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Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

LEFASO.NET | Par Tiga Cheick Sawadogo
mardi 7 février 2017.

 

Le Burkina Faso n’a pas (encore) perdu le nord. Mais, ce qui s’y passe actuellement est inquiétant. Des Burkinabè, présentés comme des informateurs, sont traqués dans leur dernier retranchement, puis abattus. Comme au Far West, une zone de non droit. Pourtant sans ces sources, la lutte contre le terrorisme est vouée à l’échec. Dans cette psychose entretenue par les terroristes, finalement qui les dénoncera tout en sachant qu’il ne sera pas protégé ?

Une chasse à l’homme est ouverte dans le septentrion burkinabè. Une chasse contre des civils présentés comme ceux qui fournissent des informations sur les fous de Dieu qui écument cette partie du territoire. La dernière opération est l’assassinat à Yorsala dans la commune de Titao, province du Loroum, d’un conseiller municipal de Nassoumbou et de son fils de 5 ans. Un deuxième enfant dudit conseiller, blessé, reçoit des soins dans un centre de santé.

Le conseiller municipal, selon des témoins, avait reçu des menaces à Nassoumbou, au sahel. Craignant pour sa sécurité, il s’est réfugié à Yorsala dans la région du Nord. Mais rien n’y fit. On l’a recherché pour le liquider et repartir tranquillement.

Ce n’est pas la première fois que des conseillers sont pris à partie par des ‘’hommes non identifiés’’. D’autres ont déjà été assassinés.

Les obscurantistes ne vivent pas en vase clos. Ils s’imbriquent dans la population, vivent en apparence comme tout le monde, connaissent bien leur environnement et ceux qui le peuplent. Ce masque cache pourtant une face hideuse. Ils savent qui est qui et veulent imposer la loi du ‘’si tu parles, on te fait et il n’y a rien’’.

Comme dans toute guerre, l’information sur l’ennemi est un élément capital. Dans la lutte contre l’hydre terroriste, le renseignement est davantage important. Qui mieux que les populations locales pour porter la bonne information aux forces de défense et de sécurité ? En contrepartie, et c’est là tout le problème, il faut que ceux à qui ils apportent le renseignement soient à mesure de les protéger et surtout d’agir avec tact et professionnalisme pour ne pas jeter leurs ‘’indics’’ dans la gueule du loup.

Cela ne semble pas être le cas. Les autorités ne cessent de le répéter, cette guerre ne peut être gagnée sans une franche collaboration des populations qui abritent les malfaiteurs. Mais que fait-on en retour pour garantir la sécurité à ces maillons de la chaîne.

Tenez-vous bien, pendant que l’autre fils du conseiller est en soins, dans un centre de santé, le haut-commissaire de la province du Lorum, Aïssata Angelina Traoré, interrogée par la télévision nationale, n’a pas hésité à donner le lieu exact où le garçon se trouve. Voilà une sortie hasardeuse qui peut coûter la vie à un innocent, au cas où ceux qui s’en sont pris à sa famille et qui ne le savaient peut être pas mort, voudraient revenir terminer la basse besogne.

Retrouver la confiance des populations locales

Selon certaines indiscrétions, des présumés collaborateurs des terroristes, ou même terroristes arrêtés et détenus, ont par la suite été élargis. Pourquoi, qui a donné l’ordre ? se demande-ton.

Dans cette situation où les sources d’information ne sont pas en sécurité, quel relais pour les forces de défense et de sécurité ? Depuis, certains, accusés d’avoir dénoncé ceux qui sèment la terreur, n’ont plus le sommeil paisible. Livrés à eux-mêmes, les relais disparaissent l’un après l’autre.

Il faut donc rétablir la confiance brisée ou trahie. Sans cette confiance, le Nord finira par entrer totalement dans le giron des terroristes. Sans être un oiseau de mauvais augure, c’est ainsi, par des liquidations physiques, des complicités entretenues, des intimidations, la réduction des populations au silence que certains pays ont perdu une partie de leur souveraineté. Touchons du bois.

Tiga Cheick Sawadogo
Lefaso.net



Vos commentaires

  • Le 7 février 2017 à 00:34, par Sans Orgueil En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Meilleure Santé au Garçonnet de 5 ans. Et paix aux âmes des deux défunts.
    Toutefois, je me demande s’il faille que nous nous enfermions dans notre orgueil. Si un Burkinabé posséderait les atouts dans les renseignements, et serait capable de limiter l’avancée de ces terroristes, pourquoi ne pas l’utiliser dans ce sens et éviter que le Nord du pays sombre progressivement entre les mains de ces terroristes. Si le Gal Gilbert peut être utile dans ce sens, pourquoi ne pas l’utiliser à cette fin ? Ces terroristes ne vont-ils pas causer plus de dégâts humains que le Gal Gilbert ? Quelqu’un qui reconnait publiquement son tort, qui demande publiquement pardon, qui s’assume et se livre lui-même à la justice de pays, ne mérite t-il pas confiance par rapport à d’autres ?

    • Le 7 février 2017 à 08:31, par choco En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

      je suis totalement d’accord avec toi mon frère mais si évoque cette idée tu seras traité de tout les noms d’oiseaux. sinon honnêtement de nos jours et vu réellement le danger qui plane sur la stabilité de ce beau pays il faut accepter faire des concessions. Les autorités n’ont qu’a prendre leurs responsabilités et ignorer cet esprit de revanchard de certaines personnes pour libérer le Gle et lui confier cette guerre et on verra ce que cela va donner. Je suis sûre que les choses ne se presenterons pas encore de cette manière.

      • Le 7 février 2017 à 12:50, par Le fils En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

        Ah bon ! Ton general en question Sera lui meme canarde avec ses complices et le Burkina restera integre. Renseigne toi bien. Nous Sommes au BURKINA FASO. NE te trompe pas du tout. Surtout pas !!!

      • Le 7 février 2017 à 15:58, par allahwanné En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

        Ignorer cet esprit revanchard dites-vous ?Je rappelle que se ne sont pas les autorités actuelles qui ont coffré ton Gle. Considériez-vous qu’il y aurait des burkinabé qui ne doivent pas être en prison en dépit des vies fauchées.L ES GÉNÉRAUX BIEN RENSEIGNES QUI TUENT NOS ENFANTS SONT AUSSI DES TERRORISTES ET LES LIBÉRER C’EST COURIR LE RISQUE DE GONFLER LE RANG DES TERRORISTES.

      • Le 7 février 2017 à 18:54, par le chat En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

        je suis totalement contre votre idée. le GL n’est pas fort en renseignement,il a traité avec les terroristes. ils se connaissent bien.

      • Le 8 février 2017 à 08:41, par vision En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

        La manière dont les terroristes sont informés et efficaces dans leurs différentes attaques et la lenteur ou l’incohérence du commandement me fait croire qu’il y a des ’’POINTES" c’est-à-dire des traitres dans les rangs des FDS. Qu’est-ce qui prouve que ce n’est pas certains d’entre eux qui dévoilent l’identité de leurs informateurs aux terroristes ? Rappelons-nous la pression que les jeunes officiers ont mis sur la hiérarchie militaire pendant le Putsh de 2015 avant qu’il n’y ait réaction... Réfléchissons encore.

    • Le 7 février 2017 à 08:33, par Anonymous En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

      Meilleur Santé au Garçon et courage à la et aux famille(s) éploré(s). Mme la Haut Commissaire à faillit gravement. Parfois le silence est d’or. La Télévision nationale a également faillit gravement. Car si tant est qu’on a affaire à de grand spécialistes de l’information surtout en temps de crise, le lieu ou cet enfant meurtrie est soigné devait être effacée par la chaine de rédaction. Maintenant, il faut apprendre aux uns et autres a savoir quoi dire, quand le dire et quand se taire. Un seul mot dit de travers peu renseigner votre interlocuteur.

      Maintenant je l’ai dis et je le répète. Qui a l’information a le pouvoir. Quelqu’un a forcement donné l’information aux terroristes afin qu’ils sachent exactement ou se trouvait ce pauvre conseillé. Les terroristes ont donc des informateurs dans la population, des gens qui les renseignes, qui leur donne en quelque sorte le pouvoir. Ont-ils donc réussit là ou on "échoue" ? Ont-ils réussi a se constituer un réseau d’informateur que nous ne sommes pas capable d’identifier pendant que eux ils identifient les nôtres, les traquent, les retrouvent dans leur cachette et les assassines froidement avec enfant et peut-être bientôt avec femme et troupeau ?

      Il faut absolument former même de manière sommaire nos informateurs en leurs disant qu’ils ne doivent rien dire à personne sur leur promiscuité avec les FDS. Même pas sur la couchette à leur femme. Pourquoi ne pas leur donner des téléphones spécialement équipé pour certaines choses ?

    • Le 7 février 2017 à 08:52, par Bambinkété En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

      Pas forcement de l’orgueil des dirigent mais de la prudence. Tous le monde savait que réseau de renseignement du pouvoir a l’époque était plus une complicité et des partages d’intérêts des enlèvements. Qu’est ce que les terroristes cherchent en tuant des populations et des militaires sans exprimer des revendications, est ce que le réseau de Gal Dienderé ne serai t’il pas le problème ?

      • Le 7 février 2017 à 12:31, par SAA En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

        Plus que de la prudence. Voyez-vous, je ne cesserai de me répéter. Quand ces indélicats pavanaient à Ouaga 2000 sous l’ère Compaoré, on devait s’y attendre. Il ne faut jamais traiter avec ces vampires.
        Il faut savoir communiquer désormais sur ces terroristes. Gouvernement THIEBA, je me permet un conseil, à force de vouloir tout raconter aux Burkinabè vous finirai par avoir l’effet inverse. En matière de sécurité, ne communiquez plus. voila, point barrrrrrrr !!!!!!!!!!

    • Le 7 février 2017 à 09:09, par Virgule En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

      Sans orgueil a vous lire autant dire qu’une seule personne peut résoudre le problème qui ne pose au pays au Nord. Je ne rentre pas sur la détention ou non du Gle Gilbert mais j’interviens sur le fait qu’une seule personne doit - elle être la solution à un tel problème ? Si c’est cela posons alors le problème de la collaboration entre ces hommes terroristes et l’ancien pouvoir ? Le pays doit - il être téléguidé par des hommes sans foi ni loi tapis qui par des actes de lâchetés feront et déferont l’administration du pays.

    • Le 7 février 2017 à 09:19, par justice En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

      Quelle naïveté déconcertante !!! Ha oui, j’oublie que tu as dû oublier de prendre tes pilules ce matin.

    • Le 7 février 2017 à 12:27, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

      - Sans Orgueil, merci pour cette observation que je partage entièrement. Le jour de l’accouchement, la femme ne doit plus avoir honte de se mettre nue ! Et puis, moi je commence vraiment à regretter certaines têtes comme Vincent Askya SIGUÉ, et Gaspar SOMÉ. Imaginez que ces gens soient là ! Ils seraient rentrés dans le Mali et tuer les têtes pensantes de ces terroristes !

      Par Kôrô Yamyélé

      • Le 7 février 2017 à 21:01, par yankee En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

        Merci pour cette remarque sur Gaspard Somé et Sigué Vincent qui n’étaient les modèles dans cette armée. Mais en stratégie, Sun Tsu disait il y a plus de 2500 ans "sanctionner un militaire qui tue un ennemi, récompenser celui qui fait un prisonnier", et plus loin, il dit "le meilleur général est celui qui gagne la guerre sans tirer un seul coup de feu". Si tuer était la solution au problème du Mali et de la sous région, le cas serait résolu depuis belle lurette.
        Mettons en place des mécanismes diplomatique et militaire.

        • Le 8 février 2017 à 12:43, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

          - Yankee, bien dit en Effet comme ton pseudo. Mais la philosophie ne règlera pas les choses. Il y a plus de 10 ans que le Mali dialogue avec les terroristes, mais rien n’y fit. Les diplomates passent tout leur temps à enjamber les couloirs des NU à New-York comme en Syrie, mais la guerre contre Desh continue. Toi-même ton peudo en dit long. Aux USA il y a très longtemps, il a fallu qu’il y ait la guerre de secession pour que les USA existent aujourd’hui avec un drapeau étoilé dont chaque étoile représente un État de la Confédération ! Parle de ce que tu sais. Ce sont les politiques qui amènent la guerre et ce sont les diplomates qui réparent les dégâts après. Je persiste et je signe que tant que les leaders et autres illuminés de ces terroristes ne seront pas assassinés, ils continueront leur envahissement insidieux. Et en celà je regrette bel et bien Gaspar Somé et Vincent Sigué  !

          Par Kôrô Yamyélé

    • Le 7 février 2017 à 18:14, par yaa siida En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

      C’est propre et clair, et j’ai toujours dis et je le redis la haine et la vengeance détruira mon Burkina Faso tant aimé si on n’y prend garde.

  • Le 7 février 2017 à 03:24, par Yiriba En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    L’État doit prendre des grands moyens rapidement pour faire face à ce problème. La population pourrait aider, mais elle se demande maintenant comment, si la menace quotidienne de mort est réelle. Dès lors, il faut remettre à tes professionnels bien formés, bien équipés, bien motivés et bien énumérés ce problème. Ils sauront sur le terrain, par leur expertise, comment se servir de la population locale sans la pousser au danger. Former et former encore ces professionnels en mettant beaucoup d’efforts sur le professionnalisme, la collecte d’informations et faire preuve de grande discrétion. Il n’y a pas d’économie à faire sur les moyens à prendre si le pays doit se libérer de ces terroristes. Et on n’a pas le choix de résister. Tout notre support aux forces de défense, à la population et aux autorités en service dans ces zones difficiles.

  • Le 7 février 2017 à 06:03, par Gangobloh En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Ailleurs on traque les bandits et ils ne s’en prennent pas à la population mais cela ne veut pas dire qu’elle muette. Il faudrait du professionnalisme et peut être des hommes intègres et qui savent garder leurs bouches en Tout temps en Tout lieu. Nous savons que certains officiers de police judiciaire vendent les infos aux journalistes. Cela doit prendre fin sur le terrain de combat. La cellule d’information des FSD doit infiltrer les rangs de ces bandits. cela prendra du temps avant de tirer profit mais on ne peut pas compter seulement sur la collaboration de la population de ces genres de situation.

  • Le 7 février 2017 à 06:55, par TUUK-SOMDE En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Il souhaitable d’evacuer temporairement (6mois) et disperser nos populations de la region du nord à l’intérieur du pays en les isolant comme des réfugiés mais les traitant avec plus d’egard. C’est une evacuation et dispersion massive pour permettre aux langues de se delier et denoncer les terroristes.

    • Le 7 février 2017 à 08:46, par Gourouss Maffi En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

      Attention à ne pas disperser les terroristes ou leurs associés avec. C.est vrai que les sortir de leur environnement peut permettre de délier les langues

  • Le 7 février 2017 à 07:15, par Capitaine En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Les incidents d’incendie dans des marchés et autres actes d’incivisme qui visent à remettre en cause l’autorité de l’Etat par des mouvements de protestation contre des gendarmes, ressemblent à des actes prémédités de même que certaines attaques terroristes. Il y a visiblement des gens qui ont des agendas cachés dans des actes de troubles à la paix sociale .Comme le disait le Président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré à l’occasion du bilan d’un an de son pouvoir, il n’y a pas que des ennemis extérieurs contre le régime en place mais aussi à l’intérieur du pays. Il en veut pour preuve l’aveu de certains terroristes d’origine burkinabè qui, après avoir été appréhendés disaient qu’ils n’avaient pas de regret et que si l’occasion leur était donnée, ils récidiveront. Il faut rappeler qu’un Burkinabè du patronyme Sawadogo avait été arrêté parmi des terroristes au Mali. Les deux incendies aux marchés de Koupéla et Bobo-Dioulasso à une semaine d’intervalle, avec le même mobile de mise en flammes de dépôts de carburants, ne semblent pas des faits relevant du hasard. On a l’impression que des gens instrumentalisent des problèmes contre les services de sécurité et de défense pour fabriquer des arguments qu’il faut retirer les ministères de la défense et de la sécurité des mains de civils comme si cela était la solution miracle contre le terrorisme. Ces gens cherchent plutôt à accaparer la défense et la sécurité par leurs hommes de mains pour dicter partout au Burkina leur loi sectaire. Le Président du Faso a sans doute bien compris leur stratégie en rétorquant que même s’il devrait céder la défense, ce ne serait pas pour des militaires. Le commandement des forces de défense et de sécurité n’est pas l’apanage des militaires exclusivement. Des civils de par le monde ont pleinement assumé ces fonctions. En France, Nicolas Sarkozy a été ministre de l’intérieur (sécurité), des cas du même genre en Côte d’Ivoire, au Niger. Au Burkina, un administrateur civil Yéro Boly a été d’abord ministre de l’administration territoriale et ensuite ministre de la Défense. Des gens qui avaient un agenda caché ont demandé qu’il ne faut pas mettre des civils comme ministres de la Défense et on en est arrivé aux mutineries inédites de 2011.Sous la transition, le coup d’Etat du 16 septembre 2015 a eu lieu avec la présence d’un militaire au ministère de la sécurité. Alors que ceux qui provoquent des troubles pour chercher à ravir les portefeuilles de la défense et de la sécurité, sachent que leur jeu malsain est découvert et leurs méthodes anarchistes connues du grand public burkinabè. Qu’ils reviennent à de meilleurs sentiments car, la démocratie est une action collective dans l’intérêt général et non la chassée gardée d’un groupuscule au détriment de la majorité.

    • Le 7 février 2017 à 09:30, par AD VITAM AETERNAM En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

      A Capitaine, continuer de rêver, le réveil sera douloureux.... Tout le monde connais les méthodes des DJIHADISTES, au Mali il y a des attaques presque chaque mois, mais Le gouvernement IBK n’accuse pas son opposition, il sait d’où vient les problèmes.
      Ici au Faso c’est une fuite en avant, même s’il y a des commanditaires à ces attaques qu’est ce qui nous empêche de riposter rigoureusement à ces attaques ? s’il y a riposte rigoureux je ne pense pas qu’il aura d’autre attaque.

  • Le 7 février 2017 à 07:34, par badini En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    bjr Mr Tiga C. Sawadogo ; justement c’est cela meme le problème : agir ou parler avant d’avoir reflechi bien. Etre nommé HT-COM ne veut pas dire forcement qu’on est mur dans ses propos ou analyses. Mais cette autorité de haut niveau de responsabilité n’est pas le seul coupable dans la gestion maladroite de cette information qui peut effectivement etre importante pour les bourreaux ; meme la television nationale a failli ; si madame le haut com. ne sait pas ce qu’elle fait, la tele devait veiller à ce que cet element sonore et visuel n’apparaisse jamais. Pourquoi ne pas couper ce passage ridicule avant de servir seulement ce qui est sensé. Du n’importe quoi !!!!

    • Le 7 février 2017 à 09:48, par le burkinabè En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

      oui merci si tout le monde baigne dans le ridicule c’est triste
      " Plus rien ne sera comme avant " est en l’air c’est un comportement plus responsable
      Comment pouvons nous oublier nos vaillants martyrs comment, ?
      Comment pouvons nous oublier notre histoire ?
      ne tombons pas dans le mépris ?
      Merci encore badini ! Que DIEU SAUVE LE BURKINA

  • Le 7 février 2017 à 08:40, par GOULA En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Article nul et sans intérêt. Ce reportage n’est pas du professionnel . il est très important de bien connaitre se renseigner afin de relater pour mieux informer surtout porter une information qui puisse servir.

  • Le 7 février 2017 à 08:44, par Le patriote En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Cher Tiga Cheick SAWADOGO, vous en voulez à Mme le Haut Commissaire pour rien. Et M. le ministre de la sécurité lui-même qui dévoile les stratégie de nos forces de sécurité contre les terroristes au moment de l’attaque du 16 décembre 2016. Il dit le gouvernement est entrain de voir comment demander à la MUNISMA à redéployer une partie de nos soldats au Mali à la frontière pour traquer les terroristes. En la matière, c’est vous seuls qui savez ce que vous mettez en place comme stratégie. Les terroristes ont une longueur d’avance parce qu’ils savent ce que vous envisager déjà et ils peuvent déjà miner le terrain. Si le ministre de la sécurité lui-même ne sait pas ce qu’il faut communiquer à la population et ce qu’il faut garder pour soi-même c’est pas la peine. Je suis d’accord maintenant avec ceux qui disent qu’il faut un homme de tenu à la sécurité parce que eux se connaissent entre eux et ne vont jamais communiquer sur les mesures qu’ils envisagent pour traquer l’ennemi.

  • Le 7 février 2017 à 08:47, par guingraogo En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Nous disposons d’une force qui peut être d’un grand secours face à cette menace, mais l’Etat refuse d’y faire recours : il s’agit des Koglweogos. Ce sont les seuls qui peuvent ramener tous ces malfaiteurs si on leur donne l’autorisation. Ils utilisent des moyens qu’aucune armée n’utilise actuellement. C’est avec ces moyens que dans le passé les mossi ont toujours pu faire echec aux invasions des ennemis.
    Il suffit que les autorités étatiques trouvent la formule pour les envoyer dans cette mission et vous verrez le résultats. Jamais des terroristes ne s’aventureront encore sur le territoire burkinabé.

    • Le 7 février 2017 à 10:26, par Snake En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

      "C’est avec ces moyens que dans le passé les mossi ont toujours pu faire échec aux invasions des ennemis. " Qu’est ce que tu en sais ? Signer un protectorat par le passé avec les européens pendant que les autres ethnies les combattaient ?? Et qu’en est t’il de la riposte de Soni Ali Ber après l’attaque de son village natal Walata par les mossis ? lol .Ne falcifies pas l’histoire ! Et ne permet pas ainsi de semer la graine de discorde entre ethnies au BF(Pour dire que donc tu admet que Koglweogo = Mossi).

  • Le 7 février 2017 à 08:47, par Hermann En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Le Burkina doit avec la plus grande célérité en découdre avec ces individus. Nous en avons suffisamment les moyens. Pendant près d’un quart de siècle nous avons fourni utilement des hommes pour le maintient de la paix dans le monde. A moins qu’on me dise que c’est du mercantilisme, j’aurais du mal à croire tout ce qui ce passe. Mais à mon frère Capitaine, j’ai envie de lui dire que son analyse est purement politicienne. Ce qui se passe est loin d’être l’œuvre d’une instrumentalisation visant à ravir des portefeuilles. C’est décevant que même avec ce drame actuel qui s’abat sur la nation des gens continuent à ne penser qu’à des bagatelles de portefeuilles. Déployons suffisamment des hommes bien équipés et l’ennemi prendra la fuite. Du reste je suis indifférent au profil de celui qui doit occuper la défense. Toute personne civile ou militaire peut y être. Mais si j’avais à choisir, personnellement je choisirai un militaire. Ces gens me paraissent forts et réalistes que nos civils de l’œsophage.

  • Le 7 février 2017 à 08:48, par Jean En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Il faut arreter les nominations par copinage dans les zones infestées par les terroristes islamistes. Il faut y nommer des gouverneurs et hauts commissaires militaires dans ces coins à hauts risques. Que fait cette bonne femme de Assaita Angelina Traoré dans ce coin à danger, Monsieur le President ?

    Asurez vous aussi que le nouveau CEMG ne joue pas un double jeu. Sans vouloir l’accuser. En rapport aux collaborateurs, voire terroristes qui ont été élargis, sans qu’on ne sache qui en a pris la décision !

    Enfin, il faut armer les informateurs des FDS pour qu’ils puissent assurer leur propre defense. Si le conseil muniicipal abattu avec son fils avait une kalachnikov et savait bien le manier, il serait encore en vie, lui et son fils.

    • Le 8 février 2017 à 07:00, par Kakambo En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

      D’accord, papa. A situation exceptionnelle, profil professionnel particulier. Et même au delà de l.administration, ensignants, agents de santé etc devraient être des militaires avec de grands pouvoirs d,action. Décréter l.état d.urgence dans la zone

  • Le 7 février 2017 à 08:49, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    - Madame le Haut-Commissaire a trop parlé. Elle a la langue pendante et fourchue !

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 7 février 2017 à 08:50, par Le Bougre En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Vérité de La Palice ! Une analyse juste et évidente. Dommage que nos dirigeant n’aient pas la même lecture. Dieu nous sauve

  • Le 7 février 2017 à 08:58, par Dmil En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Pays géré par des nuls. Quand Rock même dit que plus rien ne sera comme avant il se moque des burkinabé parce que qui était là avant c’est bien eux. Et si y’a des burkinabés parmi les terroristes choses déplorables c’est parce qu’ils veulent nous débarrasser des RSS qui ont usurpé notre lutte avec l’aide du délinquant ZIDA.

  • Le 7 février 2017 à 08:59, par ahmadou hampaté BA En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    c’est très grave pour nos adminisrtrations. j’ai été très déçu en écoutant l’interview de la Ht Com. je croyais avoir à faire à un agent subalterne. pendant que la tnb introduisait en parlant d’un conseiller de Nassoumba réfugié à Yorsala pour raison de sécurité, elle parlait d’un "INDIVIDU". ça été très choquant.

  • Le 7 février 2017 à 09:23, par papson En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    PROPOSITIONS : Il faut interdire desormais dans la zone la circulation a moto avec un gros blouson ou un gros sac. car il faut se poser la question comment ces terroristesqui viennent chaque fois a moto arrive a faire des kilometre et des kilometre sans que leurs armes ne soient reperées ??? Deuxieème solution : il faut creer à la frontière mali + burkina, un zone tampon militarisée avec interdiction de circulation sans laisser passer. Tout mouvement dans cette zone tampon est automatiquement considéré comme suspect. Aux grands maux, les grands remèdes

  • Le 7 février 2017 à 09:36, par Wendkouni En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Votre analyse n’est pas juste, c’est comme si tous ceux qui filent les informations sont recherchés. pourtant non. et si c’est oui ça voudrait dire que ce sont les FDS qui donnent les informations sur ceux qui leur donnent les infos. je dirai que c’est faux du moment que leur propre vie est menacée. Pour vous dire vrai, ce sont leurs anciens collaborateurs qu’ils sont entrain de liquider. les raisons : le cerveau avait réussi à enrôler certains de la population sous le couvert de la religion. ils se sont rendu compte à un moment que c’est pas la religion mais plutôt un groupe de malfaiteurs. ils ont commencé a se retirer un a un raison pour laquelle on les liquide un a un aussi. si vous avez eu les toutes premières informations, on a bien dit que c’est un soit disant leader radicalisé a travers ses prêches. je pense que c’est mieux d’écrire pour dénoncer mais c’est aussi mieux de bien lire vos articles avant de publier

  • Le 7 février 2017 à 09:37, par Dedegueba SANON En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Un honorable député a déclaré que les terroristes sont entrain de " tester" nos FDS, avec ces attaques à répétition.
    "Bandons nos muscles" sinon ils vont revenir plus organisés et plus déterminés.
    D’abord que les populations du Nord s’organisent pour les contrer sans attendre nos FDS. Je ne suis pas un fan des kolweogo, mais une organisation dans ce style pourrait être utile.

  • Le 7 février 2017 à 09:55, par soumaila En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Si les autorités actuelles ne sont pas capables de manifester l’autorité de l’Etat dans ces zones où les terroristes agissent au vue et su de tous comme chez eux, qu’elles remettent le pouvoir à ceux qui le peuvent. Si les informations qui circulent sur la région du sahel depuis longtemps ne sont pas si alarmantes pour nos autorités, peut-être s’attend-on à qu’il y ait pire pour sentir quelque chose ?!?!?! C’est vraiment désolant cette situation de non autorité d’un pouvoir !!!!

  • Le 7 février 2017 à 09:58, par Le Sable En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    L’État par le biais des FDS doit protéger d’une façon secrète les leaders des ces localités ou bien elle deviendrait une zone très dangereuse car par manque de protection des FDS, la population sera obligé de traiter avec les malfaiteurs et c’est logique car c’est une question de survie. C’ETAIT MON AVIS

    LE SABLE

  • Le 7 février 2017 à 10:00, par Sylvanus En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    « Sans être un oiseau de mauvais augure », justement vous y êtes en plein dans le mille. Franchement hein ! Qui croyez-vous servir les intérêts en parlant ainsi ? Les terroristes naturellement. Ce sont au contraire des réactions de ce genre qui entretiennent la psychose terroriste qu’il faut bannir de nos réseaux sociaux. Ce qu’il nous faut, c’est de montrer un visage serein et déterminé. De toutes les façons, je ne vois pas comment nous pourrions faire autrement, parce que les terroristes ne s’accommodent pas des humeurs des gens. Ils agissent impulsivement et s’attaquent à des symboles de l’État et de l’Occident : élus locaux, troupes armées, expatriés, menaces et enlèvements dans les milieux scolaires, etc. Ils sont dans leur logique que de terroriser pour pouvoir imposer leur "ordre" en lieu et place de l’ordre préétabli. Très souvent, les gens donnent le renseignement tard, et beaucoup s’abstiennent même de le faire, de sorte que ceux qui collaborent sont vite repérés.

    Faut-il le rappeler, le seul salut des zones convoitées par les terroristes, c’est la solidarité de leurs populations, et leur courage à dénoncer tout fait insolite auprès de l’autorité. Cela doit devenir un réflexe citoyen, que dis-je, de survie. Il faut reconnaître que cette culture de la délation systématique n’existait pas chez nous, mais nous devons nous l’imposer en urgence. Si ton voisin a une attitude qui suscite ta curiosité plus que d’ordinaire, si un inconnu traverse votre localité ou qu’un étranger vient d’y arriver, si tu entends des gens parler de régler son compte à quelqu’un, si ..., si ..., tu appelles les numéros gratuits de la sécurité, et anonymement tu rapporte la situation. Après, ce sera à l’État de doter ses FDS de suffisamment de moyens (surtout roulants), pour assurer une présence et une promptitude d’action comme on le voit à la télé où le maillage du territoire est tel que les FDS ne sont jamais à plus de 15 minutes de n’importe quelle situation.

    Bref, moi je dirais que si effectivement on pense que collaborer avec les FDS est une simple aide à ces FDS, on peut raisonner comme vous. Mais si l’on pense que c’est avant tout chercher à se protéger en permettant à ceux qui sont commis à cette tâche de mieux le faire (ce qui ne veut pas dire qu’il ne peut pas y avoir de ratés), alors, dénoncer les terroristes et de toute manière s’engager dans cette logique de délation, doit être dans le pire des cas LE mal nécessaire. Un peut comme nous ne pouvons nous passer de médicaments malgré leurs effets secondaires souvent connus. Ou comme nous ne pouvons nous passer de manger pour vivre, quand bien même nous savons (ou ne le savons pas) que la nourriture nous apporte en même temps les microbes et d’autres éléments dévastateurs (mauvaises graisses, sucres saturés, excès de sel, ...) pour notre organisme ! Qui n’a jamais entendu parler de cholestérol, ou de HTA, ou de cirrhose, ou d’insuffisance rénale, ... ?

    Pour terminer, je voudrais rassurer ceux qui pensent que la Ht-Comm a livré l’enfant survivant à ses assaillants, que les terroristes n’agissent pas comme les mafioso. Les mafioso se cachent, et éliminent autan que possible tout témoin (gênant ou pas) pour protéger leurs activités criminelles. Les terroristes n’ont aucun anonymat à protéger : tôt ou tard tu seras appeler à te sacrifier pour la cause terroriste si tu es aux ordres, et si tu es un leader ton identité sera connue du monde entier et surtout des services de renseignement. Regardez à Cappuccino ce qui s’est passé : beaucoup de gens ont été à portée des terroristes mais n’ont pas intéressé ces derniers comme d’autres étaient particulièrement visés.

    Bon, arrêtons de nous chatouiller et rire, ça ne fait pas rire du tout. On est garçon, ou on n’est pas garçon. On est Burkind-bi ou on ne l’est pas. On pense qu’on est mortel, ou bien espérons-nous vivre éternellement ? Vivons-nous pour nous seulement, ou bien pensons-nous aux autres ? ...........

  • Le 7 février 2017 à 10:05, par ESPOIR_BURKINA En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Bonjour à tous, les questions que je me suis toujours posées sont les suivantes :
    - ces terroristes sont financés par qui ? (les armes, les vivres et le carburant) ;
    - comment cette minorité peut vivre paisiblement entre trois pays souverains (Burkina, Mali et Niger) sans être inquiété ne reste qu’une seule fois dans l’histoire ;
    - Et pourquoi les occidentaux ne intéressent pas de près à ce problème de la même manière qu’il ont "libéré" les peuples Irakien, Libyen et autre.
    J’en déduis qu’il y’a une très mauvaise foi quelque part et que ces gens sont protégés par des hommes très puissants dans le monde. Des hommes qui ont intérêts à ce que nous soyons toujours dans une position de faible et que nous ayons besoin d’aide sur tous les plans. Arrêtons de nous flatter avec ces histoires de renseignements et autre car nous sommes en train de nous attaquer aux conséquences du problème. Ces soit disant terroristes ne sont sont que la conséquence de mains invisibles(Visibles pour ceux qui raisonnent) qui cherche à perpétuer la colonisation.
    Nous ne sommes pas libre et vous le savez mieux que moi, et tant que se problème n’est pas réglés toutes les méthodes possibles seront mis au point pour nous garder sous leurs ailes. Exemple palpables : avant c’était les rebellions, mais aujourd’hui c’est le terrorisme.
    Réveillons nous car la colonisation continue et nous vivons l’une de ses pire formes actuellement. Nan lara, en sara

    • Le 7 février 2017 à 11:41, par YIRMOAGA En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

      Par rapport à vos questions, vous aviez les réponses ? L’afrique sera barrée à travers les apatrides et supos des occidentaux qui ont vendu l’âme du continent. Les jeunes iront mourir dans la mer et les valides restés sur place vont se faire incorporer dans des sectes et vont détruire le reste de la population.

    • Le 8 février 2017 à 14:50, par EBENEZER En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

      Internaute "espoir.....", l’Occident n’y est pour rien dans cette affaire. Soyons objectifs.

      • Le 20 février 2017 à 00:54, par SOME En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

        Quelle naiveté !!! ou plutot de la mauvaise foi : il n’est pas besoin d’etre diplomé ès ceci cela pour voir ce qui se passe dans ce pays ou la sous region...La esinformation est la meilleure arme.
        SOME

  • Le 7 février 2017 à 10:40, par VERITE En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    La question est plus que SIMPLE !!!
    Doit-on parler de droits de l’Homme avec des êtres qui ne le sont plus ?
    Certains pour avoir des subsides de l’Occident nous baratines à longueur de journée avec RESPECTS des Droits de l’Homme.
    Aujourd’hui, ayons le courage de mettre un Vrai Homme à la Défense et Sécurité, qui n’hésitera pas à Neutraliser, voir Exterminer cette Vermine.
    Nous savons tous que les Hommes Politiques ne sont que de vulgaires manipulateurs, calculateurs, qui sont très bien gardés et choyés par la République, donc à l’abri du DANGER, et plus préoccupés à lancer des ballons d’essais pour se payer des AVIONS de dernière génération ; pendant des familles entières sont décimées par la misère et ces corolaires : terrorisme, faim,......

  • Le 7 février 2017 à 10:41, par koana En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    vivement que Dieu le tout puissant nous libère de la force du mal. NOUS DEVONS RESTER DANS LE SLOGAN DIT : LA PATRIE OU LA MORT

  • Le 7 février 2017 à 11:28, par dab En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Paix aux âmes des défunts, si réellement de part nos interventions nous contribuons d’une manière ou d’une autre à la conquête de la paix au nord de notre cher patrie, SVP savons raison gardée de certains propos. Pensez-vs réellement que le Général sera loyal jusqu’à la fin de sa mission si on le libère ? Je ne pense pas, il utilisera cette aubaine pour mieux s’organiser et assoir une rébellion. Quand on signe un pacte avec le diable il n’y a pas de retour possible.

  • Le 7 février 2017 à 11:33, par warzat En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Silence,on traque et on tue,le semblable soigne le semblable donc la terreur guérit du terrorisme. J’espère que nos forces de sécurité l’ont compris. Elles doivent traquer et tuer aussi. L’état de droit ne marche pas avec le terrorisme, c’est du reste contraire à leur idéologie. Il faut donc faire comme eux, les traquer et les tuer.Les terroristes se fichent de dommages collatéraux, nos FDS ne doivent pas non plus en tenir compte. L’assassin a peur du gourdin.

  • Le 7 février 2017 à 11:39, par Le koulango En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    PROPOSITION CONCRETE
    1. La création de Comités de Défense de la Patrie (CDP ou CODEPA) dans tous les secteurs/Quartiers et villages des pays du G5.
    2. Formation, Equipement et fonctionnement, comme les CDR de 1983 à 1987. Cf. Abdoul Salam KABORE, Daouda TRAORE, Moussa DIALLO pour les militaires et Kader CISSE, Achille TAPSOBA et Moïse TRAORE pour les civiles.

  • Le 7 février 2017 à 12:08, par FLASH En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Analyse louable quoique partiellement bien menée. Pour notre part, il est bien de mener des actions militaires mais renforçons la logistique et les "pions" de renseignement préalablement formés(pas de place pour l’amateurisme dans une guerre qui coute la vie à de nombreux personnes.

    Par ailleurs, il est normale que des ’autorités’ par leurs sorties hasardeuses donnent des informations capitales pouvant coûter davantage de vie (cf Haut commissaire) car dans un pays quand on regule par la communication des différentes entités autoritaires voici ce que ça peut donner.
    Salam

  • Le 7 février 2017 à 12:10, par burkindi En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    moi, je vais pas polémique, mais tout juste dire que si moi on me nomme Ministre de la Sécurité Intérieur avec carte blanche : 03 mois pour installé mon réseaux de renseignements et mes agents de sécurité partout au Burkina ;il ni aura plus d’attaque terroriste et grand banditisme au Burkina si après 04 mois il a eu attaque terroriste au Burkina que l’ont me condamne à mort sans procès. LA PATRIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS.

  • Le 7 février 2017 à 12:14, par burkindi En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    moi, je vais pas polémique, mais tout juste dire que si moi on me nomme Ministre de la Sécurité Intérieur avec carte blanche : 03 mois pour installé mon réseaux de renseignements et mes agents de sécurité partout au Burkina ;il ni aura plus d’attaque terroriste et grand banditisme au Burkina si après 04 mois il a eu attaque terroriste au Burkina que l’ont me condamne à mort sans procès. LA PATRIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS.

  • Le 7 février 2017 à 14:48, par mano En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    il est difficile voir même impossible de réveiller des gens font le semblant sommeil. le problème est réel mais demander au autochtone de vous dire la vérité.

  • Le 7 février 2017 à 15:57, par kafandoaziz@yahoo.fr En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Pauvre de Lorum et de Titao mon village.. Soit c’est le MCD qui est décrié soit c’est le Haut Commissaire qui est décrié. Eeh Dieu

  • Le 7 février 2017 à 16:36, par Sorbonne En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    IL FAUT PEUT-ÊTRE INFILTRER LA ZONE EN SPECIALISTES DES RENSEIGNEMENTS COMME DES GENDARMES ET AUTRES. .,EUX ILS S AURONT TRAITER AVEC PRUDENCE TOUT MOUVEMENT SUSPECT. NE PANIQUONS JAMAIS FACE À CES MECS TERRORISTES SINON ILS PRENDRONT LARGEMENT LE DESSUS.

  • Le 7 février 2017 à 20:45, par Jean Nemar En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Bonjour,
    Je suis belge et je m’apprête à partir au Burkina en juillet, dans un petit village non loin de Koudougou.
    Qu’en est-il de la situation dans la région ? Y a-t-il un danger ou la situation est tout à fait calme là-bas ?

    Merci d’avance pour votre réponse :)

    • Le 8 février 2017 à 19:47, par M7S En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

      Bonjour Jean Nemar,

      Pas de paniques ce n’est pas tout le Burkina qui est concerne, tu peux prendre tranquillement ton ticket et tu seras le bienvenu avec une bonne calebasse de zoom koom...
      you are welcome !!!

      • Le 13 février 2017 à 20:13, par Jean Nemar En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

        Merci de votre réponse, ça me rassure :)

        On m’avait déjà indiqué que la région était sûre, mais les récents événements m’inquiétaient...

  • Le 7 février 2017 à 21:07, par Ancien En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Je demande à tous les internautes d’inviter les autorités à militariser le Soum. Il faut occuper le Soum et le passer au peigne fin pendant trois a 4 mois. Organiser des patrouilles nuit et jour sur tous les axes, toutes les pistes. S’il y a des caches d’armes, elles seront découvertes. Les populations seront rassurées et nos FDS auront des informations mêmes sur des terroristes au Mali. Même s’il faut que les burkinabè paient des efforts de guerre il faut le faire. Les populations n’attendent que ça. Mais la lenteur de nos autorités donne chaque jour de l’avance aux terroristes. Que tous les internautes reprennent cette suggestions pour obliger nos autorités à l’entendre. Et puis,je ne sais plus qui avait fait la proposition, Kôrô Yamyélé je pense avait suggéré de proposer des prix. Et il y aura des chasseurs de prix. Ne serait-ce que contre Amadou Koufa et Ibrahim Dicko.
    Par ailleurs, il faut que les forces de l’ordre arrêtent les raquettes. Si non il y aura jamais de collaboration. Jamais. Comment voulez-vous être une autre forme de menace contre quelqu’un et attendre qu’il vous accompagne ailleurs ? Les chauffeurs n’ont pas tort. La première entrave à la collaboration des populations ce sont les forces de l’ordre par le comportement de certainsd’entre eux. Les transorteurs routiers par leur mot d’ordre de grève le confirme.

  • Le 7 février 2017 à 21:10, par Ancien En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Je demande à tous les internautes d’inviter les autorités à militariser le Soum. Il faut occuper le Soum et le passer au peigne fin pendant trois a 4 mois. Organiser des patrouilles nuit et jour sur tous les axes, toutes les pistes. S’il y a des caches d’armes, elles seront découvertes. Les populations seront rassurées et nos FDS auront des informations mêmes sur des terroristes au Mali. Même s’il faut que les burkinabè paient des efforts de guerre il faut le faire. Les populations n’attendent que ça. Mais la lenteur de nos autorités donne chaque jour de l’avance aux terroristes. Que tous les internautes reprennent cette suggestions pour obliger nos autorités à l’entendre. Et puis,je ne sais plus qui avait fait la proposition, Kôrô Yamyélé je pense avait suggéré de proposer des prix. Et il y aura des chasseurs de prix. Ne serait-ce que contre Amadou Koufa et Ibrahim Dicko.
    Par ailleurs, il faut que les forces de l’ordre arrêtent les raquettes. Si non il y aura jamais de collaboration. Jamais. Comment voulez-vous être une autre forme de menace contre quelqu’un et attendre qu’il vous accompagne ailleurs ? Les chauffeurs n’ont pas tort. La première entrave à la collaboration des populations ce sont les forces de l’ordre par le comportement de certainsd’entre eux. Les transorteurs routiers par leur mot d’ordre de grève le confirme.

  • Le 8 février 2017 à 06:10, par Ka En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    ’’A’’ l’internaute Virgule, ou lionceau ou encore… encore…Ton camouflage a assez durer, soit un vrais partisan comme Yako, et découvre toi pour défendre tes mentors qui ont fui le pays, au lieu de salir le forum de Lefaso.net avec tes multiples pseudos. Le Burkina n’aura pas besoin de ceux qui trahissent et faites des coups d’états à la maternelle pour combattre les terroristes. J’ai l’espoir que le sommet de G5 du sahel, avec un président digne d’un guerrier qui a promis de mater ces porcs de Djihadiste se réalisera, comme il l’a fait avec les punaises de BOKOHARAM. Les Djihadistes sont des fous, mais ils auront en face d’eux un fou, plus fou qu’eux. Les terroristes vont tomber pour la première fois sur un fou qui est le président Deby qui tient toujours sa parole comme il a fait trembler les mouches de BOKOHARAM. Si les partenaires Européens lui donnent des armes de pointe, il fera la différence. Si ce sommet à Bamako tienne ses promesses, avec Deby et ses hommes en association avec ceux des pays voisins, les Djihadistes iront vomir leurs crimes en enfer. Un homme doit avoir quelque chose dans la tête mais aussi dans le pantalon, le président du Tchad, a les deux. Il l’a prouvé en combattant Kadhafi. Quand il s’agit de combattre des punaises comme les djihadistes, beaucoup de nos présidents n’arrivent pas à trouver des solutions que de collaborer avec eux pour de l’argent comme faisaient un président introverti et son bras droit dans une prison : Mais Idriss Deby Itno, est un Président digne de parole d’un militaire, et n’a pas peur : le seul en Afrique centrale à engagé ses hommes pour faire face à BOKOHARAM. La valeur d’un homme ne se tient pas aux paroles, mais aux actes, et Deby est un homme d’action, et non théorique comme ses paires.

  • Le 8 février 2017 à 19:07, par M7S En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Vue la situation peut être qu’on a souvent un truc pareil entre quatre murs :
    -  Informateur : bonjour Naaba
    -  Naaba (3 ans de service) : yaa boin ?
    -  Informateur : yelka ye
    -  Naaba : parle !
    -  Informateur : mon voisin là est bizarre deux jours là …
    -  Naaba : ah, bon, il a fait quoi ?
    -  Informateur : rien, il… il… bon, je vais revenir
    -  Naaba : faut plus venir ici si tu n’as rien à dire… faux type la
    (deux jours après)
    -  Naaba : hey, toi là viens ici
    -  Inconnu : oui chef, comment vous allez ? et votre famille ?
    -  Naaba : tu as fait quoi et ton voisin dit que tu es bizarre…
    -  Inconnu : moi ? non, il a du me confondre a quelqu’un
    -  Naaba : comment ?
    -  Inconnu : mon enfant était malade, j’ai du l’amener hors du village pour soigner, justement je partais pour payer du pain et du lait pour lui
    -  Naaba : ah ok, vas y alors…
    Deux jours plus tard on apprend que l’informateur est mort et son voisin lui n’est plus dans le village…
    Je me dis que c’est comme cela les gens vivent dans la zone et ceux qui sont censés traquer les terroristes effleurent les terroristes qui les filent dans les mains et des malheureux sont abattus. C’est mon analyse, quand j’ai parcouru le forum, selon moi. Je peux me tromper mais cette lutte ne connaitra une fin heureuse si au lieu de se disputer des postes on se met au travail. Rien ne sert de nommer des généraux qui dictent des textes assis dans des fauteuils et salles climatisées. Excusez-moi si j’ai fauté. M7S

  • Le 17 février 2017 à 11:50, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Nord du Burkina : Silence, on traque et on tue !

    Pauvre Burkina Faso...
    Plusieurs acteurs au Burkina ont contribué à la "diplomatie souterraine" de Blaise Compaoré. Ils ont lié des liens politiques, amicaux et d’affaire avec de nombreux acteurs dans d’autres pays : Opposant, rebelles, djihadistes, indépendantistes etc...

    En ce qui concerne les djihadistes, ces relations sont plutôt mafieuses : Le Burkina leur offrait l’asile, le séjour dans les meilleurs hôtels et villas, éventuellement un passeport ou autres facilités de voyage. Ils leurs servaient d’intermédiaires pou acquérir des armes, pour vendre leurs produits (cacao, diamants, or) ou pour monnayer des otages. En retour, ils partageaient avec eux des renseignements et de l’argent, ce qui explique la fortune de certains et leur réputation de "bien renseignés". Ce sont donc les complices de ces djihadistes, lesquels étaient (sont ?) prêts à les aider à (re)prendre le pouvoir au Burkina. D’ailleurs, certains expliquent les attaques dont nous sommes victimes par un vaste plan dans cet objectif. En rendant le pays ingouvernable, on crée les conditions pour fragiliser l’état, obligeant à une "réconciliation nationale" qui remettrait en selle leurs amis, ou à leur retour par les élections en 2020.

    Et malgré tout cela, il y a des Burkinabè qui croient qu’en libérant ces personnes, amies des djihadistes, ils vont nous aider à combattre leurs amis et complices ! Vraiment, nous sommes trop naïfs...