Godefroy Bazié, journaliste à la retraite : « Un journaliste, c’est la reconnaissance du public, et non celle de l’autorité ou des politiciens »

C’est vous Mr Godefroy Bazié, les Gnanou Yaya Taminbi, les Isssaka Iuc kourouma (PAA), les René Sebgo, les Nathalie Somé, les Mafarma Sanogo, les Danielle Bougayiine, les Zanga Issoufou Ouattara (PAA), les Baba Hama, les Klotan Samaké, les Innoussa Kinda, les Harouna Kinda, les Jeanne Coulibaly et j’en passe et bien d’autres de la presse écrite comme Norbert Zongo(PAA), Sita Tarbagdo, et j’en passe qui nous ont donné l’envie de nous intéresser au métier. Les journalistes de la Cote d’ivoire comme les Levi Niamkey, les Noufoué Nabi nous ont aussi inspiré. (Excusez si j’ai écorché des noms). Merci cher grand frère. Mais si j’ai une doléance c’est la suivante : reposez-vous et reprenez le micro ou la plume pour continuer à éduquer et à enseigner les jeunes frères et fils et les populations à travers un organe.
Vous l’avez bien dit : " tout le monde ne parle que du coronavirus. Alors que le sujet, c’est vrai, il doit être évoqué, mais il ne doit pas être le seul sujet ; parce qu’on a toujours les attaques terroristes qui sévissent, des maladies qui font mal aux Burkinabè....Donc, si nous on s’est laissé embarquer, ça devient une sorte de spirale de laquelle on ne sort pas. C’est le coronavirus qui nous impose son tempo et nous, nous courons après ça. Et moi, je trouve que souvent, on en fait trop" Les jeunes journalistes ne cherchent plus. Ils broutent l’herbe qui est à côté. Et puis cher frère dites-moi ce que ce type de la tété Burkina info raconte chaque jour. ’’Ami de la démocratie et de la bonne gouvernance’’. Ce type raconte quoi même ? C’est du journalisme ça ? C’est lui qui n’est pas éditorialiste, ni analyste, ni un commendataire. MAIS comme le profane ne connait pas, il pense que c’est bien. Mais dans le milieu de la presse, c’est un grand n’importe quoi.