Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »Au Burkina, ils sont de plus en plus nombreux ceux qui se tournent, peut-être à cause des fréquents délestages, vers les énergies renouvelables, notamment l’énergie solaire. Dans les marchés, les vendeurs de panneaux et autre matériel se multiplient, aidés en cela par des mesures incitatives prises par le gouvernement dont la plus récente est l’exonération, pour cinq ans des droits et taxes de douane pour les produits solaires importés. Par ailleurs, la dernière édition du SIERO tenue du 26 au 30 mars 2013 à Ouaga a permis de voir un certain engouement du public burkinabè pour ces énergies alternatives. Pour autant, le Burkina a-t-il une politique en matière d’énergies renouvelables ? Quels sont les projets dans le secteur ? Existent-ils des dispositifs d’encadrement des acteurs dont le nombre ne cesse de croître et l’anarchie avec ? Ce sont là autant de questions qu’aborde le directeur général de l’Energie, Narcisse Yaméogo, dans l’interview qu’il nous a accordée dans le cadre du dossier que nous ouvrons sur la problématique des énergies renouvelables au Faso. Entretien. Lefaso.net : Il y a de plus en plus un engouement des Burkinabè pour les énergies renouvelables. Le Burkina Faso a-t-il une politique de promotion de ces énergies alternatives ? Narcisse Yaméogo : Je puis affirmer que le Burkina Faso dispose d’une politique en matière d’énergies renouvelables. Il faut se dire que cette politique s’appuie sur plusieurs instruments, plusieurs dossiers. D’abord, vous avez la SCADD (Stratégie de croissance accélérée et de développement durable) ; vous avez ensuite l’Etude Prospective Burkina 2025 sur le secteur de l’énergie qui donne un peu les orientations du Burkina Faso en matière de développement de son secteur de l’énergie. Et dans ces documents de référence, le Burkina Faso a fait l’option de s’appuyer sur ses ressources énergétiques endogènes pour assurer son approvisionnement en énergie accessible à moindre coût pour tous et pour accroître l’indépendance énergétique du pays. Comme vous le savez, le Burkina Faso n’a pas beaucoup de ressources naturelles. Nous n’avons pas de ressources fossiles. L’énergie hydraulique est pratiquement inexistante. Donc, il reste l’énergie solaire. Il reste aussi le biocarburant et dans une moindre mesure la mini hydroélectricité. Le Burkina Faso a donc fait l’option de s’appuyer sur ces différentes ressources pour améliorer son approvisionnement en énergie électrique. C’est pour ça que depuis un certain temps dans le secteur de l’énergie solaire, nous sommes en relation avec des partenaires techniques et financiers pour pouvoir développer des centrales solaires au Burkina Faso. Et aussi nous sommes en rapport avec des partenaires techniques et financiers pour pouvoir organiser la filière biocarburant. En termes de politique, ce sont là les grandes orientations. Existe-t-il un document de politique nationale en matière d’énergie ? Nous sommes en train d’élaborer notre politique sectorielle en matière d’énergie. Si tout se passe bien, ce document sera disponible d’ici quelques temps. C’est une question de mois et vous aurez à votre disposition ce document. Dans combien de mois le document sera-t-il disponible ? Dans deux, trois mois, si tout se passe bien. Et quand le document sera disponible, vous y trouverez les grandes orientations du gouvernement en matière d’énergie. Peut-on déjà avoir une idée de ces grandes orientations ? La principale grande ligne, c’est de s’appuyer, comme je le disais tantôt, sur les ressources endogènes, donc sur les énergies renouvelables pour assurer l’approvisionnement du Burkina en énergie et pour accroître l’indépendance énergétique du pays. Quels sont les projets du Burkina en matière d’énergies renouvelables ? Dans le domaine du solaire, vous avez la construction de la centrale solaire de 30 mégawatts de Zagtouli. La semaine dernière, le ministre de l’Economie et des Finances a signé la convention de financement qui est en fait une subvention de l’Union européenne de 25 millions d’euros pour contribuer au financement de cette centrale. Le reste du financement est attendu de l’Agence française de développement (AFD) et de la Banque européenne d’investissement (BEI). Il est prévu également deux mini centrales solaires photovoltaïques à Ouaga et à Kaya et certainement dans d’autres localités qui sont des centrales plus ou moins des projets pilotes qui devraient permettre aux techniciens de la SONABEL de pouvoir s’approprier cette technologie. Là également, le financement est acquis et du côté de la SONABEL on est en train de préparer les différents dossiers d’appel d’offres. Le gouvernement a signé aussi un protocole d’accord avec la société minière SEMAFO pour développer une centrale solaire de 20 mégawatts à Mana. Le processus de bouclage de tout ce qui est arrangement institutionnel est en cours. Nous espérons que l’ensemble de ces projets vont contribuer à améliorer l’offre énergétique au niveau du Burkina. Est-il prévu aussi un projet d’installation d’une centrale solaire à la Présidence du Faso ? Effectivement, avec la coopération taiwanaise, il était prévu un projet d’installation d’une centrale solaire au niveau de la Présidence du Faso. Tout ça, ce sont des projets pilotes qui s’inscrivent dans la logique des grandes orientations que le gouvernement et le Président du Faso ont donné pour le développement de l’énergie solaire au Burkina Faso. A combien estime-t-on par exemple le coût d’une centrale solaire de 20 mégawatts ? Aujourd’hui, le coût d’un mégawatt de centrale solaire au Burkina tourne autour d’un 1, 5 million d’euros, soit environ 2 milliards de francs CFA. 20 MGA font donc 40 milliards de francs CFA. Avez-vous prévu des échéances pour la réalisation des différents projets ci-mentionnés ? Pour la centrale Zagtouli on pense à 2015. Pour celle de Mana, on pense également à 2015. Pour ce qui concerne les mini- centrales de Ouaga 2000 et de Kaya, on compte les réaliser dans la période 2014-2015. Le gouvernement a pris une mesure détaxant le matériel solaire importé. Cela profite-t-il vraiment au développement du secteur ? La mesure est entrée seulement en vigueur le 1er janvier 2013 et pour cinq ans. Cela ne fait que trois mois -trois mois et demi. C’est encore très tôt de faire un bilan et de juger de l’impact de la mesure sur le développement de la filière. Mais, avez-vous quand même un feedback de la mise en œuvre de la mesure ? Oui. On sent beaucoup plus d’engouement au niveau du secteur privé, des opérateurs et investisseurs qui nous approchent pour pouvoir installer et développer des projets d’énergie solaires au Burkina Faso. Il y a un engouement qui se manifeste davantage. Mais, en termes d’impact sur le terrain, je pense que c’est encore trop tôt pour en juger. Au-delà de la détaxation des produits solaires importés, y a-t-il d’autres mesures prises pour accompagner les acteurs du secteur des énergies renouvelables ? Outre la loi de finance 2013 qui exonère les produits importés des taxes pour cinq ans, il y a aussi la loi portant règlementation générale du sous-secteur d’électricité et qui permet à tout investisseur de pouvoir s’installer, de produire de l’énergie et de la revendre à la SONABEL. Je rappelle que le sous-secteur de l’énergie électrique est libéralisé depuis 1998. Avec ces différentes mesures d’accompagnement, l’on constate une multiplication des acteurs comme pour tirer profit, ce qui peut poser le problème de la qualité des produits et prestations sur le marché. Avez-vous des mécanismes pour encadrer les acteurs ? C’est un secteur qui est en construction et l’ensemble des cadres ne sont pas encore mis en place. C’est un processus. Mais, avez-vous à ce jour une idée du nombre des personnes évoluant dans le secteur ? Beaucoup d’acteurs qui interviennent dans le secteur. Si vous regardez sur le plan du commerce, vous allez voir que dans presque toutes les boutiques il y a des panneaux solaires. Ce sera difficile de les inventorier. C’est un secteur ouvert au commerce ordinaire. Donc, tout le monde a la possibilité d’importer du matériel solaire et de le revendre. Que pensez-vous d’une initiative comme le Salon international des énergies renouvelables de Ouagadougou (SIERO) ? C’est une initiative privée qui intervient dans la promotion de l’énergie solaire. On ne peut qu’encourager les acteurs à continuer. Parce que les énergies renouvelables aujourd’hui sont devenues un enjeu mondial pour lutter contre les changements climatiques, pour protéger l’environnement, pour créer des emplois, pour créer de la richesse. Des initiatives comme le SIERO sont vraiment à encourager. Entretien réalisé par Grégoire B. BAZIE Lefaso.net |
Vos commentaires
1. Le 19 avril 2013 à 17:36, par Doulou En réponse à : Narcisse Yaméogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
Huummmmmm ! SIERO, SIERO, entendez seulement le nom et Dieu merci pour vous de n’y avoir pas participé. Tout était intouchable côté coût. M. YAMEOGO, revoyez votre histoire de solaire pour vraiment nous soulager.
Le 22 avril 2013 à 14:02 En réponse à : Narcisse Yaméogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
vous l’avez reconnu ? c’est le fameux narcisse qui devait apporter la pièce gâtée de la SONABEL d’Allemagne. à l’époque ça l’avait rendu célèbre
Le 29 avril 2013 à 16:16, par Ange En réponse à : Narcisse Yaméogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
Bonjour Mr, je pense que vous n’avez pas fait une bonne visite. lorsque vous parlez de la cherté du solaire, évitez de faire une comparaison avec le coût de connexion au réseau national (SONABEL). avec la SONABEL c’est un contrat !!!!!!!! Vous n’avez pas l’énergie chez vous. et le contrat peut se rompre du jour au lendemain. c’est parce qu’au BF la réglementation en matière d’énergie est limitée, sinon vous ferez le constat que le solaire n’est pas cher.
si vous voulez un accompagnement, contactez nous au 79 38 10 72.
Avec le solaire vous faite un investissement comme vous le faite dans le bâtiment tout en étant trenquile. Avec la connexion a la SONABEL vous êtes comme un locataire d’une maison (célibaterium)
Domage mais c’est ainsi
2. Le 19 avril 2013 à 17:54, par Nabi II En réponse à : Narcisse Yaméogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
Monsieur BAZIE il faut corriger le nom de votre interviewé . il s’appelle Narcisse SAWADOGO et non Yaméogo.
3. Le 19 avril 2013 à 21:15, par trillionaire En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
Mr le DG ne nous apprend rien de concret pas de chiffre pas de serieu quoi
4. Le 19 avril 2013 à 21:21, par joli En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
tout ça est bien mais ce qui est à deplorer c’est que toute mise en oeuvre d’une politique (en tout cas la plus part) commence toujours chez les riches. pourquoi ne pas installer la mini centrale prévue pour ouaga 2000 dans une zone qui est vraiment dans le besoin (par exemple les zones non électrifiées jusqu’à présent) ? ou les fonds qui seront utilisés proviennent d’une cotisation de la population de ouaga 2000 ? je ne pense pas. Alorsc’est quoi votre problème.
5. Le 19 avril 2013 à 21:41, par titenga En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
bonjour
Quelqu’un peut t-il me dire à combien la SONABEL achète le kilowattheure aux investisseurs privés ?
merci
Le 20 avril 2013 à 00:42 En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
pourquoi ? es-tu vendeur de KW ?
6. Le 20 avril 2013 à 06:12, par Bouglass En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
Est-ce Narcisse qui avait été dépêché à l’achat de la pièce défectueuse de la mastodonte de la Sonabel ?
7. Le 20 avril 2013 à 10:10 En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
Comme toujours il est décevant de constater que dans beaucoup de projets, nos autorités et décideurs "pensent toujours petit". Cela reflète leur manque d’ambition, leur manque de vision pour le développement du Faso. Au lieu de construire plusieurs mini-centrales solaires inutiles, vous auriez mieux fait de construire deux ou trois grandes centrales d’une capacité de production de 180 ou même 200 MW chacune. ça, c’est des projets que l’on entreprend dans des pays qui ont de vraies ambitions de progrès, des pays qui veulent se développer. Quand la Chine, l’Inde, les USA, l’Allemagne ou la France construisent des centrales, c’est toujours de très grandes centrales. Nous, au Faso, nous sommes toujours dans le "micro", le "très petit". Ne me parlez surtout pas de manque de financement car il ya différentes manières de financer de grandes centrales dans le pays et la technologie existe et est très abordable. Une mini-centrale solaire par quartier comme s’il s’agissait de boutiques de quartier ou d’alimentation. Vous avez mis en oeuvre cette stratégie dans les centrales thermiques et nos problèmes de disponibilité et d’accessibilité d’électricité n’ont pas été résolus. Mais vous persistez dans la voie de la défaite. A mon avis, une autre justification possible de ce comportement se trouve dans le fait que construire des mini-centrales solaires permet à certaines personnes de continuer de s’enrichir sur le dos du contribuable burkinabè. Sachez, chers dirigeants et décideurs, qu’aucun pays n’a atteint l’indépendance énergétique en comptant essentiellement sur les dons. Alors, ayez de l’ambition, messieurs et mesdames si nous voulons que le Faso avance vers le développement.
Le 21 avril 2013 à 10:51 En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
c’est pas avec nos décideurs et dirigeants actuels que ce pays avancera vers un quelconque developpement pcq ces sinistres sont juste là pour se gaver. point barre !
Le 22 avril 2013 à 12:16 En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
mon cher, tu as dit la vérité même. il vaut mieux construire des centrales gigantesques, même si ça va prendre 20 ou 30 ans pour finir. au moins nos enfants et arrière petits enfants ne souffiront plus. Ils n’ont aucune ambition. ils ne pensent qu’à leur panse.
On va les chasser tous. 2015 arrive
Le 15 décembre 2013 à 22:47, par la plus jolie du monde ;) :D En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
Pourquoi vou parlé ainsi hin ? C’est quoi votre problème ?? Si c’est coupure de courant que vous ne voulez plus la c’est un rêve qui va jamais se réalisé. Revenez sur terre nous somme dans un pays sous dévelopé et on peux pas toujour avoir se que on veux dans la vie. Vous croiyé qu’il font pas de leur mieux hin ?? S’il faisaient rien la il y aura même pas courant au Burkina Faso donc la au lieux de parlé sur les autres la donné votre confiance a Dieu car lui seul pourra nous aidé.sur ceux je vous quitte. Exellente soiré
8. Le 20 avril 2013 à 11:21 En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
Toujours de petits projets insensés qui ne nous mèneront nulle part. Il est temps de penser grand si nous voulons nous développer.
Les mini-centrales thermiques n’ont rien donné comme résultat alors, de grace, évitons de retomber dans le même piège avec des mini-centrales solaires.
9. Le 20 avril 2013 à 12:01, par tankoano jean pierre En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
il faut evidemment soutenir à vrai sens du terme une organisation comme le siero même si c’est le privé comme le dit le DG. D’ailleurs c’est le privé qui doit organiser une manifestation comme le SIERO. L’Etat doit jouer un rôle d’accompagnateur, c’est tout. Malheureusement chaque ministere se plait à inventer quelque chose pour ponctionner le budget national. C’est triste. Que le premier ministre ouvre l’oeil. C’est même deloyal.
10. Le 21 avril 2013 à 06:58, par VAGABOND En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
Donc si je comprends bien, il n’y plus de coupures de courant ? Foutaise. Dites nous la vérité et investissez plus dans du concret que dans les discours.
Le 21 avril 2013 à 12:31 En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
Quelle centrale a ouaga 2000 ? soyez 1 peu intelligent qd même ! il avoi 1 vision lointaine q d faire et refaire chaq fois
Le 21 avril 2013 à 13:25 En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
quelle centrale à ouaga 2000 ? pensez plutôt aux secteurs non éleatrifiés q de rester à jouer aux zouaves chaquee fois
11. Le 21 avril 2013 à 16:34, par BENDRE En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
Bonjour,
Je voudrais savoir si la SONABEL est en mesure de recuperer l electricite produite par les panneaux solaires installes par des particuliers chez eux. Cela permet de reduire le cout d une installation pour les maigres salaires que nous avons.
Merci pour celui qui aurait la reponse.
Le 22 avril 2013 à 14:11 En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
Mon frère si c’est ça tu veux savoir, vas demander à la SONABEL.
12. Le 15 décembre 2013 à 23:08, par la reine En réponse à : Narcisse Sawadogo, Directeur Général de l’Energie : « Le Burkina a fait l’option des énergies renouvelables pour assurer son approvisionnement et indépendance énergétiques »
Vous la vous n’allez pas faire pardon un peu ? Africain même quoi