Le recours à l’institution coloniale « Chef de canton » est-il une avancée ou une régression ?
17 juin 2020, 18:47, par
Toto le Neuf
Réflexion belle, utile et opportune. Il est clair que la "chefferie de canton" est une institution coloniale devenue obsolète. Elle n’a plus, ni fondement, ni sens, ni utilité et son maintien est tous simplement dangereux car elle continue d’éveiller et d’entretenir les appétits des assoiffés de pouvoir qui y trouvent des prétextes de domination et d’exploitation des autres, alors qu’en fait, il ne s’agit plus que d’un "pouvoir" complètement vide de sens, de fondement et de valeur sociale.
IL EST URGENT QUE L’ÉTAT DÉCRÈTE SON ABOLITION. Et la procédure est très simple :
1) Recenser ceux qui, encore aujourd’hui, sont reconnus dans leurs localités comme "chef de canton" et leur concéder le privilège de jouir jusqu’à leur mort du titre honorifique de "dernier chef de canton".
2) Décréter l’abolition de cette chefferie. (Ce qui veut dire que sur toute l’étendue du territoire burkinabè, il est désormais interdit d’instituer des chef de canton).
Réflexion belle, utile et opportune. Il est clair que la "chefferie de canton" est une institution coloniale devenue obsolète. Elle n’a plus, ni fondement, ni sens, ni utilité et son maintien est tous simplement dangereux car elle continue d’éveiller et d’entretenir les appétits des assoiffés de pouvoir qui y trouvent des prétextes de domination et d’exploitation des autres, alors qu’en fait, il ne s’agit plus que d’un "pouvoir" complètement vide de sens, de fondement et de valeur sociale.
IL EST URGENT QUE L’ÉTAT DÉCRÈTE SON ABOLITION. Et la procédure est très simple :
1) Recenser ceux qui, encore aujourd’hui, sont reconnus dans leurs localités comme "chef de canton" et leur concéder le privilège de jouir jusqu’à leur mort du titre honorifique de "dernier chef de canton".
2) Décréter l’abolition de cette chefferie. (Ce qui veut dire que sur toute l’étendue du territoire burkinabè, il est désormais interdit d’instituer des chef de canton).