Fonds de réhabilitation et de fermeture des mines : Certaines sociétés minières ne contribuent pas, révèle un rapport de l’ONG Orcade

(...) réparer ces dégâts que nous n’avons pas causer [sic]

Oui M. HIEN, nous allons tous payer pour des dégâts que nous n’avons pas causés. Et ce n’est pas tout ! Beaucoup de mines (comme Kalsaka en son temps) s’installent sur des terres cultivables (l’exploitation minière se fait même dans certaines forêts du Faso) ! On dégrade donc des hectares (destinés à nourrir le peuple) pour avoir quelques grammes d’or et de zinc qui nous procureront des finances dans le court terme. Dans le long terme, les générations futures vont souffrir énormément : non seulement il n’y aura plus de mines à exploiter pour avoir de l’argent, mais il n’y aura plus non plus assez de terres cultivables pour nourrir une population nombreuse ! Ces générations futures n’auront donc plus d’argent et assez de nourriture. Ce sera terrible !

Nous avons tous appris, à l’école primaire, dans les années 1990, que le Burkina Faso regorge de ressources minières telles que l’or, le manganèse, le cuivre, le zinc, etc. Mais si nos aïeux ne les ont pas exploitées, ce n’est pas qu’ils sont moins intelligents que nous : c’est parce qu’ils les ont laissées pour les générations futures. En moins de 50 ans, on va épuiser tous nos filons avec à la clé des terres dégradées et impropres à l’agriculture.

Mais comme on le dit actuellement, allons seulement.