" Si on ne fait pas de recettes, on ne peut pas avoir de résultat bénéficiaire", explique la Directrice générale de la société burkinabè de télédiffusion

Pour la défense de la SBT, ce déficit est normal et logique. Mon humble avis extérieur et indépendant : le Burkina Faso est à ma connaissance le premier pays d’Afrique de l’ouest francophone à avoir coupé l’analogique pour faciliter l’émergence de l’écosystème numérique/digital. Tous les autres pays sont en retard. Sur le dossier TNT, le pays est pionnier dans de nombreux domaines. Je passe les détails qui n’intéressent pas grand monde.
Retour sur investissement de la TNT : sur 25-30 ans (fait universel). 1er bénéfice : c’est le dividende numérique, soit la vente de licences télécoms (4G, 5G etc.).
Prochaine étape pour la SBT : poursuivre la communication sur la commercialisation des récepteurs TNT, lancer les services annexes payants et savoir combien de foyers utilisent la TNT publique.
Bravo à la SBT pour le remarquable travail de couverture du pays 98%.