Présidentielle 2020 au Burkina : Le MPC quitte la majorité et apporte son soutien à l‘opposition
11 septembre 2020, 08:13, par
caca
Malheureusement, se ravise M. Ouédraogo, durant les cinq années de mandat du président Kaboré, le Burkina a perdu le contrôle d’un tiers de son territoire. « Environ 4 000 Burkinabè et amis du Burkina ont été tués, plus d’un million de nos concitoyens sont déplacés internes, tandis que plus de trois millions d’autres concitoyens sont touchés par une crise alimentaire. Plus de 4 000 écoles fermées, des centaines de centres de santé non-fonctionnels, une fronde sociale en perpétuelle ébullition, une nation profondément divisée, des massacres communautaires : le bilan du président Kaboré est plus que catastrophique », illustre l’ancien allié du pouvoir, Claude W. Ouédraogo, pour qui, le Burkina est passé d’havre de paix et terre d’espoir à un épicentre d’horreurs.
Voilà un parti éclairé qui sait faire son bilan. Reconnaitre qu’avant la folie des 30 et 31 octobre 2014 était une bêtise humaine c’est reconnaitre également des 27 ans du havre de paix a bénéficié notre pays avec espoir d’un avenir. Aujourd’hui, on parle plus des morts, des écoles fermées, des déplacée internes. Comment un citoyen d’un pays puisse devenu un déplacé interne dans son propre ? Même la pluie devient malédiction avec ce régime quand le ciel ouvre ses vannes.
Malheureusement, se ravise M. Ouédraogo, durant les cinq années de mandat du président Kaboré, le Burkina a perdu le contrôle d’un tiers de son territoire. « Environ 4 000 Burkinabè et amis du Burkina ont été tués, plus d’un million de nos concitoyens sont déplacés internes, tandis que plus de trois millions d’autres concitoyens sont touchés par une crise alimentaire. Plus de 4 000 écoles fermées, des centaines de centres de santé non-fonctionnels, une fronde sociale en perpétuelle ébullition, une nation profondément divisée, des massacres communautaires : le bilan du président Kaboré est plus que catastrophique », illustre l’ancien allié du pouvoir, Claude W. Ouédraogo, pour qui, le Burkina est passé d’havre de paix et terre d’espoir à un épicentre d’horreurs.
Voilà un parti éclairé qui sait faire son bilan. Reconnaitre qu’avant la folie des 30 et 31 octobre 2014 était une bêtise humaine c’est reconnaitre également des 27 ans du havre de paix a bénéficié notre pays avec espoir d’un avenir. Aujourd’hui, on parle plus des morts, des écoles fermées, des déplacée internes. Comment un citoyen d’un pays puisse devenu un déplacé interne dans son propre ? Même la pluie devient malédiction avec ce régime quand le ciel ouvre ses vannes.