Covid-19 : Les appels au 3535 sont passés de 50 000 à 14 000 par jour
30 avril 2020, 17:47, par
Le Vigilent
Mon cher ami @Diongwale, pourquoi voulez-vous que le Burkina enregistre le même nombre de cas suspects ou positifs au COVID-19 que les États Unis ? N’allez pas si loin pour voir des différences. Cherchez d’abord à savoir pourquoi il y plus de cas à Ouaga qu’a Roma ou Kankalaba. Vous pourrez aussi chercher a savoir ce que les gens de Tougan ou de plus.que ceux de Ouaga.
Dites-vous que dans les grandes améliorations avec de très fortes densités de population, le passage du virus d’un individu à un autre est plus facile que dans les localités avec des populations dispersées. A New York, aux États Unis on ne parle pas de « chacun à droit à sa parcelle » comme cela se chante chaque jour à Ouaga. Dans les quartiers populaires d’Amérique, d’Asie ou d’Europe certaines rues le nombre de personnes au mètre carré est aussi important que ce que vous trouvez dans nos marchés. Donc, les gens se frottent plus et chaque malade dans la rue peut transmettre le virus à un plus grand nombre de personnes que ne pourrait le faire un malade dans les conditions actuelles du Burkina. Et puis, le climat froid aussi est plus favorable une survie plus longue du virus sur les différents supports.
Mon cher ami @Diongwale, pourquoi voulez-vous que le Burkina enregistre le même nombre de cas suspects ou positifs au COVID-19 que les États Unis ? N’allez pas si loin pour voir des différences. Cherchez d’abord à savoir pourquoi il y plus de cas à Ouaga qu’a Roma ou Kankalaba. Vous pourrez aussi chercher a savoir ce que les gens de Tougan ou de plus.que ceux de Ouaga.
Dites-vous que dans les grandes améliorations avec de très fortes densités de population, le passage du virus d’un individu à un autre est plus facile que dans les localités avec des populations dispersées. A New York, aux États Unis on ne parle pas de « chacun à droit à sa parcelle » comme cela se chante chaque jour à Ouaga. Dans les quartiers populaires d’Amérique, d’Asie ou d’Europe certaines rues le nombre de personnes au mètre carré est aussi important que ce que vous trouvez dans nos marchés. Donc, les gens se frottent plus et chaque malade dans la rue peut transmettre le virus à un plus grand nombre de personnes que ne pourrait le faire un malade dans les conditions actuelles du Burkina. Et puis, le climat froid aussi est plus favorable une survie plus longue du virus sur les différents supports.