Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Communiqué
vendredi 23 juin 2017.
Il est ouvert, au titre de l’année 2017, cent (100) postes d’assistants au profit des institutions publiques d’enseignement supérieur et quarante-sept (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche au profit du Centre National de la Recherche Scientifique et Technologique (CNRST).
Les postes d’assistants se répartissent comme suit :
1- UNIVERSITE OUAGA I Pr JOSEPH KI-ZERBO
N° d’ordre
Disciplines
Spécialité
Nombre de postes
1
Etudes
théâtrales
Arts du
spectacle
01
2
Linguistique
Linguistique
descriptive
01
3
Civilisation
américaine
Civilisation
américaine
01
4
Lettres
modernes
Littérature
américaine
01
5
Traduction
et Interprétariat
Traductologie française- langues
nationales
01
6
Etudes
Germaniques
Civilisation
allemande
01
Littérature
allemande
01
7
Géographie
Géographie
urbaine
01
Géographie
physique
01
8
Sociologie
de la communication
Sociologie
de la communication
01
9
Psychologie
de l’éducation
Psychologie
cognitive
01
10
Neuropsychologie
Neuropsychologie
01
11
Histoire et
archéologie
Histoire et
la philosophie pratique
01
Histoire spécialité
politique et sociale
02
12
Informatique
Informatique
02
13
Chimie
Chimie
organique
01
Chimie
physique
01
14
Physique
Physique
générale
01
15
Mathématiques
Algèbre
01
16
Phytopathologie
Phytopathologie
01
17
Biochimie-microbiologie
Biotechnologie
microbienne
01
18
Géologie
Génie civil
01
19
Ecologie
animale
Ecologie
animale
01
20
Gestion
Gestion
01
21
Economie
Economie
02
22
Droit
Droit
01
23
Sociologie
Sociologie
du sport
01
24
Démographie
Démographe/statisticien
01
TOTAL
31
2- UNIVERSITE OUAGA II
N° d’ordre
Discipline
Spécialité
Nombre de postes
1
Chimie
Chimie
01
2
Mathématiques
Mathématiques
01
3
Informatique
Informatique
01
4
Biologie
Biologie
01
5
Physique
Physique
01
6
Gestion
Gestion
02
7
Economie
Economie
02
8
Droit
Droit
public interne
01
Droit privé
01
9
Sciences de l’éducation
Sciences de l’éducation
01
TOTAL
12
3- UNIVERSITE DE KOUDOUGOU
N° d’ordre
Discipline
Spécialité
Nombre de postes
1
Sciences de
l’éducation
Sociologie
de l’éducation
01
2
Science de
l’information et de la communication
01
3
Chimie
Organique
01
4
Minérale
01
5
Informatique
Technologie Web/génie logiciel éducatif
01
6
Histoire
Histoire
politique
01
7
Géographie
Géographie
rurale
01
8
Lettres
Modernes
Littérature
française
01
9
Economie
Gestion
01
10
Economie
internationale
01
11
Technique
industrielle
Génie civil
01
12
Technique
tertiaire
Comptabilité
financière
01
TOTAL
12
4- UNIVERSITE NAZI BONI
N° d’ordre
Discipline
Spécialité
Nombre de postes
1
Droit
Droit privé
ou droit public
02
2
Sciences Economiques et de Gestion
Gestion ou
économie
02
3
Informatique
Informatique
01
4
Génie civil
Génie civil
01
5
Informatique
Télécommunications
01
6
Physique
Electronique
ou électrotechnique
01
7
Chimie
Organique ou minérale
01
8
Sciences agronomiques
Phytopathologie
01
TOTAL
10
5- CENTRE UNIVERSITAIRE POLYTECHNIQUE DE DEDOUGOU
N° d’ordre
Discipline
Spécialité
Nombre de postes
1
Agronomie-phytopathologie
Agronomie-phytopathologie
01
2
Biochimie-Virologie
Biochimie-Virologie
01
3
Biochimie-Microbiologie
Biochimie-Microbiologie
01
4
Biologie animale et physiologie
Biologie
animale et Physiologie animale
02
5
Chimie
Chimie
01
6
Elevage option production animale
Elevage option production animale
01
7
Elevage option santé animale
Elevage option santé animale
01
8
Eaux, forêts option faune
Eaux, forêts option faune
01
9
Socio-Economie rurale
Socio-Economie rurale
01
TOTAL
10
6- CENTRE UNIVERSITAIRE POLYTECHNIQUE DE FADA N’GOURMA
N° d’ordre
Discipline
Spécialité
Nombre de postes
1
Physique
Electricité
Energie
01
1
Physique
Mécanique
01
2
Mathématiques
Statistiques
01
3
Réseaux informatiques et télécommunication
Réseaux
informatiques et télécommunication
02
4
Génie Civil
Bâtiment
02
5
Environnement
Environnement
02
6
Géophysique appliqué
Géophysique appliqué
01
TOTAL
10
7- CENTRE UNIVERSITAIRE POLYTECHNIQUE DE OUAHIGOUYA
N° d’ordre
Discipline
Spécialité
Nombre de postes
1
Economie
Economie
01
2
Gestion
Gestion
01
3
Informatique
Analyste
programmeur
01
4
Informatique
Réseaux et
internet des objets
01
5
Droit
Droit
01
6
Etudes anglophones
Etudes
anglophones
01
7
Lettres modernes
Littératures
françaises
01
8
Urbanisme
Aménagement
du territoire
01
9
Energie et génie climatique
Energie du
bâtiment
01
10
Génie mécanique
Maintenance
01
TOTAL
10
8- INSTITUT DES SCIENCES
N° d’ordre
Discipline
Spécialité
Nombre de postes
1
Mathématiques
Analyse ou
Algèbre
02
2
Physique
Physique
nucléaire/Mécanique quantique ou thermique ou Energétique
01
3
Chimie
Chimie
organique ou chimie minérale ou chimie physique
01
4
Sciences de
la vie et de la terre
Génétique
ou Géologie ou Biochimie ou Physiologie végétale
01
TOTAL
05
9- CENTRE NATIONAL DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE
Les postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche se répartissent comme suit :
N° d’ordre
Emploi
Discipline
Spécialité
Institut/localité
Nbre de postes
INSS
1
Attachés de recherche
Géographie
Géographie rurale (Foncier et de la sécurité
Alimentaire)
INSS/Ouagadougou
01
2
Anthropologie
Anthropologie de la santé (de l’eau et des
maladies)
INSS/Ouagadougou
01
3
Droit
Droit public
INSS/Ouagadougou
01
4
Sociologie ou Anthropologie
Sociologie ou anthropologie de la santé
INSS/Kaya
01
5
Anthropologie
Anthropologie de la santé
INSS/Nanoro
01
6
Sciences de l’information et de la communication
Information et communication
INSS/Ouagadougou
01
Total INSS
06
INERA
7
Attachés de recherche
Génie rurale
Irrigation
INERA/Farako-Bâ/Bobo-Dioulasso
01
8
Agroforesterie
Ecophysiologie
INERA/Farako-Bâ/Bobo-Dioulasso
01
9
Système d’élevage
Pastoralisme
INERA/Kantchari/Dori
01
10
Biologie animale
Nutrition animale
INERA/Saria/Koudougou
01
11
Agronomie/Science du sol
Agro-pédologie
INERA/Saria/Koudougou
01
12
Agronomie/Science du sol
Agro-pédologie
INERA/ Niangoloko
01
13
Agronomie
Système de production
INERA/Kouaré/ FadaN’Gourma
01
14
Biologie et écologie végétale
Phytopathologie
INERA/Farako-Bâ/Bobo-Dioulasso
01
15
Biologie et écologie végétale
Entomologie
INERA/Farako-Bâ/Bobo-Dioulasso
01
16
Ingénieursderecherche
Agronomie
Agronomie
INERA/Banfora
01
17
Agronomie
Selection fruitière
INERA/Banfora
01
18
Agronomie
Agroéconomiste
INERA/Farako-Bâ/Bobo-Dioulasso
01
19
Zootechnie
Zootechnie
INERA/Di/Tougan
01
20
Eaux et forêt
Faune
INERA/Kouaré/FadaN’Gourma
01
21
Eaux et forêt
Microbiologieforestière
INERA/CREAF/Kamboinsé
01
22
Economieagricole
Agroeconomie
INERA/Kantchari/Dori
01
23
Agronomie
Sélectionvégétale
INERA/Farako-Bâ/Bobo-Dioulasso
01
24
Eaux et forêts
Botanique/Systématique
INERA/CREAF/Kamboinsé
01
25
Agronomique
Phytopatologie
INERA/Niangologo
01
Total INERA
19
IRSAT
26
Attachés de recherche
Physique
Energétique
IRSAT/DRO/BOBO
01
27
Ingénierie de l’eau et de l’assainissement
Analyse des eaux et techniques de traitement et
d’épuration des eaux usées
IRSAT/ DSN OUAGA
01
28
Biotechnologie
Nutrition humaine et toxicologie alimentaire
IRSAT/DRO/DTA BOBO
01
29
Physique
Sciences nucléaire appliquées
IRSAT/ OUAGA
01
30
Ingénieurs de recherche
Energie
Energie solaire photovoltaïque
IRSAT/DRO/BOBO
01
31
Energie
Energie renouvelable
IRSAT/DE/OUAGA
01
32
Génie rural ou mécanique
Machinisme agricole ou conception mécanique
IRSAT/DM/OUAGA
02
IRSAT/DM/BOBO
01
33
Chimie
Chimie organique
IRSAT/DSN/OUAGA
01
34
Biochimie
Génie biologique agroalimentaire
IRSAT/DTA/DRO/BOBO
01
35
Industries agroalimentaires
Technologie alimentaire
IRSAT/DTA/DRO/BOBO
01
Total IRSAT
12
IRSS
36
Attachés de recherche
Nutrition
Nutrition humaine
IRSS/BIOMED/Ouagadougou
01
37
Microbiologie
Bactériologie ou virologie
IRSS/BIOMED-SP/Ouagadougou
01
38
Sciences biologiques
Immunologie
IRSS/BIOMED-SP/Kaya
01
49
Santé publique
Epidémiologie
IRSS/BIOMED-SP/Kaya
01
40
Génétique
Génétique humaine et génomique
IRSS/Nanoro
01
41
Statistique
Biostatistique
IRSS/Nanoro
01
42
Entomologie
Entomologie médicale
IRSS/BIOMED-SP/BOBO
01
43
Entomologie/Parasitologie
Ecologie parasitaire
IRSS/BIOMED-SP/BOBO
01
44
Ingénieurs de recherche
Médecine
Clinicien
IRSS/MEPHATRA-PH/Ouagadougou
01
45
Industrie pharmaceutique
Contrôle de qualité des médicaments
IRSS/U-PHARMA Ouagadougou
01
Total IRSS
10
TOTAL GENERAL CNRST
47
A- CONDITIONS DE CANDIDATURE
Peuvent faire acte de candidature audit recrutement, les candidats des deux (02) sexes, âgés de dix-huit (18) ans au moins et de quarante-cinq (45) ans au plus au 31 décembre 2017, non atteints de surdité ou de bégaiement, titulaires d’un doctorat/PhD pour les assistants et attachés de recherche et d’un master/ingéniorat/DESS/DEA pour les ingénieurs de recherche et remplissant les conditions d’aptitudes physique et mentale pour l’exercice de l’emploi postulé.
Les fonctionnaires âgés d’au plus quarante-cinq (45) ans au 31 décembre 2017 et remplissant les conditions de diplôme, sont autorisés à prendre part au recrutement.
Les demandes de candidature sont adressées à Monsieur le Ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale et seront reçues aux périodes, jours, heures et lieu ci-après :
Période : du 26 juin au 14 juillet 2017 ;
Jours de réception : du lundi au samedi ;
Heures de réception : de 08 heures à 14 heures ;
Lieu de réception : Direction des Ressources humaines du Ministère de
L’Enseignement Supérieur, de la Recherche
Scientifique et de l’Innovation, au rez-de-chaussée.
B- COMPOSITION DU DOSSIER DE CANDIDATURE
Les dossiers doivent contenir les pièces suivantes :
une demande manuscrite timbrée à 200 francs CFA, datée et signée du candidat et comportant son adresse exacte (BP, e-mail et numéro de téléphone) ;
la fiche de notification des choix par ordre de préférence (à retirer et remplir lors du dépôt) ;
un exemplaire de la thèse pour les assistants et attachés de recherche et du mémoire pour les ingénieurs de recherche ;
une photocopie légalisée de la Carte Nationale d’Identité Burkinabè en cours de validité ;
un certificat de nationalité burkinabè ;
un casier judiciaire datant de moins de 3 mois ;
une copie légalisée de l’attestation de SND ou de la dispense du SND s’il y a lieu ;
un curriculum vitae daté et signé du candidat ;
un exemplaire des productions scientifiques dûment reliés s’il y a lieu
une copie de la quittance de paiement des frais de dépôt des dossiers ;
un extrait d’acte de naissance ou toute autre pièce en tenant lieu ;
une copie certifiée conforme des diplômes universitaires (Baccalauréat y compris) ou des attestations en cours de validité ;
un certificat de visite et de contre visite timbré à 300 francs CFA attestant que le candidat n’est pas atteint de surdité ou de bégaiement délivré par un médecin pour les candidats aux postes d’assistants ;
la dernière situation administrative pour les fonctionnaires.
Aucun dossier incomplet ne sera reçu.
Le recrutement comporte une phase d’instruction des dossiers et une phase d’entretien oral.
Les candidats à un premier emploi dans la Fonction publique sont informés qu’à l’issue de l’admission, ils seront intégrés en qualité de fonctionnaires pour une durée indéterminée avec droit à la pension de retraite et à la promotion et mis à disposition dans les institutions publiques d’enseignement supérieur et de recherche pour lesquelles ils auront postulé.
Les fonctionnaires admis seront détachés dans les institutions publiques d’enseignement supérieur et de recherche pour lesquelles ils auront postulé.
L’intégration ou le détachement prendra effet pour compter du 1er novembre 2017.
Les lieux et dates du déroulement des entretiens oraux seront communiqués ultérieurement.
Pour le Ministre et par délégation,
le Secrétaire général
Pr Tanga Pierre ZOUNGRANA
Officier de l’Ordre National
..Civilisation américaine, civilisation allemande..... Mon oeil oui ! Nous ne connaissons même pas notre propre civilisation et c’est celle des autres qui nous importe.
Qui peut me faire le lien entre des études en "civilisation américaine" ou "allemande " et le développement du Burkina ou de l’Afrique ? Si on parlait encore de civilisation égyptienne, c’est encore plus proche de la nôtre puisqu’on sait qu’il y a eu des pharaons noirs.... Courage dans vos errements...
Mais on parle de langue
dans les facs on dit "civilisation" mais il s’agit de la langue en tant que vecteur de communication. Et oui, si tu analyses l’évolution de l’Allemagne en ce moment en Afrique tu comprendras le besoin de former des gens capables de dialoguer avec eux. Pour les américains je ne parle même pas tellement l’anglais est devenue la langue du monde des affaires et de la diplomatie. Pour info, tu verras aussi des départements de civilisations africaines dans des pays occidentaux (surtout aux usa et en Allemagne)
Bravo ! J’espère que c’est un début d’assainissement dans le recrutement des enseignants du supérieur et des chercheurs. Sinon, le désordre qui y régnait permettait seulement à certains enseignants de placer leurs protégés et copines.
Pour l’internaute Tinga Biiga, on sent que vous être vraiment ignorant (sans injure, sens étymologique du terme, c’est-à-dire quelqu’un qui ne sait pas). Si les autres sont devant nous, c’est justement parce qu’ils savent tout de nous. Allez-y en Occident et vous verrez qu’ils existe dans leurs universités des spécialistes sur toutes les régions du monde.
Mes chers amis, je vois de plus en plus sombre surtout pour le développement technique et technologique du pays. Vous êtes concentré depuis la création de vos universités sur les lettres et sciences humaines. Avec tous les respects pour ces domaines abstraits, on ne peux rien développer concretement dans un pays tel que le Burkina en se concentrant seulement sur des réchersches théoriques. Déjà Leonardo da Vinci l’avait reconnu au quinzième siècle : "La Mécanique est le Paradis des Sciences Mathématiques, parce qu’on parvient avec elle au Fruit (si viene al frutto) des Connaissances Mathématiques." Donc sans traiter et appliquer sérieusement les Sciences des Ingenieurs, point de développement humain consistent au Burkina Faso. Alors on sera condamné d’office à être seulement consommateurs des produits et résultats des autres. Désolé, très dommage les amis !!!
Hussein, ton problème est que tu pense avoir compris. mais en réalité c’est une simple pensée, une illusion. c’est pas sur que tu vas comprendre cela car tu accorde peu d’importance aux lettres, sciences humaines et sociales. je veux dire qu’ici, c’est un mensonge à soi-même. Tout ce que tu as écrit, tu es en train de te mentir, de mentir à toi-même et non aux lecteurs. En 2017, affirmer que pour le Développer de l’Afrique, une sciences ou technique X est plus indispensable qu’une autre est ineptie intellectuelle. La formule qui conduit au développement n’est pas une formule très claire a+b= développement. Si non, à la date d’aujourd’hui, tous les pays le serait car il leur suffirait d’appliquer la formule et c’est fini. Même les pays dit développés n’ont pas une idée ou une formule claire de comment on a fait pour être là où on est. en bricolant qu’ils sont arriver là où ils sont. En rappel, avant le développement de la mécanique et des mathématiques, ces pays avaient atteint un niveau de développement que nos pays n’ont pas encore atteint malgré le développement de la technique et des mathématiques chez nous. le développement socio-économique d’un pays n’est pas corrélé positivement au développement de la mécanique et des mathématiques dans ce pays. Toutes les sciences ou techniques sont nécessaires à la co-construction du développement et une n’est pas plus indispensable qu’une autre. Suffit-il d’avoir des évidences scientifique, techniques ou mathématiques pour que ça soit appliquer par les politiques ? suffit-il que les politiques prônent ou vulgarisent quelque chose pour que les populations adhèrent ? pourquoi les populations n’adhèrent pas systématiquement à la promotion des toilettes/WC ? faut-il les mathématiques et la technique pour amener la population à y adhérer ? le problème de l’être humain, c’est que chacun se dit et chacun dit, c’est d’abord moi, ma famille, mon quartier ou village, ma région, mon pays, ma discipline ou sciences et les autres en derniers. c’est ça le sous-dévéloppement. les choses ne vont pas là où ça doit aller. c’est pour cela, on te dira que le développement, ce n’est pas la croissance mais c’est la justice sociale, la juste répartition des biens et des services. à chaque discipline ou domaine son mérite. un pays peut connaitre la croissance sans le développement car, avec la croissance, les voleurs de la République ont augmenter leur part de vol et la croissance n’est pas profitable à la base. aussi en absence de croissance le pays peut se développer si les voleurs de la République diminuent leurs vols et procède à une meilleure distribution de ce qui est produit. vois tu dans tout ça on ne parle pas de technique ou de mathématiques. j’espère que tu as un peu compris maintenant.
Eh collègue L. Amadou Hamane, il faut savoir lire entre les lignes ! Il n’a pas été question dans mon posting d’abandonner les lettres et sciences humaines pour se consacrer seulement à la technique (les maths étant seulement un outil) pour booster le développement du pays. Mais il suffit de sortir à l’intérieur du Burkina pour constater les faits (toutes ces réalisations et ouvrages bâclées qui sont plutôt dangéreux qu’utiles aux populations. Prends seulement la route N4 de Ouaga à Fada et viens me dire si on peut développer sans technique ou sans les moyens techniques de se créer), il ne s’agit pas de faire la grande gueule pour des futilités. Il te faut relire l’histoire de l’évolution des peuples (considère l’évolution d’un quelconque pays d’Afrique francophone depuis l’accession à l’indépendence avec celle d’un pays asiatique comme la Corée du Sud). Pourquoi les asiatiques se développent matériellement mieux que les africains ? Les Blancs ont vaincu les Noirs à cause de la supériorité technologique (canons et mitrailleuses). Et je crois que les choses n’ont pas encore changé ou bien ? Ou bien penses-tu sérieusement que vous pourrez googler (ou avec vos TIC) des recettes pour faire un développement quelconque qui fonctionne ?
Eh collègue L. Amadou Hamane, il faut savoir lire entre les lignes ! Il n’a pas été question dans mon posting d’abandonner les lettres et sciences humaines pour se consacrer seulement à la technique (les maths étant seulement un outil) pour booster le développement du pays. Mais il suffit de sortir à l’intérieur du Burkina pour constater les faits (toutes ces réalisations et ouvrages bâclées qui sont plutôt dangéreux qu’utiles aux populations. Prends seulement la route N4 de Ouaga à Fada et viens me dire si on peut développer sans technique ou sans les moyens techniques de se créer), il ne s’agit pas de faire la grande gueule pour des futilités. Il te faut relire l’histoire de l’évolution des peuples (considère l’évolution d’un quelconque pays d’Afrique francophone depuis l’accession à l’indépendence avec celle d’un pays asiatique comme la Corée du Sud). Pourquoi les asiatiques se développent matériellement mieux que les africains ? Les Blancs ont vaincu les Noirs à cause de la supériorité technologique (canons et mitrailleuses). Et je crois que les choses n’ont pas encore changé ou bien ? Ou bien penses-tu sérieusement que vous pourrez googler (ou avec vos TIC) des recettes pour faire un développement quelconque qui fonctionne ?
Hussein, je pense que les réponses aux questions que tu poses se trouvent dans ton post. lorsque tu dis : "Mais il suffit de sortir à l’intérieur du Burkina pour constater les faits (toutes ces réalisations et ouvrages bâclées qui sont plutôt dangereux qu’utiles aux populations. Prends seulement la route N4 de Ouaga à Fada et viens me dire si on peut développer sans technique ou sans les moyens techniques de se créer)". peux tu m’expliquer pourquoi sommes nous à cette situation ? Non, tu ne sais pas. simplement parce que des experts comme toi on penser qu’il suffit d’avoir des réalisations techniques bâclées ou non et obtenir l’adhésion des bénéficiaires potentiels au projet. En Afrique beaucoup d’objets techniques ou de réalisation ont été diffusés/vulgarisés mais n’ont pas été appropriés/utilisés de façon optimale par les bénéficiaires. Pourquoi ? parce que simplement les dimensions socio-culturelle n’ont pas été prise en compte. d’où la nécessité d’avoir les sciences humaine set sociales qui accompagne ta technique et ses sciences. tu as aussi dit : "Pourquoi les asiatiques se développent matériellement mieux que les africains ?" la réponse à cette question n’est pas essentiellement ou exclusivement technique. elle est même principalement culturelle. Les asiatiques n’ont pas changé de langue comme les africains, d’où la nécessité de se faire accompagner par les linguistes en Afrique. Aussi, le développement matériel doit être encré dans la culture (cas des asiatiques). Si le matériel ou la technologie est importé, il faut aussi les sciences humaines et sociales pour faire la jonction et aider à encrer cela dans la culture. la culture n’est rien d’autre que l’ensemble des solution qu’un peuple trouve pour résoudre les problèmes auxquels il est confronté. tout peuple est confronté à un besoin d’alimentation. donc il trouve des réponse culturelles à cela. ya en qui ont la babenda, le chitoumou, le gapal, etc. et l’art culinaire est une réponse à un besoin, c’est la culture. pour se deplacer, ya en qui tout les peuples marches, y a en qui invente le velo, la moto, la voiture, etc. comme les peuples se voient, s’observe bien avant les TICS, alors il y a des emprunts culturels, on prendre les meilleures réponses de l’autre et on continue. mais les peuples n’empruntent pas les mêmess réponses et ne se les approprient pas de la même façon ni à la même vitesse, d’où les recours à toutes les disciplines pour faciliter les importations qu’on souhaite. En Afrique, on a amener des variétés de Maïs hybride, qui doublent ou triplent la production mais les pays ont réfusé. jusqu’à demain, la planification familiale, la promotion des toilettes, etc. ne passe pas comme de simple lettre à la poste. pourquoi ? parce que la promotion de ce qu’on considéré (même à tord) comme bonne réponse technique ou mathématique à aussi besoin d’associer les autres discipline. c’est pour cela j’ai dit, je dis et je dirai : "2017, affirmer que pour le Développer de l’Afrique, une sciences ou technique X est plus indispensable qu’une autre est ineptie intellectuelle". Je pense aussi que ce sont les avis d’expert comme qui ont améné certains gouvernement du passé à privilégier les douaniers comme un corps spécifique et mieux payé parce qu’ils contribuent plus au développement, on a privilégié les magistrats sous prétexte qu’il leur faut un bon salaire pour être indépendant, et les agents du ministère de l’économie revendique les leures, etc. ainsi, on fait comme si l’instituteur de ville ou de brousse ne contribue. or, ces corps favorisé ont tous été enseigné par cet instituteur. et eux tous sont soigné par les agents de santé, dans une situation complexe de ce genres, toutes les fonctions de la fonction publique sont interdépendantes et privilégier certains sous prétexte qu’ils font ceci ou cela, c’est fruster les autres qui en toute légitimité font revendiquer. le Développement ne se limite pas et ne pas plus favoriser par la techniques et mes mathématiques. c’est une vision simpliste et limité de la réalité qui est plus complexe que cela.
Hamane, je vois que nous sommes d’accord sur certains points : cultiver une identité culturelle africaine et adapter les technologies aux besoins du développement des nations africaines ainsi que de l’unité africaine. Mais jette un coup d’oeil aux profils recherchés par le CNRST si-haut. Y a-t’il un seul poste pour enseigner et mener der recherches sur une langue nationale ? Et pourquoi vos universités africaines depuis plus de cinquante ans n’ont jamais pensé à s’imposer une langue africaine et à adapter la mentalité africaine ? Cheikh Anta Diop a beaucoup écrit sur tout ce dont tu as parlé plus haut déja même avant l’ accession aux indépendences des pays. Qu’est-ce que vous les Hommes des lettres, des sciences humaines et sociales en avez fait pour le bonheur des nations africaines jusqu’aujoud’hui ? Le débat est fort intéressant mais on ne peut pas le continuer ainsi. Laisse moi un numéro si cela te dit, quand je serai de passage à Ouaga je m’annoncerai pour qu’on puisse le développer. Salut, paix et joie !
Hussein, là je te donne raison sur tout ce que tu viens de dire. Personnellement, je suis trop dessus de nos département ou facultés de sciences humaines et sociales. A l’université de Ouagadougou, à l’UFR SHS, beaucoup de départements ont besoin qu’on fasse des études sur elles pour leur propre développement. les enseignants chercheurs de ces département passent leur temps à faire des études hors de l’université pour développer telle ou telle chose or, leur propre département connaissent tous les problème de fonctionnement. Si c’était l’université d’un pays voisin qui connaissait ce phénomène de chevauchement ou de doublement des années académiques et qu’on cherchaient des experts pour réaliser une étude et proposer les meilleures solutions, tu allais voir nos professeurs se présenter comme candidats. et voila que c’est leur propre université qui a se problème on ne sent pas qu’il y a des chercheurs experts làbas. les enseignants chercheurs de l’université, ressemblent à ces marabouts qui peuvent te rendre riches et eux mêmes ils sont pauvres. ils peuvent t’aider à optimiser ton entreprise mais eux mêmes leur entreprises ne marche pas. c’est pour cela j’aime dire qu’il ya peu d’intellectuels au Burkina FAso mais il ya des lettres, des gens qui ont été loin très loin à l’école, à l’université, des gens qui ont cumulé tous les titres de prof mais ils sont donc suffisamment lettrés mais qui ont très peu contribué au dévéloppement de leur pays (excepté la formation des étudiants) ils n’ont jamais inventés quoi que ce soit pour profit du peuple. Pire, certains se prostituent aux voleurs de la republique pour mieux voler el peuple. Hussein, tu as raison sur tous ces points.
N’importe quoi pour le recrutement CNRST !!! le CNRST moura si vous ne vous réveiller pas !! Que celui qui sait de quoi je parle comprendre, les autres n’ont qu’à observer seulement pour faire constat très bientôt !! Avec des types de recrutement bidon !!
J’aurais aime pose ma question directement. Est ce avec toutes les conditions édictées un burkinabé résident a l’extérieur a une chance en moins de 2 semaines de déposer un dossier ? Casier judiciaire, certificat de visite et ensuite entretien oral. Pour inciter nos fils et frères de la diaspora de revenir il faut être un peu plus imaginatif a moins que l’on ait vraiment pas besoin d’eux.
Il faudrait que tous les candidats qui remplissent les conditions puissent compétir. Il faudrait de la vigilance dans le recrutement au niveau du CNRST pour ne pas laisser des candidats qui restent à la maison et qui se retrouvent être admis. Il faudrait exclure les directeurs des instituts et de leurs adjoints dans les jurys parce qu’on évite des recrutements bidons qu’on a connus de par le passé parce qu’ils placent leurs parents, copines etc.
Bonjour,les conditions de recrutement pose probleme pour les professionnels(fonctionnaires).je pense qu’on doit sauter le verrou de la limitation d’age car il d’agit d’une these ou master.or le systeme LMD suppose que toute personne peut maintement entreprendre des etudes de haut niveau et esperee un jour postule a ces postes pourvu qu’ielle soit competente dc je demande qu’on leve la limitation d’age pour les fonctionaires.en plus a la fonvtion publiqueje crois que c’est 48 ans pour les concours professionnels.encore un magouille du MPP..benito le rebelle !!!!!
Aidez moi a comprendre. Depuis quand il ya une specialite en sciences de l’education qui est "Science de l’information et de la communication" ?. On croyait que le temps des mauvaises pratiques etait revolu mais non. Quelqu’un veut placer son neveux, sa niece, copine ou je ne sais quoi. Mais nous vous avons a l’oeil. Apres le recrtutement je ferai mes enquetes a l’Universite de Koudougou pour voir le profil de ce assistant en sceinces de l’education evec specialisation en "Science de l’information et de la communication" qu’ils vont recruter. Je vais pondre un article dans la presse pour que tout le monde sache ce qui s’est passe.
Il n’ya pas une specialisation en sciences de l’education qui est "Science de l’information et de la communication".
Mieux vaut tard que jamais !.. nous présentons nos excuses aux candidats pour n’avoir pas pu réagir à temps afin d’apporter certaines précisions.
Nous informons que les frais de dossiers s’élèvent à 25 000 F. Et la quittance est à retirer dans l’institution (Université ou CNRST) où le poste est ouvert et sur lequel le premier choix du candidat s’est porté.
La fiche de notification des choix est à retirée sur place au lieu de dépôt, au Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation.
Il faut ajouter que l’harmonisation du recrutement des assistants, des attachés et ingénieurs de recherche de toutes les Institutions d’Enseignement supérieur et de recherche est une première, avec des insuffisances comme toute oeuvre humaine. Nous travaillerons à prendre en compte toutes vos remarques objectives pour améliorer notre travail. Merci
Je souhaite que pour plus de professionnalisme dans la gestion des ressources humaines, l’on étudie bien les notions avant de les employer dans leur contexte. "Les fonctionnaires qui seront admis seront détachés dans les IESR" pour l’administration oui mais pas pour y enseigner alors qu’ils sont recrutés pour enseigner. Les enseignants dans les IESR ne sont pas détachés mais y sont mis à disposition.
Vos commentaires
1. Le 23 juin 2017 à 19:35, par Tenga Biiga En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
..Civilisation américaine, civilisation allemande..... Mon oeil oui ! Nous ne connaissons même pas notre propre civilisation et c’est celle des autres qui nous importe.
Qui peut me faire le lien entre des études en "civilisation américaine" ou "allemande " et le développement du Burkina ou de l’Afrique ? Si on parlait encore de civilisation égyptienne, c’est encore plus proche de la nôtre puisqu’on sait qu’il y a eu des pharaons noirs.... Courage dans vos errements...
2. Le 24 juin 2017 à 05:46, par 2 1 En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Mais on parle de langue
dans les facs on dit "civilisation" mais il s’agit de la langue en tant que vecteur de communication. Et oui, si tu analyses l’évolution de l’Allemagne en ce moment en Afrique tu comprendras le besoin de former des gens capables de dialoguer avec eux. Pour les américains je ne parle même pas tellement l’anglais est devenue la langue du monde des affaires et de la diplomatie. Pour info, tu verras aussi des départements de civilisations africaines dans des pays occidentaux (surtout aux usa et en Allemagne)
3. Le 24 juin 2017 à 09:34, par Vraiment En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Qu’est ce que çà côute de mettre le montant de la quittance pour plus de transparence ? Felicitations pour le reste !!!
4. Le 24 juin 2017 à 11:13, par Citoyen En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Bravo ! J’espère que c’est un début d’assainissement dans le recrutement des enseignants du supérieur et des chercheurs. Sinon, le désordre qui y régnait permettait seulement à certains enseignants de placer leurs protégés et copines.
Pour l’internaute Tinga Biiga, on sent que vous être vraiment ignorant (sans injure, sens étymologique du terme, c’est-à-dire quelqu’un qui ne sait pas). Si les autres sont devant nous, c’est justement parce qu’ils savent tout de nous. Allez-y en Occident et vous verrez qu’ils existe dans leurs universités des spécialistes sur toutes les régions du monde.
5. Le 24 juin 2017 à 12:02, par Hussein En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Mes chers amis, je vois de plus en plus sombre surtout pour le développement technique et technologique du pays. Vous êtes concentré depuis la création de vos universités sur les lettres et sciences humaines. Avec tous les respects pour ces domaines abstraits, on ne peux rien développer concretement dans un pays tel que le Burkina en se concentrant seulement sur des réchersches théoriques. Déjà Leonardo da Vinci l’avait reconnu au quinzième siècle : "La Mécanique est le Paradis des Sciences Mathématiques, parce qu’on parvient avec elle au Fruit (si viene al frutto) des Connaissances Mathématiques." Donc sans traiter et appliquer sérieusement les Sciences des Ingenieurs, point de développement humain consistent au Burkina Faso. Alors on sera condamné d’office à être seulement consommateurs des produits et résultats des autres. Désolé, très dommage les amis !!!
Le 25 juin 2017 à 07:45, par Hamane En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Hussein, ton problème est que tu pense avoir compris. mais en réalité c’est une simple pensée, une illusion. c’est pas sur que tu vas comprendre cela car tu accorde peu d’importance aux lettres, sciences humaines et sociales. je veux dire qu’ici, c’est un mensonge à soi-même. Tout ce que tu as écrit, tu es en train de te mentir, de mentir à toi-même et non aux lecteurs. En 2017, affirmer que pour le Développer de l’Afrique, une sciences ou technique X est plus indispensable qu’une autre est ineptie intellectuelle. La formule qui conduit au développement n’est pas une formule très claire a+b= développement. Si non, à la date d’aujourd’hui, tous les pays le serait car il leur suffirait d’appliquer la formule et c’est fini. Même les pays dit développés n’ont pas une idée ou une formule claire de comment on a fait pour être là où on est. en bricolant qu’ils sont arriver là où ils sont. En rappel, avant le développement de la mécanique et des mathématiques, ces pays avaient atteint un niveau de développement que nos pays n’ont pas encore atteint malgré le développement de la technique et des mathématiques chez nous. le développement socio-économique d’un pays n’est pas corrélé positivement au développement de la mécanique et des mathématiques dans ce pays. Toutes les sciences ou techniques sont nécessaires à la co-construction du développement et une n’est pas plus indispensable qu’une autre. Suffit-il d’avoir des évidences scientifique, techniques ou mathématiques pour que ça soit appliquer par les politiques ? suffit-il que les politiques prônent ou vulgarisent quelque chose pour que les populations adhèrent ? pourquoi les populations n’adhèrent pas systématiquement à la promotion des toilettes/WC ? faut-il les mathématiques et la technique pour amener la population à y adhérer ? le problème de l’être humain, c’est que chacun se dit et chacun dit, c’est d’abord moi, ma famille, mon quartier ou village, ma région, mon pays, ma discipline ou sciences et les autres en derniers. c’est ça le sous-dévéloppement. les choses ne vont pas là où ça doit aller. c’est pour cela, on te dira que le développement, ce n’est pas la croissance mais c’est la justice sociale, la juste répartition des biens et des services. à chaque discipline ou domaine son mérite. un pays peut connaitre la croissance sans le développement car, avec la croissance, les voleurs de la République ont augmenter leur part de vol et la croissance n’est pas profitable à la base. aussi en absence de croissance le pays peut se développer si les voleurs de la République diminuent leurs vols et procède à une meilleure distribution de ce qui est produit. vois tu dans tout ça on ne parle pas de technique ou de mathématiques. j’espère que tu as un peu compris maintenant.
Le 25 juin 2017 à 17:44, par Hussein En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Eh collègue L. Amadou Hamane, il faut savoir lire entre les lignes ! Il n’a pas été question dans mon posting d’abandonner les lettres et sciences humaines pour se consacrer seulement à la technique (les maths étant seulement un outil) pour booster le développement du pays. Mais il suffit de sortir à l’intérieur du Burkina pour constater les faits (toutes ces réalisations et ouvrages bâclées qui sont plutôt dangéreux qu’utiles aux populations. Prends seulement la route N4 de Ouaga à Fada et viens me dire si on peut développer sans technique ou sans les moyens techniques de se créer), il ne s’agit pas de faire la grande gueule pour des futilités. Il te faut relire l’histoire de l’évolution des peuples (considère l’évolution d’un quelconque pays d’Afrique francophone depuis l’accession à l’indépendence avec celle d’un pays asiatique comme la Corée du Sud). Pourquoi les asiatiques se développent matériellement mieux que les africains ? Les Blancs ont vaincu les Noirs à cause de la supériorité technologique (canons et mitrailleuses). Et je crois que les choses n’ont pas encore changé ou bien ? Ou bien penses-tu sérieusement que vous pourrez googler (ou avec vos TIC) des recettes pour faire un développement quelconque qui fonctionne ?
Le 25 juin 2017 à 18:13, par Hussein En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Eh collègue L. Amadou Hamane, il faut savoir lire entre les lignes ! Il n’a pas été question dans mon posting d’abandonner les lettres et sciences humaines pour se consacrer seulement à la technique (les maths étant seulement un outil) pour booster le développement du pays. Mais il suffit de sortir à l’intérieur du Burkina pour constater les faits (toutes ces réalisations et ouvrages bâclées qui sont plutôt dangéreux qu’utiles aux populations. Prends seulement la route N4 de Ouaga à Fada et viens me dire si on peut développer sans technique ou sans les moyens techniques de se créer), il ne s’agit pas de faire la grande gueule pour des futilités. Il te faut relire l’histoire de l’évolution des peuples (considère l’évolution d’un quelconque pays d’Afrique francophone depuis l’accession à l’indépendence avec celle d’un pays asiatique comme la Corée du Sud). Pourquoi les asiatiques se développent matériellement mieux que les africains ? Les Blancs ont vaincu les Noirs à cause de la supériorité technologique (canons et mitrailleuses). Et je crois que les choses n’ont pas encore changé ou bien ? Ou bien penses-tu sérieusement que vous pourrez googler (ou avec vos TIC) des recettes pour faire un développement quelconque qui fonctionne ?
Le 26 juin 2017 à 07:42, par Hamane En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Hussein, je pense que les réponses aux questions que tu poses se trouvent dans ton post. lorsque tu dis : "Mais il suffit de sortir à l’intérieur du Burkina pour constater les faits (toutes ces réalisations et ouvrages bâclées qui sont plutôt dangereux qu’utiles aux populations. Prends seulement la route N4 de Ouaga à Fada et viens me dire si on peut développer sans technique ou sans les moyens techniques de se créer)". peux tu m’expliquer pourquoi sommes nous à cette situation ? Non, tu ne sais pas. simplement parce que des experts comme toi on penser qu’il suffit d’avoir des réalisations techniques bâclées ou non et obtenir l’adhésion des bénéficiaires potentiels au projet. En Afrique beaucoup d’objets techniques ou de réalisation ont été diffusés/vulgarisés mais n’ont pas été appropriés/utilisés de façon optimale par les bénéficiaires. Pourquoi ? parce que simplement les dimensions socio-culturelle n’ont pas été prise en compte. d’où la nécessité d’avoir les sciences humaine set sociales qui accompagne ta technique et ses sciences. tu as aussi dit : "Pourquoi les asiatiques se développent matériellement mieux que les africains ?" la réponse à cette question n’est pas essentiellement ou exclusivement technique. elle est même principalement culturelle. Les asiatiques n’ont pas changé de langue comme les africains, d’où la nécessité de se faire accompagner par les linguistes en Afrique. Aussi, le développement matériel doit être encré dans la culture (cas des asiatiques). Si le matériel ou la technologie est importé, il faut aussi les sciences humaines et sociales pour faire la jonction et aider à encrer cela dans la culture. la culture n’est rien d’autre que l’ensemble des solution qu’un peuple trouve pour résoudre les problèmes auxquels il est confronté. tout peuple est confronté à un besoin d’alimentation. donc il trouve des réponse culturelles à cela. ya en qui ont la babenda, le chitoumou, le gapal, etc. et l’art culinaire est une réponse à un besoin, c’est la culture. pour se deplacer, ya en qui tout les peuples marches, y a en qui invente le velo, la moto, la voiture, etc. comme les peuples se voient, s’observe bien avant les TICS, alors il y a des emprunts culturels, on prendre les meilleures réponses de l’autre et on continue. mais les peuples n’empruntent pas les mêmess réponses et ne se les approprient pas de la même façon ni à la même vitesse, d’où les recours à toutes les disciplines pour faciliter les importations qu’on souhaite. En Afrique, on a amener des variétés de Maïs hybride, qui doublent ou triplent la production mais les pays ont réfusé. jusqu’à demain, la planification familiale, la promotion des toilettes, etc. ne passe pas comme de simple lettre à la poste. pourquoi ? parce que la promotion de ce qu’on considéré (même à tord) comme bonne réponse technique ou mathématique à aussi besoin d’associer les autres discipline. c’est pour cela j’ai dit, je dis et je dirai : "2017, affirmer que pour le Développer de l’Afrique, une sciences ou technique X est plus indispensable qu’une autre est ineptie intellectuelle". Je pense aussi que ce sont les avis d’expert comme qui ont améné certains gouvernement du passé à privilégier les douaniers comme un corps spécifique et mieux payé parce qu’ils contribuent plus au développement, on a privilégié les magistrats sous prétexte qu’il leur faut un bon salaire pour être indépendant, et les agents du ministère de l’économie revendique les leures, etc. ainsi, on fait comme si l’instituteur de ville ou de brousse ne contribue. or, ces corps favorisé ont tous été enseigné par cet instituteur. et eux tous sont soigné par les agents de santé, dans une situation complexe de ce genres, toutes les fonctions de la fonction publique sont interdépendantes et privilégier certains sous prétexte qu’ils font ceci ou cela, c’est fruster les autres qui en toute légitimité font revendiquer. le Développement ne se limite pas et ne pas plus favoriser par la techniques et mes mathématiques. c’est une vision simpliste et limité de la réalité qui est plus complexe que cela.
Le 26 juin 2017 à 12:02, par Hussein En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Hamane, je vois que nous sommes d’accord sur certains points : cultiver une identité culturelle africaine et adapter les technologies aux besoins du développement des nations africaines ainsi que de l’unité africaine. Mais jette un coup d’oeil aux profils recherchés par le CNRST si-haut. Y a-t’il un seul poste pour enseigner et mener der recherches sur une langue nationale ? Et pourquoi vos universités africaines depuis plus de cinquante ans n’ont jamais pensé à s’imposer une langue africaine et à adapter la mentalité africaine ? Cheikh Anta Diop a beaucoup écrit sur tout ce dont tu as parlé plus haut déja même avant l’ accession aux indépendences des pays. Qu’est-ce que vous les Hommes des lettres, des sciences humaines et sociales en avez fait pour le bonheur des nations africaines jusqu’aujoud’hui ? Le débat est fort intéressant mais on ne peut pas le continuer ainsi. Laisse moi un numéro si cela te dit, quand je serai de passage à Ouaga je m’annoncerai pour qu’on puisse le développer. Salut, paix et joie !
Le 26 juin 2017 à 22:33, par Hamane En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Hussein, là je te donne raison sur tout ce que tu viens de dire. Personnellement, je suis trop dessus de nos département ou facultés de sciences humaines et sociales. A l’université de Ouagadougou, à l’UFR SHS, beaucoup de départements ont besoin qu’on fasse des études sur elles pour leur propre développement. les enseignants chercheurs de ces département passent leur temps à faire des études hors de l’université pour développer telle ou telle chose or, leur propre département connaissent tous les problème de fonctionnement. Si c’était l’université d’un pays voisin qui connaissait ce phénomène de chevauchement ou de doublement des années académiques et qu’on cherchaient des experts pour réaliser une étude et proposer les meilleures solutions, tu allais voir nos professeurs se présenter comme candidats. et voila que c’est leur propre université qui a se problème on ne sent pas qu’il y a des chercheurs experts làbas. les enseignants chercheurs de l’université, ressemblent à ces marabouts qui peuvent te rendre riches et eux mêmes ils sont pauvres. ils peuvent t’aider à optimiser ton entreprise mais eux mêmes leur entreprises ne marche pas. c’est pour cela j’aime dire qu’il ya peu d’intellectuels au Burkina FAso mais il ya des lettres, des gens qui ont été loin très loin à l’école, à l’université, des gens qui ont cumulé tous les titres de prof mais ils sont donc suffisamment lettrés mais qui ont très peu contribué au dévéloppement de leur pays (excepté la formation des étudiants) ils n’ont jamais inventés quoi que ce soit pour profit du peuple. Pire, certains se prostituent aux voleurs de la republique pour mieux voler el peuple. Hussein, tu as raison sur tous ces points.
6. Le 24 juin 2017 à 18:24, par Rabe En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Bonjour. Est qu’on peut postuler si on est d’une autre nationalité ?
7. Le 25 juin 2017 à 12:41, par Veux Savoir En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Peut-on postuler avec un DESS en Environnement pour enseigner à l’université de Fada N’Gourma ?
8. Le 25 juin 2017 à 21:49, par nils En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
N’importe quoi pour le recrutement CNRST !!! le CNRST moura si vous ne vous réveiller pas !! Que celui qui sait de quoi je parle comprendre, les autres n’ont qu’à observer seulement pour faire constat très bientôt !! Avec des types de recrutement bidon !!
9. Le 26 juin 2017 à 07:34, par universitaire En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
J’aurais aime pose ma question directement. Est ce avec toutes les conditions édictées un burkinabé résident a l’extérieur a une chance en moins de 2 semaines de déposer un dossier ? Casier judiciaire, certificat de visite et ensuite entretien oral. Pour inciter nos fils et frères de la diaspora de revenir il faut être un peu plus imaginatif a moins que l’on ait vraiment pas besoin d’eux.
10. Le 1er juillet 2017 à 11:40, par Wits En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Il faudrait que tous les candidats qui remplissent les conditions puissent compétir. Il faudrait de la vigilance dans le recrutement au niveau du CNRST pour ne pas laisser des candidats qui restent à la maison et qui se retrouvent être admis. Il faudrait exclure les directeurs des instituts et de leurs adjoints dans les jurys parce qu’on évite des recrutements bidons qu’on a connus de par le passé parce qu’ils placent leurs parents, copines etc.
11. Le 4 juillet 2017 à 14:41, par Ouedraogo boukary dit ben En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Bonjour,les conditions de recrutement pose probleme pour les professionnels(fonctionnaires).je pense qu’on doit sauter le verrou de la limitation d’age car il d’agit d’une these ou master.or le systeme LMD suppose que toute personne peut maintement entreprendre des etudes de haut niveau et esperee un jour postule a ces postes pourvu qu’ielle soit competente dc je demande qu’on leve la limitation d’age pour les fonctionaires.en plus a la fonvtion publiqueje crois que c’est 48 ans pour les concours professionnels.encore un magouille du MPP..benito le rebelle !!!!!
12. Le 7 juillet 2017 à 15:33, par LeSage En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Aidez moi a comprendre. Depuis quand il ya une specialite en sciences de l’education qui est "Science de l’information et de la communication" ?. On croyait que le temps des mauvaises pratiques etait revolu mais non. Quelqu’un veut placer son neveux, sa niece, copine ou je ne sais quoi. Mais nous vous avons a l’oeil. Apres le recrtutement je ferai mes enquetes a l’Universite de Koudougou pour voir le profil de ce assistant en sceinces de l’education evec specialisation en "Science de l’information et de la communication" qu’ils vont recruter. Je vais pondre un article dans la presse pour que tout le monde sache ce qui s’est passe.
Il n’ya pas une specialisation en sciences de l’education qui est "Science de l’information et de la communication".
13. Le 8 juillet 2017 à 13:07, par Précision En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Mieux vaut tard que jamais !.. nous présentons nos excuses aux candidats pour n’avoir pas pu réagir à temps afin d’apporter certaines précisions.
Nous informons que les frais de dossiers s’élèvent à 25 000 F. Et la quittance est à retirer dans l’institution (Université ou CNRST) où le poste est ouvert et sur lequel le premier choix du candidat s’est porté.
La fiche de notification des choix est à retirée sur place au lieu de dépôt, au Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation.
Il faut ajouter que l’harmonisation du recrutement des assistants, des attachés et ingénieurs de recherche de toutes les Institutions d’Enseignement supérieur et de recherche est une première, avec des insuffisances comme toute oeuvre humaine. Nous travaillerons à prendre en compte toutes vos remarques objectives pour améliorer notre travail. Merci
Le 10 juillet 2017 à 18:52, par BF_Voix En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Bonjour Madame/Monsieur Précision,
Je voudrais savoir si la quittance de 25 000 f CFA correspond au premier et un seul choix ? ou à plusieurs choix pour la même somme ?
Merci pour les autres précisions.
14. Le 19 juillet 2017 à 08:33, par L’expert En réponse à : Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
Je souhaite que pour plus de professionnalisme dans la gestion des ressources humaines, l’on étudie bien les notions avant de les employer dans leur contexte. "Les fonctionnaires qui seront admis seront détachés dans les IESR" pour l’administration oui mais pas pour y enseigner alors qu’ils sont recrutés pour enseigner. Les enseignants dans les IESR ne sont pas détachés mais y sont mis à disposition.