Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Situation nationale : « Ce peuple n’a pas envie de s’en sortir ; ce ne sont pas les solutions qui manquent », pose l’ambassadeur Mousbila Sankara
11 avril 2020, 22:35, par
jeunedame seret
Voilà une belle bibliothèque bien fournie à conserver et à exploiter en permanence. Malheureusement, nous Burkinabè, nous paraissons ignorants ; alors qu’il nous manque une grande estime de soi pour réussir notre orientation avec des appuis. Ce papa a raison de dire que « ce peuple n’a pas envie de s’en sortir ; ce ne sont pas les solutions qui manquent. ». Je me demande si RMCK et sa suite lisent souvent ces reportages. J’aimerais un jour que Faso.net leur fasse une autre entrevue avec retour sur ces points et phrases de papa Mousbila Sankara. Juste pour voir leur appréciation ou réaction. Vraiment, on a des têtes et des richesses qu’on gère mal. Regrettable de nous voir dans ces confinements et conflits, à cause de nos lacunes cérébrales alors que des remèdes plus intellectuels sont à côté. Vraiment, « La première ressource pour aller au développement, c’est l’homme. Or, au Burkina, il y a des hommes, mais ils sont mal utilisés ou mis à l’écart. ». Mais comment interpeller les hommes au pouvoir à temps ? Longue vie à papa Mousbila Sankara et pareils ; pour notre chance de récupération.
Voilà une belle bibliothèque bien fournie à conserver et à exploiter en permanence. Malheureusement, nous Burkinabè, nous paraissons ignorants ; alors qu’il nous manque une grande estime de soi pour réussir notre orientation avec des appuis. Ce papa a raison de dire que « ce peuple n’a pas envie de s’en sortir ; ce ne sont pas les solutions qui manquent. ». Je me demande si RMCK et sa suite lisent souvent ces reportages. J’aimerais un jour que Faso.net leur fasse une autre entrevue avec retour sur ces points et phrases de papa Mousbila Sankara. Juste pour voir leur appréciation ou réaction. Vraiment, on a des têtes et des richesses qu’on gère mal. Regrettable de nous voir dans ces confinements et conflits, à cause de nos lacunes cérébrales alors que des remèdes plus intellectuels sont à côté. Vraiment, « La première ressource pour aller au développement, c’est l’homme. Or, au Burkina, il y a des hommes, mais ils sont mal utilisés ou mis à l’écart. ». Mais comment interpeller les hommes au pouvoir à temps ? Longue vie à papa Mousbila Sankara et pareils ; pour notre chance de récupération.