« Oui, on ne fait pas de transformations fondamentales sans un minimum de folie. Dans ce cas, cela devient du non-conformisme, le courage de tourner le dos aux formules connues, celui d’inventer l’avenir. Tout ce qui sort de l’imagination de l’homme est réalisable pour l’homme. Et j’en suis convaincu. »
Pour être un vrai héritier de SANKARA il faut d’abord prendre conscience de la condition réelle du peuple Burkinabè, ensuite il faut aimer profondément ce peuple et ce pays au point d’y consacrer toute sa vie, et il faut enfin se laisser gagner par cette folie anticonformiste de l’action qui permet de peser, d’imaginer et d’oser inventer l’avenir.
Ceux qui nous ont gouverné depuis 1987 sont loin d’être ces dignes héritiers de SANKARA. Pourtant, le Burkina Faso a besoin d’un héritier de cet homme providentiel qui nous a montré le chemin à suivre pour être nous-même.
« Oui, on ne fait pas de transformations fondamentales sans un minimum de folie. Dans ce cas, cela devient du non-conformisme, le courage de tourner le dos aux formules connues, celui d’inventer l’avenir. Tout ce qui sort de l’imagination de l’homme est réalisable pour l’homme. Et j’en suis convaincu. »
Pour être un vrai héritier de SANKARA il faut d’abord prendre conscience de la condition réelle du peuple Burkinabè, ensuite il faut aimer profondément ce peuple et ce pays au point d’y consacrer toute sa vie, et il faut enfin se laisser gagner par cette folie anticonformiste de l’action qui permet de peser, d’imaginer et d’oser inventer l’avenir.
Ceux qui nous ont gouverné depuis 1987 sont loin d’être ces dignes héritiers de SANKARA. Pourtant, le Burkina Faso a besoin d’un héritier de cet homme providentiel qui nous a montré le chemin à suivre pour être nous-même.