Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Résidents de la zone non-lotie de Garghin : « Nous nous donnerons les moyens, jusqu’à l’ultime sacrifice » selon le collectif des plaignants
6 juillet 2020, 17:04, par
jeunedame seret
Ctioyen Lambda les gens ont raison ; et toi aussi. Car ils sont toujours bien écoutés longuement et ils auront au moins le plaisir de ralentir certaines activités du pays. Car leur État n’a ni personnalité ni fermeté. Ils savent que même s’ils sortent revendiquer des camions et chauffeurs pour déménager à leur gré, l’État les écoutera et leur donnera raison pour son marketing. Au Faso le gouvernement est comme un pasteur. Sans autorité sans rigueur. Tous ceux qui parlent de détournements de parcelles ici c’est parce qu’ils n’en ont pas profité ; sinon ils n’en diront aucun mot. Mais on ne peut pas satisfaire tout le monde. Citoyen Lambda, ce n’est pas la revendication en tant que telle qui est maladive ; ce qui est maladif c’est ce laisser-aller, cette nonchalance de notre gouvernement. Un État qui gouverne les émotions. Un État sans sérieux qui flotte et qui hésite dans ses législations parce son objectif n’est pas le bien être de tous, mais celui de ceux qui querellent dehors longuement. Et bonjour la pagaille.
Ctioyen Lambda les gens ont raison ; et toi aussi. Car ils sont toujours bien écoutés longuement et ils auront au moins le plaisir de ralentir certaines activités du pays. Car leur État n’a ni personnalité ni fermeté. Ils savent que même s’ils sortent revendiquer des camions et chauffeurs pour déménager à leur gré, l’État les écoutera et leur donnera raison pour son marketing. Au Faso le gouvernement est comme un pasteur. Sans autorité sans rigueur. Tous ceux qui parlent de détournements de parcelles ici c’est parce qu’ils n’en ont pas profité ; sinon ils n’en diront aucun mot. Mais on ne peut pas satisfaire tout le monde. Citoyen Lambda, ce n’est pas la revendication en tant que telle qui est maladive ; ce qui est maladif c’est ce laisser-aller, cette nonchalance de notre gouvernement. Un État qui gouverne les émotions. Un État sans sérieux qui flotte et qui hésite dans ses législations parce son objectif n’est pas le bien être de tous, mais celui de ceux qui querellent dehors longuement. Et bonjour la pagaille.