4e rapport ITIE-Burkina : Les populations de Yako s’imprègnent du contenuL’équipe de dissémination du 4e rapport de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives du Burkina (ITIE-BF) a repris son bâton de pèlerin. Les disséminateurs étaient à Yako le 31 aout 2015. Le chef-lieu de la province du Passoré constitue ainsi la 11e commune visitée cette année. C’était la première fois que la commune de Yako accueillait les disséminateurs du rapport de l’ITIE-BF. L’atelier d’information et de sensibilisation s’est tenu dans la salle de conférence de la Maison des jeunes de cette ville. Là, des représentants des services décentralisés et déconcentrés de l’Etat et représentants d’organisation de la société civile ont pu s’imprégner du contenu dudit document. Mais auparavant, ils ont pu découvrir davantage ce qu’est l’ITIE, ses objectifs, ses missions, la chaine des valeurs, la norme ITIE… Ce, à travers deux communications. La première portant sur l’ITIE a été présentée par Dr Sidiki Guiré, chargé des rapports ITIE et du renforcement des capacités. Le contenu du rapport (version simplifiée) a été présenté par la représentante de la société civile, Elodie Ilboudo. La soif du savoir Après les deux communications, s’en est suivie la phase des questions-réponses. Et là, les participants n’ont pas été avares. Les questions portaient, entre autres sur : la taxe superficiaire et sa clé de répartition, l’implication de l’ITIE dans la prévention et la résolution des conflits liés à l’exploitation minière, les paiements sociaux, la sécurité dans nos sites miniers, la réhabilitation de l’environnement et l’après-mine. Aussi, les participants ont-elles voulu comprendre des termes techniques tels que la différence entre permis, autorisation, titre minier… Moussa Diallo |
Vos commentaires
1. Le 9 septembre 2015 à 18:51, par Salomon J Y En réponse à : 4e rapport ITIE-Burkina : Les populations de Yako s’imprègnent du contenu
Dans cette affaire, je suis comme Saint Thomas !... Car tant que TOUT ici se décidera depuis L’Extérieur d’où sont tirées presque toutes les ficelles, seule une profonde transformation consciente et organisée pourra permettre à notre cher Faso de bénéficier de ces précieux dons de La Nature !