Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Interdiction de couverture médiatique des activités politiques : « Je reproche au CSC d’avoir mal interprété la loi », lance le journaliste-éditorialiste Lookmann Sawadogo
6 août 2020, 08:18, par
Minnayi
Je pense que les gens ne lisent pas assez ou lisent mal. Il suffit de bien lire l’interview pour s’apercevoir que M. Lookman SAWADOGO a raison. Et mieux, même si ce n’était pas le cas, en tant qu’acteur des media, il est libre de donner son avis sur la décision prise par le CSC sur le fondement de l’article 68 bis du code électoral.
Personnellement, je connais bien l’histoire de cet article ajouté sous la transition et l’esprit c’était effectivement d’empêcher que les autorités publiques utilisent les biens et services publics pour battre campagne, par exemple, on construit une route depuis un an et c’est à l’approche des élections qu’on va inaugurer la route avec toute la propagande qui suit. Et très souvent, on entend des journalistes zélés dirent que c’est le Président ou c’est le ministre qui offert tel ou tel autre ouvrage, or c’est avec l’argent public.
Je pense qu’il faut toujours bien lire avant de réagir sinon on devient ridicule. Il faut surtout éviter de personnaliser les choses, nous devrons plus nous intéresser aux idées des autres pour les critiquer.
On attend le vrai test avec la caravane du PNDES, qui pour moi est une bonne chose puisque le Gouvernement est en droit de communiquer sur ses réalisations, mais le timing peut poser problème et surtout l’utilisation des media publics en cette période. Le comportement du CSC fasse à cette activité ferait jurisprudence.
Je pense que les gens ne lisent pas assez ou lisent mal. Il suffit de bien lire l’interview pour s’apercevoir que M. Lookman SAWADOGO a raison. Et mieux, même si ce n’était pas le cas, en tant qu’acteur des media, il est libre de donner son avis sur la décision prise par le CSC sur le fondement de l’article 68 bis du code électoral.
Personnellement, je connais bien l’histoire de cet article ajouté sous la transition et l’esprit c’était effectivement d’empêcher que les autorités publiques utilisent les biens et services publics pour battre campagne, par exemple, on construit une route depuis un an et c’est à l’approche des élections qu’on va inaugurer la route avec toute la propagande qui suit. Et très souvent, on entend des journalistes zélés dirent que c’est le Président ou c’est le ministre qui offert tel ou tel autre ouvrage, or c’est avec l’argent public.
Je pense qu’il faut toujours bien lire avant de réagir sinon on devient ridicule. Il faut surtout éviter de personnaliser les choses, nous devrons plus nous intéresser aux idées des autres pour les critiquer.
On attend le vrai test avec la caravane du PNDES, qui pour moi est une bonne chose puisque le Gouvernement est en droit de communiquer sur ses réalisations, mais le timing peut poser problème et surtout l’utilisation des media publics en cette période. Le comportement du CSC fasse à cette activité ferait jurisprudence.