Retour au format normal
lefaso.net

Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

mardi 9 août 2016.

 

L’organe dirigeant du Mouvement du Peuple pour le Progrès (MPP), parti au pouvoir, a animé une conférence de presse ce lundi, 8 aout 2016 à son siège national sis au quartier Ouidi, Ouagadougou. Cette rencontre qui a été pilotée par le deuxième Vice-président du parti, Simon Compaoré, avait à son ordre du jour des questions relatives à la vie nationale et à la dynamique de de gouvernance MPP.

‘’Une rencontre pour faire le tour d’horizon de la situation nationale et aussi pour se titiller par devoir de redevabilité, en donnant sa vision sur la marche du pays, les difficultés mais aussi les succès engrangés pour pouvoir faire davantage bouger les lignes’’, a campé le principal animateur de la rencontre avec la presse, Simon Compaoré. La tâche est ensuite revenue au secrétaire chargé de la santé et de la question des populations du parti, Bindé Ouoba pour livrer le contenu de la déclaration liminaire (ci-dessous « Coup de fil de Roch Kaboré à Blaise Compaoré » : Pour le MPP, c’est de l’intoxication-) en dressant le bilan du scrutin municipal du 22 mai dernier, en évoquant les nouvelles mesures fiscales et le cinquième TAC.

Ainsi, on retient qu’à l’issue des élections municipales, le parti au pouvoir s’est adjugé la gestion de 270 communes et arrondissements sur un total de 370 et dix Conseils régionaux sur les treize. Parti vainqueur également aux élections couplées (présidentielle et législatives) du 29 novembre 2015, le MPP se positionne comme la « première force politique du Burkina ». Malgré cette majorité, explique son deuxième Vice-président, Simon Compaoré, le MPP est parvenu à constituer une majorité avec d’autres partis politiques (APMP, ndlr) pour la mise en œuvre du programme du Président Roch Kaboré. Analysant l’environnement politique national, notamment sur l’angle des rapports entre partis politiques, Simon Compaoré a (tout en laissant le jugement à chaque observateur) affirmé qu’« avec les partis de l’opposition, nous n’avons pas de problème particulier ; chacun joue sa partition : eux, ils s’opposent, ils critiquent et nous, on travaille ». Pour lui, il appartient à l’histoire de ‘’sanctionner’’ l’action de chacun. C’est pourquoi, dit-il ne pas perdre de vue que son parti, qui gère le pouvoir, a un devoir de redevabilité vis-à-vis du peuple. D’où l’engagement du MPP, avec les partis-alliés, de travailler chaque jour à « aller de l’avant pour satisfaire les besoins fondamentaux des populations ».

Sur le cinquième Traité d’Amitié et de Coopération (TAC), le parti a salué « la qualité de la conduite des travaux » qui ont abouti à la signature de treize accords. « Se référant à l’histoire, ce traité pourrait aller plus loin ; il vous souviendra que les pères fondateurs que sont les présidents Maurice Yaméogo et Houphouët-Boigny avaient envisagé à un moment donné, de créer une carte d’identité unique pour les populations de nos deux pays. Pour notre Parti, les intérêts des peuples transcendent ceux des individus et des dirigeants. Le MPP salue et félicite le gouvernement pour la tenue et la réussite de ce 5ème TAC, dont les retombées sont incalculables pour le bien-être des populations des deux pays », note-t-on de la déclaration, soutenue par Simon Compaoré pour qui, la grande majorité des Burkinabè est satisfaite des conclusions de cette rencontre.

Mesures fiscales, « pas un blanc-seing au gouvernement pour faire du n’importe quoi »

En ce qui concerne les nouvelles mesures fiscales, les responsables du MPP les perçoivent comme l’incarnation d’un « souci d’équité et de justice sociale » et félicite, de ce fait, le gouvernement pour ces initiatives visant à élargir l’assiette fiscale et à accroître les recettes. Face à la divergence de vues sur la question, Simon Compaoré et ses camarades : ‘’ Ce n’est pas un blanc-seing qui a été donné au gouvernement pour faire du n’importe quoi. Cette loi, ce n’est pas un passeport pour tout ; c’est pour réaliser, dans un délai bien précis, dans la transparence des actions précises… ’’. Pour Simon Compaoré, « Savoir compter sur ses propres forces » ne doit pas être un slogan creux. « Il faut arriver à faire de ce slogan, une réalité », exhorte-t-il. « Nous venons de mettre en place un nouveau référentiel, le PNDES, qui doit guider l’ensemble des actions que nous allons mener jusqu’en 2020 et ce plan, pour le réaliser, il faut au bas mot, quinze mille milliards de FCFA », rappelle M. Compaoré, mettant en exergue les efforts qui doivent être consentis dans la mobilisation des ressources internes pour injecter dans les investissements (source de création d’emplois et de richesses) et améliorer ainsi le niveau de vie des populations. ‘’ Il faut accepter, riches comme moins riches, de consentir quelque chose. C’est en cela qu’on peut comprendre qu’on demande à ceux qui boivent la bière, de faire un effort. Cet effort n’est pas hors de leur portée. Vous verrez que même si on augmente la bière de 50 FCFA, ce sera sans découragement par rapport à la consommation actuelle que nous voyons sur le terrain. (…). Les nouvelles taxes ne portent pas atteinte à la qualité de vie de l’immense majorité de la population’’, soutient le principal orateur de la conférence. Sur le jeu de hasard par exemple, et s’adossant aux explications du Premier ministre lors de sa rencontre avec la presse la semaine dernière, M. Compaoré a relevé que les jeux au niveau de la LONAB (Loterie nationale burkinabè) ne font pas partie parce qu’ils étaient déjà soumis à des taxes. « Ce sont ceux qui vont au-delà, c’est-à-dire au niveau des Casinos ou aux Billards qui sont concernés. Ce sont ceux qui ont suffisamment le pognon, qui peuvent manger, se soigner et avoir un reliquat qui peuvent aller jouer au Casino ou au Billard ; le commun des Burkinabè ne va pas à ces endroits », a-t-il démontré.

Selon Simon Compaoré, toutes ces mesures sont d’ailleurs à charge de redevabilité et le gouvernement sera appelé, à terme, à passer devant l’Assemblée nationale pour se soumettre à la ‘’sanction’’ des députés. Tout ce qui doit être réalisé, dans cette loi, est limitativement cité et ce sont des domaines qui intéressent les populations (infrastructures scolaires, sanitaires, etc.), poursuit le conférencier. « Pas de possibilité de faire la merde », insiste-t-il.

Il dit comprendre ceux qui s’opposent à ces mesures. ‘’ Si le programme présidentiel continue à se réaliser avec perspicacité, ça va couper l’herbe sous les pieds des autres (partis de l’opposition, ndlr). Ils souhaitent qu’on échoue. Et comme ils sont intelligents, nous aussi intelligents, chacun va jouer sa partition ! En tout cas, nous, nous allons avancer … ‘’, titille Simon Compaoré. A l’en croire, les députés de la majorité se rendront les jours à venir auprès des populations pour expliquer le bien-fondé de ces mesures et couper court aux « intoxications ».

Les dossiers ‘’ brûlants ’’ : ‘’ La balle dans le camp de la justice ’’ !

Sur les questions judiciaires, le parti a salué les efforts du gouvernement de faire en sorte que la justice soit indépendante pour exercer pleinement ses missions pour le peuple. Il s’agit, pointe-t-il, de l’amélioration des conditions de travail des juges et de la mise à leur disposition de moyens dans le cadre de certains ‘’gros dossiers’’ qui le requièrent, à l’image de celui relatif à l’ancien Président, Thomas Sankara. « Maintenant, c’est à la justice de réagir, de répondre », a lancé Simon Compaoré. Sur la justice militaire (qui gère le dossier du putsch, ndlr), les responsables du parti disent souhaiter « vivement que l’année 2017 ne voit pas ces dossiers inachevés. Nous souhaitons que la parole soit tenue à ce niveau. Il faut que nous renouions avec notre histoire, avec le peuple, avec l’extérieur pour montrer clairement que nous avons tourné la page et que lus rien ne sera comme avant. (…). S’il y a des gens qui sont très pressés à ce que ces dossiers soient jugés, c’est bien nous parce que, ça va être un point d’honneur pour ce pouvoir qui est venu pour tourner définitivement la page », déclare Simon Compaoré. Il souligne cependant qu’il n’est « pas question » pour le gouvernement de s’immixer dans le domaine de la justice.

La question des réformes en cours n’a pas été échappée aux échanges et sur la question, Simon Compaoré rassure ceux qui pourraient être sceptiques, que le régime « n’a aucun agenda caché ». S’appuyant entre autres sur la composition de la commission (constitutionnelle) ‘’dotée de toutes les sensibilités’’ sociales. Pour Simon Compaoré, il s‘agit, à travers une nouvelle Constitution, de renforcer les acquis (plus jamais de tripatouillages sur l’article portant limitation du nombre de mandats présidentiels) et d’équilibrer les pouvoirs. L’actuelle Constitution donne, selon lui, « une trop grande primauté au Président du Faso » ; d’où la nécessité de rééquilibrer. Quant au type de régime, il estime simplement que ce sont des aspects qui seront discutés au sein de la commission.

« Moins de bavardage, plus d’actions » !

Sur les mouvements enregistrés sur le front social, les dirigeants du parti les analysent comme un ‘’processus normal’’ lié aux attentes fortes qui s’expriment, lorsque s’installe tout nouveau pouvoir. ‘’Mais, même le Burkinabè lambda, quand vous allez discuter avec lui, il est à même de comprendre que pour certaines réformes et actions, il faut un peu plus de temps’’, dit-il avant d’affirmer que pour certaines personnes, ces moments apparaissent aussi comme une aubaine pour « pêcher en eau trouble ». « Mais ça, c’est normal. Si on était à l’opposition, peut-être qu’on aurait fait la même chose », concède-t-il. Il a invité à un sursaut car, convainc-t-il, « aucun de nous n’a envie que le Burkina disparaisse de la scène politique sous-régionale, régionale et mondiale. Nous voulons être un pays avec lequel il faut compter demain ».

Simon Compaoré a confié que le MPP (et ses partis allié) ne faiblira jamais et c’est admet-il : ‘’ toutes les critiques constructives qui sont faites également seront exploitées parce que s’il n’y a pas critiques, nous ne pouvons pas avancer » et le mot d’ordre c’est : « moins de bavardage, plus d’actions ». S’adressant au peuple burkinabè, Simon Compaoré a confié : « Nous mesurons la lourdeur de la charge et les attentes qui restent toujours fortes, en dépit de ce début promoteur. Ensemble, nous allons relever le défi ». Il invite l’ensemble des couches sociales à une mobilisation autour du nouveau référentiel (PNDES) afin qu’en 2020, les objectifs qui lui sont assignés soient atteints. « L’audace, nous en avons à revendre. La volonté, nous en avons aussi. Vouloir, c’est pouvoir », signe le deuxième Vice-président, chargé des relations extérieures du MPP, Simon Compaoré.

Oumar L. OUEDRAOGO
(oumarpro226@gmail.com)
Lefaso.net



Vos commentaires

  • Le 9 août 2016 à 07:50, par Koumbem Tipousga En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Et la décision de la Cour de Cassation et le remplacement des juges au niveau du Tribunal militaire pour avoir des juges avec qui le Président peut travailler relève de quoi messieurs les orateurs. Il faut parler de ce que les gens ne savent pas. Mon oeil. Quelle indépendance de la justice si des ministres se réjouissent de la levée forcée d’un mandat ? Il faut parler d’autres choses et laissez nous avec vos histoire de justice indépendante comme si nous vivons en Afghanistan et vous au Burkina. Trop de navigation à vue et de non maitrise de la communication politique. Coup de fil ou pas, personne n’est dupe et nous voyons venir. Il faut continuer à réunir les ingrédients de votre impopularité seulement.

  • Le 9 août 2016 à 09:40 En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Monsieur le 2ème vice président du MPP, dans votre ministère vous avez tenu un conseil de discipline mais qu’en est - il pour l greffier qui a raturé une décision de justice. Ne doit - il pas être entendu par un conseil de discipline. Revenons aux taxes, le DG des impôts a relaté que le BF est un pays qui compte beaucoup de maquis est - ce qu’en montant le prix de bière de 50 FCFA (parce que monté le prix de 10 ou 15 F CFA revient à faire une augmentation de 50 FCFA) car les pièces de 5, 10 ou même 25 FCFA sont difficilement trouvables sur la place) réduirait le nombre de débits de boisson ? Monsieur le 2ème vice président, quand vous étiez maire, vous n’avez pas pu résoudre le problème des chambres de passe et pourtant c’est bien un domaine à taxer. Si vous voulez lever assez de sous, il faut taxer ces maisons de passe, maisons d’hôtes, etc. qui sont dans les quartiers qui font rentrer l’argent sans frais payer. Il y a deux choses, 1) taxer les chambres de passe, maisons d’hôte, pour les classer en auberge ou hôtel afin de collecter les taxes ; 2) réduire le nombre de maquis avant de taxer la bière.

  • Le 9 août 2016 à 09:43, par Parim yéllé En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Celui qui parlait ainsi donnait l’exemple.Il nous faut plus que des slogans mais des actes concrets, visibles et mesurables.

  • Le 9 août 2016 à 09:46, par zemosse En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Je recommande à l’honorable député Ouoba Bindi d’être moins passionné et de rester calme quand il s’exprime, son honorabilité l’exige en tout temps.

  • Le 9 août 2016 à 09:59, par Mathieu COMPAORE En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Justice indépendante dans un terme de menet à bien votre guise. On a n’a mare de vous voir vilipendé sur des réalités que vive notre cher pays . là la question de voir comment allez vous conspiré à trouvé des solutions idoines pour mieux soulager la vie economique de la population et non de l’appauvrir davantage avec vos proges de lois sans une bonne etude sur la réalité de la vie sociale de la population.

  • Le 9 août 2016 à 10:14, par zemosse En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Après l’exigence des sacrifices, demandé par le PM Kaba, voici Simon qui se rappelle du slogan de Sankara : "comptons sur nos propres force" ; si on l’avait appliqué depuis 30 ans ,le Burkina serait grandement auto-suffisant à l’étape actuelle. Nos parents ont payé des impôts depuis l’époque coloniale jusqu’en 1983. Cet impôt a permis a la génération 1960 - 1970 de fréquenter l’école gratuitement et de devenir des cadres compétent. De nos jours, près de 80% de Burkinabé ne payent aucun impôt ! 27 ans de culture du gain facile, de la fainéantise et de détournements ( 25 millions dissipés au cours d’un voyage du PM himself, 300milliards dissipés,introuvables) ont conduit a la situation actuelle du Burkina. Mieux vaut tard que jamais.Qui vivra verra.

  • Le 9 août 2016 à 10:17, par neya boukari En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    C’est bon de compter sur ses propres moyens quand c’est le pauvre peuple qu’on saigne à blanc et qu’on oblige à serrer le ceinture, quand les dirigeants se vautrent dans le luxe, la luxure et la corruption.
    Le sacrifice doit être partagé et le développement aussi

  • Le 9 août 2016 à 10:27, par kaboré anouar En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Le president salif diallo félicitait hier lors de la conference de presse du mpp sur un certains nombres d’acquis réalisés en très peu de temps par le pouvoir en place (à travers la mise en œuvre satisfaisante du programme présidentiel d’urgence 2016) : il s’agit entre autre de :

    – la création de 4200 emplois jeunes dans le domaine de l’enseignement secondaire,

    – la gratuité des soins de santé,

    – le recrutement de 16 000 agents communautaires de santé,

    – le lancement en cours du programme des logements sociaux dans les communes,

    – la réalisation en cours, de milliers de forages et de latrines, etc.

    Fort est de constater que malgrè tout ces efforts du gouvernement , que je salut au passage, nous sommes confrontés dans nos hopitaux à une rupture incessante de materiel et de produits de première neccessitè. Faite un tour à la salle d’accouchement du service de gyneco obstretique du CHUYO ou le manque de materiel adequat surtout en ce qui concerne les kit de cesariènnes se fait ressentit de plus en plus ( kist incomplets). Sans oublier le matierièl défectieu utilisé pour ces cesariennes. J’en deduits que cette gratuitè n’est donc pas un oeuvre satifaisante mais plutot un échec.

    Sur la questions des 4200 emploies, il est neccessaire de preciser que 90% de ces jeunes employés sont tous issus du parti au pouvoir ( mpp ). Ce qui est loin d’etre oeuvre satifaisante vu que plus de 75% de la jeuness burkinabè se retrouve toujours au chomage ( causes de multiples vices )

    Il convient alors que beaucoup reste á faire pour que les maigres actions entrepris par l’etat afin d’allerger les souffrances du peuple burkinabé soient félicitées. Nous interpelons Mr Salif Diallosur le fait, que le peuple surtout la jeuness burkinabé, attend de ses dirigeants des actions et des faits concrets et non des euloges

  • Le 9 août 2016 à 10:32, par YAAM SOBA En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Monsieur le 2ème Vice Président du MPP, de grâce pensez au bas peuple qui s’est battu pour le VRAI CHANGEMENT. Depuis votre arrivée au pouvoir on constate des signes d’une volonté de retour à la normale de notre pays, mais on les perçoit difficilement. Les pratiques tant décriées sous le régime Compaore refont surface telles que les nominations de Seydou Zagre et Lassanne Sawadogo, que l’opposition a vivement critiqué. Sans compter le nouveau projet de loi sur les passations des marchés publics et le passage à la 5eme république pendant que les caisses de l’Etat sont vides et que le chômage a atteint un niveau endémique du fait de la grave crise économique qui sapent tous nos espoirs de développement !

    YAAM SOBA

  • Le 9 août 2016 à 10:57, par ACHILLE DE TAPSOBA En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    HOMMAGE A NOS MARTYRS du 30, 31 Octobre 2014 et 16,17 Septembre 2015

    Tu ne peux pas mettre des enfants au monde et dire à tes voisins de les nourrir à ta place. C’est une démission notoire. La Cote d’Ivoire ne peut pas relancer l’économie du Burkina à la place des Burkinabés c’est enfantin de penser au miracle ivoirien. Vous avez cru que le grand frère Ado était le messie aux problèmes des Pauvres Burkinabés vous êtes partis vous agenouiller à Abidjan devant la Grotte Sainte Dominique Ouattara pour le supplier pour qu’il vous apporte secours et assistance. Vous avez été vite désenchantés car Ado "l’homme de paix" n’est pas la solution aux problèmes de la population paupérisée du Burkina. Les ivoiriens désespérés des 2 mandats consécutifs d’Ado le vomissent chaque jour.

    Chers amis du mpp, il ne suffit pas d’être divin ou géomètre pour savoir que vous n’avez plus de solution économique pour une population très pauvre que vous(RSS) avez impitoyablement pillée pendant 26 ans avec votre bande. Vous étiez au cœur (maitres d’ouvrage) de tous les systèmes mafieux(trafics illicites de tout genre) de Blaise Guessan voici que vous êtes aujourd’hui dans de sales draps.Vous avez pris le pouvoir assumez l’entière responsabilité d’après le Grand et Célèbre Thomas SANKARA le Brave Peuple vous attend rapidement. Pas de pitié pour les traitres selon votre mentor Blaise Guessan Compaoré chassé en plein midi.

    Naturellement,on ne construit pas une nation sur du mensonge votre maitre à penser Blaise Guessan " l’artisan de paix ou le médiateur international hors pair" peut vous faire une bonne thèse de soutenance sur la mal gouvernance et l’impunité érigées en système de gouvernance. Vous avez pris de grosses promesses pendant la campagne présidentielles honorez-les. Rendez au Brave Peuple ceux que vous a pris(volé) pendant 26 ans vous aurez la conscience tranquille sans crime. Le Brave Peuple ne croit plus à des narrateurs en émergence 2020 ou conteurs générationnels de fables et de fées.

    Enfin, chers amis du mpp, le match est plus difficile et très serré. Le pouvoir ce n’est pas bouche mais technique d’après nos frères ivoiriens.

    Notre combat contre l’impunité continue. BRAVE PEUPLE BURKINABÉ, NE TRAHISSONS PAS NOS CHERS MARTYRS. C’est à travers notre courage que nous progressons au bonheur de tous les BURKINABÉS.

    LA VÉRITÉ TRIOMPHERA SUR LE MAL OU L’IMPUNITÉ(le mensonge) UN JOUR

    A NOS MARTYRS QU’ILS SE REPOSENT EN PAIX. QUE JUSTICE LEUR SOIT RENDUE RAPIDEMENT

    JUSTICE POUR NORBERT ZONGO
    JUSTICE POUR THOMAS SANKARA
    JUSTICE POUR SALIFOU NEBIE
    JUSTICE POUR DAVID OUEDRAOGO
    JUSTICE POUR DABO BOUKARY

    VICTOIRE TOUJOURS AU BRAVE PEUPLE
    VIVE LA DÉMOCRATIE AU FASO
    VIVE LE BRAVE PEUPLE BURKINABÉ

    QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE LE BURKINA QUE NOUS AIMONS TOUS.AMEN
    PAIX ET SUCCÈS A TOUS LES BURKINABÉS . AMEN

    ACHILLE DE TAPSOBA LE BOBOLAIS
    Insurgé

  • Le 9 août 2016 à 11:10, par YAAM SOBA En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Monsieur le 2ème Vice Président du MPP, de grâce pensez au bas peuple qui s’est battu pour le VRAI CHANGEMENT. Depuis votre arrivée au pouvoir on constate des signes d’une volonté de retour à la normale de notre pays, mais on les perçoit difficilement. Les pratiques tant décriées sous le régime Compaore refont surface telles que les nominations de Seydou Zagre et Lassanne Sawadogo, que l’opposition a vivement critiqué. Sans compter le nouveau projet de loi sur les passations des marchés publics et le passage à la 5eme république pendant que les caisses de l’Etat sont vides et que le chômage a atteint un niveau endémique du fait de la grave crise économique qui sapent tous nos espoirs de développement !

    YAAM SOBA

  • Le 9 août 2016 à 11:12, par ACHILLE DE TAPSOBA En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    HOMMAGE A NOS MARTYRS du 30, 31 Octobre 2014 et 16,17 Septembre 2015

    Tu ne peux pas mettre des enfants au monde et dire à tes voisins de les nourrir à ta place. C’est une démission notoire. La Cote d’Ivoire ne peut pas relancer l’économie du Burkina à la place des Burkinabés c’est enfantin de penser au miracle ivoirien. Vous avez cru que le grand frère Ado était le messie aux problèmes des Pauvres Burkinabés vous êtes partis vous agenouiller à Abidjan devant la Grotte Sainte Dominique Ouattara pour le supplier pour qu’il vous apporte secours et assistance. Vous avez été vite désenchantés car Ado "l’homme de paix" n’est pas la solution aux problèmes de la population paupérisée du Burkina. Les ivoiriens désespérés des 2 mandats consécutifs d’Ado le vomissent chaque jour.

    Chers amis du mpp, il ne suffit pas d’être divin ou géomètre pour savoir que vous n’avez plus de solution économique pour une population très pauvre que vous(RSS) avez impitoyablement pillée pendant 26 ans avec votre bande. Vous étiez au cœur (maitres d’ouvrage) de tous les systèmes mafieux(trafics illicites de tout genre) de Blaise Guessan voici que vous êtes aujourd’hui dans de sales draps.Vous avez pris le pouvoir assumez l’entière responsabilité d’après le Grand et Célèbre Thomas SANKARA le Brave Peuple vous attend rapidement. Pas de pitié pour les traitres selon votre mentor Blaise Guessan Compaoré chassé en plein midi.

    Naturellement,on ne construit pas une nation sur du mensonge votre maitre à penser Blaise Guessan " l’artisan de paix ou le médiateur international hors pair" peut vous faire une bonne thèse de soutenance sur la mal gouvernance et l’impunité érigées en système de gouvernance. Vous avez pris de grosses promesses pendant la campagne présidentielles honorez-les. Rendez au Brave Peuple ceux que vous a pris(volé) pendant 26 ans vous aurez la conscience tranquille sans crime. Le Brave Peuple ne croit plus à des narrateurs en émergence 2020 ou conteurs générationnels de fables et de fées.

    Enfin, chers amis du mpp, le match est plus difficile et très serré. Le pouvoir ce n’est pas bouche mais technique d’après nos frères ivoiriens.

    Notre combat contre l’impunité continue. BRAVE PEUPLE BURKINABÉ, NE TRAHISSONS PAS NOS CHERS MARTYRS. C’est à travers notre courage que nous progressons au bonheur de tous les BURKINABÉS.

    LA VÉRITÉ TRIOMPHERA SUR LE MAL OU L’IMPUNITÉ(le mensonge) UN JOUR

    A NOS MARTYRS QU’ILS SE REPOSENT EN PAIX. QUE JUSTICE LEUR SOIT RENDUE RAPIDEMENT

    JUSTICE POUR NORBERT ZONGO
    JUSTICE POUR THOMAS SANKARA
    JUSTICE POUR SALIFOU NEBIE
    JUSTICE POUR DAVID OUEDRAOGO
    JUSTICE POUR DABO BOUKARY

    VICTOIRE TOUJOURS AU BRAVE PEUPLE
    VIVE LA DÉMOCRATIE AU FASO
    VIVE LE BRAVE PEUPLE BURKINABÉ

    QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE LE BURKINA QUE NOUS AIMONS TOUS.AMEN
    PAIX ET SUCCÈS A TOUS LES BURKINABÉS . AMEN

    ACHILLE DE TAPSOBA LE BOBOLAIS
    Insurgé

  • Le 9 août 2016 à 11:26, par bouba En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    si c’est ça votre bilan a vs réjouir, alors pleurons en.quel recul par le peuple. on vs sent déconnecté du peuple

  • Le 9 août 2016 à 11:55, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    - Regardez sur la table ! Que de vieilles momies qui refusent de faire de la place aux jeunes !!!! Regardez BONANÉ assis poutaayyyy !!!

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 9 août 2016 à 12:49, par Sie Noelle En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    On ne peut compter sur ces propres force quand on a toujours de bonnes idées et des belles actions. Mr le 2ème vice président, vous voulez tout faire à la fois dans votre état de viellesse que vous ne savez plus quoi dire. Le peuple burkinabé n’est pas un peuple mouton comme l’a dit Mr Laurent Bado.

  • Le 9 août 2016 à 12:54, par Karissa En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Un attelage singulier tracte la diligence de la Nation
    Avec pour intention professée de l’amener à destination.
    Éléphants, tigres et loups disent obéir au même cocher
    Qui de leur aveu n’est autre que la voix du peuple insurgé
    Sur cette route peu connue des bêtes de trait
    Le rythme de la marche doit être parfois refait.

    Pour pousser, disent-ils, le véhicule et sa charge à bon port
    Maints personnages qui proviennent de divers bords
    L’escortent de près et donnent parfois de la voix
    Demandant qu’en leur sacerdoce l’on fasse foi.
    Les uns se présentent en dompteurs invétérés
    Les autres en topographes inégalés.

    Tel prétendra d’une interjection accélérer l’allure
    Tel autre indiquer le meilleur itinéraire pour sûr
    Alors que les oreilles avisée s’étonnent des hue !
    Et les yeux familiers scrutent songeurs les rues.
    Accordons à nos espoirs toutes leurs chances
    En entrant parfois nous-mêmes dans la danse.

    Prenant le commencement pour la fin
    Ils pensèrent pouvoir s’offrir un festin.
    Du vieux grenier le cuisinier fit sortir les plats
    « A table messieurs, je vous ai servi votre repas ».
    Dans tel ustensile de l’oignon à découper
    Dans tel autre de la pomme de terre à éplucher.

    Tel est donc pris qui croyait prendre
    Et puisqu’il y a encore du bois à fendre
    L’on saura bientôt qui abhorre l’effort
    Et qui se proclame ouvrier à tort.

  • Le 9 août 2016 à 13:08, par wagie hurt En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Un autre phénomène nous paraît également inquiétant. C’est celui de la vérité au peuple burkinabé durant 8 mois les critiques se multiplie et sans effet pouvons nous nous attendre à quoi ? ses élites, qui ajoutent à une attitude constante de suffisance un goût pour l’argent qui va jusqu’à la prévarication sur des montants considérables avec un sentiment d’impunité rare dans une démocratie de cette importance.
    le temps nous donnera raison.

  • Le 9 août 2016 à 13:11, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    lefaso.net, s’il vous mettez ce post en guise de rappel à RMCK. Merci d’avance à vous.

    - Mr Roch Marc-Christian KABORÉ, avec tout le respect que je vous dois, permettez-moi une fois encore de revenir vers vous pour vous rappeler les conseils que je vous avais donnés à travers le faso.net, conseils auxquels un internaute ELKABOR (internaute 65) avait ajouté ceci : ‘’J’ajoute ceci : faire en sorte que nous soyons tous égaux devant le paiement des impôts. Il ne faudra pas que ce soit les mêmes qui payent tout le temps et d’autres quelques fois ou jamais comme les députés. Désormais les députés doivent payer les impôts comme tout le monde’’.

    Mr le Président, au lieu d’écouter ce que nous disons, votre gouvernement en entrain de nous imposer de nouvelles taxes et de ruser constamment avec les burkinabè. Le faso.net que je félicite, avait publié mes conseils à votre endroit le jeudi 31 décembre 2015 dans un article intitulé : ‘’Les conseils de Kôrô Yamyélé au nouveau président Roch Marc Christian Kaboré’’. Ces conseils toujours d’actualité, étaient :

    1/- Ne pas tomber petit-à-petit dans l’isolement pour fuir les problèmes des Burkinabè,
    2/- Ne pas céder aux chansons mélodieuses des rossignols trompeurs,
    3/- Ecouter souvent le hululement lugubre des oiseaux de nuit car ils lui crient souvent la vérité que les rossignols par leurs chants mélodieux vont lui cacher,
    4/- Ne pas faire comme ZIDA en ne nommant que ses amis et coreligionnaires jusqu’à ce que le peuple en ait ras-le-bol et le lui crie en face dans la rue !
    5/- Ne pas favoriser les mossis et les zones mossis dans les projets de développement et la répartition des richesses, surtout pas comme Blaise le faisait en goudronnant mêmes des pistes rurales dans le Plateau-Central chez lui (Ziniaré-Zitenga) qui ne sont suivies que par les cyclistes vendeurs de volaille !
    6/- Nommer des gens compétents aux postes où il faut et ne tenir compte d’aucun bord politique. On doit sentir ses résultats dès sa 1ère année de fonction car on est pressé puisque depuis 27 ans on est derrière !
    7/- Ne protéger personne et ne tolérer aucune gabegie ni détournements de deniers publics quelle que soit la personne car moi Yamyélé je n’entends pas payer mes impôts pour qu’un salaud les détourne pour lui seul !
    8/- Remettre les fonctionnaires au pas. Ils doivent travailler et donner vie au slogan : ’’Pas de boulot, pas de paye !’’. Surtout à l’Université de Ouaga contre les enseignants qui feintent leurs cours saccageant ainsi l’avenir des étudiants,
    9/- Tous les anciens du Régime Compaoré, si on ne leur reproche rien, doivent travailler et surtout aller enseigner à l’U.O. ! Il ne faut rien laisser au hasard encore dans ce pays ! Si, il leur est reproché des choses, ils doivent rendre compte et aller en prison s’il le faut ! A leurs sorties nous redeviendrons encore camarades !
    10/- Enfin contrôler Madame l’Epouse du Président du Faso que vous êtes afin qu’elle ne tombe pas dans des excès comme Chantal COMPAORÉ qui raffolait ici des « djandobas », qui faisait des commandes sans que la Douane n’osait ni contrôler, ni fouiller, et qui dépensait sur le Trésor public chaque année 48 millions de FCFA pour les voeux à la soi-disant 1ère Dame qu’elle était censée être et dont elle raffolait !

    LES PLUS GROS MORCEAUX MAINTENANT :

    - Il faut taper dans le mille dès le départ en envoyant beaucoup de fonctionnaires absentéistes, pourris et les militaires gabegiques, à la retraite d’office. Il faut alléger notre budget de ses poids morts car on n’a pas suffisamment d’argent !

    - Il faut appuyer la justice pour juger tous les dossiers pendants ! Même si un juge est concerné par des dossiers qui sont bloqués de par son fait, il faut lui demander des comptes et le juger s’il y a lieu ! Personne ne doit désormais entraver la justice. Pas même le juge ! Et Mr Roch, nous allons vous juger ici au pied du mur !

    - RESTAURER l’autorité de l’Etat aujourd’hui bafouée du fait de la COMPAOROSE dont vous aviez vous-mêmes si peur jusqu’au dernier moment, vous les RSS jusqu’à ce que Salif DIALLO, SIMON et le LAARLÉ osent défier avant que vous ne vous déterminiez pour sauter aussi dans leur danse !

    - Supprimer carrément les OSC à caractère politique même si elles vous ont accompagné à avoir le pouvoir. Toute OSC se montrant zélée doit être impérativement rappelée à l’ordre sinon dissoute !

    - Ne plus jamais permettre que des individus zélés, opportunistes, injurieux et arrogants ……….. ne puissent émerger dans ce pays ! Celui qui tenterait doit être conduit devant le juge et condamné !

    - Mettre aux pas tous les commerçants véreux, pourris et les transporteurs inciviques ! Il faut arrêter l’anarchie !

    - Enfin empêcher systématiquement vos parents de se mêler du pouvoir car nous les burkinabè, c’est vous que nous avons élu et non eux ! On l’a vu et vécu ici avec Blaise COMPAORÉ, son petit-frère et sa belle-mère dont les mains trempaient partout dans tous les secteurs économiques, leurs amis comme l’autre KABORÉ, ex-ministre des Mines, et qui ont fini par installer l’injustice, l’impunité et chienlit dans ce pays !

    Mr Roch, on ne vous demande donc pas l’impossible. On veut que vous soyez juste et équitable ! C’est tout !

    CONCLUSION  : Voilà ce que je vous avais conseillé et ça reste d’actualité aujourd’hui, soit 8 mois après votre élection. Et certains de vos ministres sont de véritables provocateurs qu’il va vous falloir recadrer afin qu’ils évitent le langage ordurier. Et même le PM, voyez comment il s’exprime ces derniers temps. Vous devriez vous chercher tous d’excellents conseillers et savoir que ce qui se faisait avant ne peut plus prospérer dans ce pays désormais.

    Merci d’en tenir compte Mr le Président car certains semblent avoir trouver en vous un homme qui permet de tou faire. Voyez simplement votre entourage.

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 9 août 2016 à 13:30, par Visa En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Monsieur le Maire, pardon, Monsieur le ministre d’Etat, je vous croyais homme politique, homme d’Etat, mais je pense sincèrement que je me suis trompé. Car votre réaction par rapport à la lettre ouverte du Dr Ablassé Ouédraogo est assez éloquente de votre capacité d’analyse et votre comportement en situation de « crise », si on peut l’appeler ainsi. De votre sortie lors de la conférence de presse sur la déclaration du Dr Ouédraogo, vous dites : si j’étais à la place de Ablassé Ouédraogo, j’allais me cacher. Vous faites ainsi référence au score obtenu par le parti Le Faso Autrement lors des élections présidentielle et législatives passées au Burkina Faso. Pour vous, le président de ce parti qui a enregistré moins de 2% à la présidentielle, 1 député élu à l’assemblée nationale et des conseillers municipaux devrait être banni pour mauvais résultats aux élections. Quelle vision de la démocratie pour des gens qui dirigent actuellement notre cher Faso. En quoi le Dr Ablassé Ouédraogo doit-il se cacher ? Vous auriez mieux fait de démonter les arguments développés par Ablassé Ouédarogo qui dit en substance que le pays va mal. Dites en quoi le pays se porte bien ou mieux. Même le citoyen que je suis a le droit de critiquer les actions du pouvoir en place, encore plus Ablassé Ouédraogo, président d’un parti qui a pour devoir d’animer la vie politique, donc de critiquer ou de défendre le pouvoir en place. Mais, certainement à court d’argument, dans un contexte où le pouvoir peine à rencontrer les attentes du peuple, on déni au citoyen et homme politique de se prononcer sur la vie nationale, comme s’il ne disposait plus de ses droits civique. En effet, s’il n’engageait que certaines personnes, réseaux sociaux et autres critiques dans la presse seraient aujourd’hui un souvenir lointain. Heureusement que le bon sens animent toujours certains de nos dirigeants.

  • Le 9 août 2016 à 13:46, par faber En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    M. Simon COMPAORE !
    Je rappel que BURKINA ne souffre pas plus d’un défaut de taxes que d’un déficit de recouvrement des impôts. Vos mesures seront comprises et acceptées mais Tachez d’abord d’assainir le milieu de la collecte des impôts et des taxes ensuite, Instaurez un impôt sur la fortune, le reste viendra. Ne prenez pas pas pour des nez percés !!!!!!!!!!!!!!

  • Le 9 août 2016 à 13:52, par Tonton SOLO En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    La question qui se pose est de savoir si le président Roch pourra achever son mandat tranquillement... Mr Simon Compaore priez le bon Dieu d’abord afin de pouvoir executer votre programme de société avant parler de deuxieme mandat. Je parie qu’en 2020 le peuple changera de camp vu la precarité qui sévit actuellement.

  • Le 9 août 2016 à 14:18, par paysannoir En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    le problème il ne dit pas quelles sont nos forces. c’est donc dire que nos forces, c’est nos faiblesses.

  • Le 9 août 2016 à 14:44, par alternance En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    je suis désolé pour le 2ème vice président mes les critiques ne sont pas prisent en conte et de sur crois ils n’arrête pas de mentir au peuple car cela est ignoble, ils nous montre toutes leurs incompétence et leur manque d’idées.

  • Le 9 août 2016 à 14:51 En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Je pense que le ministre devrait etre plus discret dans les reunions politiques au risque d’etre considéré comme un ministre des militants du MPP uniquement. Il a plusieurs occasions d’être sur la scène que lors de réunions politiques.

  • Le 9 août 2016 à 15:51, par Agent au Ministere En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Mr le 2 eme vice President . Je suis dans un ministere dirige par un de vos camarades assis à votre conference , il boit trop et ici au ministere tout le monde en a marre . Les mauvaises odeurs et haleine ca le connaît .cest tres décourageant pour notre image

  • Le 9 août 2016 à 16:25, par zamtako ousmane En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Je regrettre amerement d’avoir voté le mpp. Pendant la campagne présidentielle, les RSS tenaient un discours promettant le changement radical avec la chienlit que la compaorose a semée dans se pays. Hélas, voilà déjà 8 mois que le mpp est au pouvoir et rien na changé, bien au contraire la vie sociale, économique et politique est de plus en plus délétère. Et dans toutes cette merde, on augmente mes impôts au peuple, on libère des criminels détenus, on pactise avec l’Ivoirien Blaise compaore, on bloc certains dossiers en justice, les ministres et député nargent le peuple avec leur langage ordurier.
    J’ai vraiment été dupé et je me sent mal. Mais je suis convaincu que le prochain soulèvement populaire sera avant 2020 et personne ne fuira en belle famille.

  • Le 9 août 2016 à 21:27, par kanwoko En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Nous attendons seulement les marches contre la vie chère, l’augmentation des salaires,la lutte contre le chômage et l’insécurité.
    Tout ce qui se dit ne nous regarde pas, ils nous ont tout promis, paradis terrestre, manger à notre faim, sans quoi nous allons faire la fête de ces gars, si non faire leur peau depuis le changement de régime on a constaté que rien ne va.
    En tout cas au cadeau ne leur sera fait, COMPAORE a de la chance, nous l’avons constaté à tous les niveaux pendant son règne, mais ces malchanceux qui nous gouvernent sauront qui sont les BURKINABES.

  • Le 9 août 2016 à 21:59, par Idgomyan En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Fameux Simon, tu confonds MPP et exécutif ! Fait le bilan du MPP et laisse le Premier Ministre faire son bilan ! Comme tu fais le bilan de l’exécutif, dis-moi, à quand, la chute des prix des denrées de première nécessité (riz, sucre, lait, huile, etc.) ?

  • Le 10 août 2016 à 06:09, par Pol Nonguierma En réponse à : Situation nationale : « Il faut savoir compter sur ses propres forces », exhorte le 2ème Vice-président du MPP, Simon Compaoré

    Parler et professer les slogans de Tom Sank ou même revendiquer son héritage est TROP facile mais faire comme lui c’est décrocher la LUNE. Demandez conseil au Me....
    Tous ceux qui ont activement travailler pendant le Front Populaire et l’ODP/MT ne pourront jamais faire comme Tom Sank. C’est impossible car ca serait se faire Hara kiri. Donc quittez dans ça vite.

    Vous mesurerez l’immensité du gachis du 15 octobre 1987 qui a vu la mort du fils prodigue devant la non réussite et la stérilité de vos actions. On ne connait l’importance des fesses que quand on les a perdu et vient le moment de s’asseoir. La seule et la vraie question demeure : Aimez-vous réellement votre peuple ?