Education : La Banque mondiale apporte un financement de 56 milliards de F CFA au Burkina Faso
29 septembre 2020, 12:41, par
Dedegueba SANON
Pour emprunter une formule d’un personnage du belge Hergé, " je dirais même plus", quelle idée de venir donner " cadeau " 56 milliards à l’entrée d’une campagne ? Si c’est vraiment don et que nos enfants et petits-enfants ne vont pas devoir payer la note, Why not ?
Déjà qu’en Afrique les " candidats présidents" utilisent toujours les moyens de l’état pour battre campagne ? Et ils démarrent campagne toujours avant le top départ.
J’ai vu le candidat président apres une longue période d’immobilisme, faire l’effort de tourner dans certaines régions, le PAN aussi a tourné, et pour finir le PM a aussi eu sa part de tournée. Et tous ces mouvements, comme par hasard l’année des élections....? Bon on me dira qu’il y avait le contexte sécuritaire...mais c’est le même contexte pour tous et ce n’est toujours pas géré, pour preuve certaines régions risquent d’être frustrées d’élections.
Si l’opposition parle on dit qu’elle parle, mais l’erreur serait de croire que le peuple burkinabè est demeuré un peuple mouton.
Nous avons tout compris, comme dirait Tiken Jah Fakoli.
Pour emprunter une formule d’un personnage du belge Hergé, " je dirais même plus", quelle idée de venir donner " cadeau " 56 milliards à l’entrée d’une campagne ? Si c’est vraiment don et que nos enfants et petits-enfants ne vont pas devoir payer la note, Why not ?
Déjà qu’en Afrique les " candidats présidents" utilisent toujours les moyens de l’état pour battre campagne ? Et ils démarrent campagne toujours avant le top départ.
J’ai vu le candidat président apres une longue période d’immobilisme, faire l’effort de tourner dans certaines régions, le PAN aussi a tourné, et pour finir le PM a aussi eu sa part de tournée. Et tous ces mouvements, comme par hasard l’année des élections....? Bon on me dira qu’il y avait le contexte sécuritaire...mais c’est le même contexte pour tous et ce n’est toujours pas géré, pour preuve certaines régions risquent d’être frustrées d’élections.
Si l’opposition parle on dit qu’elle parle, mais l’erreur serait de croire que le peuple burkinabè est demeuré un peuple mouton.
Nous avons tout compris, comme dirait Tiken Jah Fakoli.