Assassinat de Thomas Sankara : « Le 15 octobre 1987 est un véritable gâchis », regrette Bassirou Sanogo, anicien ambassadeur du Burkina en Algérie
15 octobre 2020, 13:19, par
Kôrô Yamyélé
Cher HORUDIAOM, je vais te répondre :
’’......juste pour jouir du pouvoir’’ : Biensûr que c’était pour jouir du pouvoir. Et on le sentait chaque fois au visage de Blaise Comporé quand il regardait Thomas Sankara, on pouvait lire une certaine envie mêlée de jalousie et de regret. Par finir il n’a pas résisté !
’’N’est ce pas de l’égoïsme ?’’ : Evidemment que c’est de l’égoïsme. Et pas seulement de Blaise Compaoré, mais aussi des chefs mossis dits Naaba qui ne voulaient pas voir Thomas Sankara même en photo. Ils avaient horreur qu’un silmi-moaga ou peul-mossi soit chef d’état de Burkina !
Cher HORUDIAOM, je vais te répondre :
’’......juste pour jouir du pouvoir’’ : Biensûr que c’était pour jouir du pouvoir. Et on le sentait chaque fois au visage de Blaise Comporé quand il regardait Thomas Sankara, on pouvait lire une certaine envie mêlée de jalousie et de regret. Par finir il n’a pas résisté !
’’N’est ce pas de l’égoïsme ?’’ : Evidemment que c’est de l’égoïsme. Et pas seulement de Blaise Compaoré, mais aussi des chefs mossis dits Naaba qui ne voulaient pas voir Thomas Sankara même en photo. Ils avaient horreur qu’un silmi-moaga ou peul-mossi soit chef d’état de Burkina !
Par Kôrô Yamyélé