Burkinabè. • de faire toute la lumière sur ces évènements et de poursuivre leurs auteurs et les punir conformément aux lois et règlements en vigueur ; • de prendre des mesures fortes pour ramener la sérénité et le calme à Gasseliki et d’assurer la sécurité de tous les Burkinabè ; |
Vos commentaires
1. Le 18 janvier 2019 à 17:52, par Machia En réponse à : Evénements de Gasseliki et de Nafona : Le Collectif contre l’impunité et la stigmatisation des communautés (CISC) réclame de la lumière
Votre organisation a fait faux pas au debut.Cequi fait que je n’ai plus confiance en vous.