L’Afrique est encore absente au carrefour des grandes décisions

Pour être présent au carrefour des grandes décisions, il faut que l’on nous prenne au sérieux.
Déjà que nous ne somme pas aimés, il faut accepter et le reconnaitre ; on se laisse derrière comme disait l’autre.
En interne, il nous faut travailler et sérieusement nos mentalités, arreter la politique de la main tendue quand cela n’est pas nécessaire.
Au passage, rappelons ces chefs d’états qui pour un oui ou pour un non disaient : Nous allons faire venir un expert de la france. Jusqu’à ce qu’un jeune président disent/ Alors faite venir un expert pour gouverner votre pays !
Nous croyons êtres des travailleurs alors que nous somme paresseux.
C’est la même chose au niveau des états et des gouvernants. On ne doit pas se fatigués.

Un prêtre catholique (blanc)disait un jour à un étudiant africain : Si tu es malade, on peut s’occuper de toi, t’apporter les cours chez toi, te trouver à manger etc. Mais si tu dis être fatigué, c’est tampis pour toi. Regardes, nous vous avons vendu, coloniser, exploité de plusieurs façons ; maintenant que l’on vous a laissé ce semblant de liberté et qu’il y a des franges pour vous affranchir totalement, vous dites êtres fatigués.