Présumés terroristes morts à Fada N’Gourma : « Tous les douze ont été exécutés de manière systématique », confie le parent d’une victime
19 mai 2020, 08:29, par
Wendmi
Le problème dans tout cet imbroglio est que nous tous n’acceptons pas dire la vérité. Que ce soit la CISC, l’Etat (à travers les FDS engages sur le terrain et dans les enquêtes), les populations locales victimes directes des actes terroristes, chacun à son niveau connait exactement le profil des agresseurs dans les différents villages et hamos de cultures. Tant que chacun n’acceptera pas dire sans faux fuyants la vraie vérité, on ne pourra pas s’en sortir. On n’a pas besoin d’être spécialiste du terrorisme pour savoir qui est les porteurs d’armes aujourd’hui. Chacun de nous vivant dans les villes, a laissé des parents dans les villages et hamos de culture, qui au quotidien relatent les faits et gestes des certaines personnes qui ont rejoint le camp du terrorisme. Le Burkina est un pays de savane comme on aime le dire ; tout ce sait et rien ne peut échapper à la vigilance des populations. Acceptons d’appeler le chat par son nom et posons les vrais débats sur la table de discussion afin de trouver des solutions idoines.
Le problème dans tout cet imbroglio est que nous tous n’acceptons pas dire la vérité. Que ce soit la CISC, l’Etat (à travers les FDS engages sur le terrain et dans les enquêtes), les populations locales victimes directes des actes terroristes, chacun à son niveau connait exactement le profil des agresseurs dans les différents villages et hamos de cultures. Tant que chacun n’acceptera pas dire sans faux fuyants la vraie vérité, on ne pourra pas s’en sortir. On n’a pas besoin d’être spécialiste du terrorisme pour savoir qui est les porteurs d’armes aujourd’hui. Chacun de nous vivant dans les villes, a laissé des parents dans les villages et hamos de culture, qui au quotidien relatent les faits et gestes des certaines personnes qui ont rejoint le camp du terrorisme. Le Burkina est un pays de savane comme on aime le dire ; tout ce sait et rien ne peut échapper à la vigilance des populations. Acceptons d’appeler le chat par son nom et posons les vrais débats sur la table de discussion afin de trouver des solutions idoines.