Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Royaume de Ouagadougou : Des frictions entre le Gounghin Naaba et le Laarlé au sujet d’un livre à paraitre
15 avril 2020, 10:12, par
Ka
’’’A l’internaute Ouédraogo Mamadou :’’’ Ta suggestion a été donnée par plusieurs des internautes. Et je crois, qui ne regarde que moi, ’’ si le Gounghin Naaba et le Laarlé Naaba ont décidé de laver leur linge sale en publique, c’est qu’il n’y a pas eu une entente entre le Moogho Naaba et son gardien des tombes.’’
Pourtant celui qui veut écrire l’histoire du royaume des mossis pendant que celui ayant droit qui est le Moogho Naaba est vivant, cette personne est manipuler par ceux qui sont en action pour les querelles ethniques des politiques amateurs de notre pays, surtout pour les pouvoirs régionaux qui constituent un obstacle considérable au développement du pays que nous aimons tous. Et je dis qu’au-delà de la disparition brutale de nos cultures a cause de la colonisation, certaines sont vivantes aux côtés du Moogho Naaba pour consolider la paix et la réconciliation nationale : Des exemple ne manques pas, a ne citer ’’’quand des officiers de notre armée ont du feu aux fesses, ils escaladent le mur du palais du Moogho Naaba pour sauver leur peau.’’’
Et brader les interdits des continuités de nos coutumes, c’est comme s’assoir sur une branche qu’on est en train de couper, ou se mettre à la place d’un enfant qui monte plus haut sans savoir comment redescendre.
Pourtant notre culture et ses interdits sont la seule valeur pour identifier notre peuple. Et ceux qui sont les porteurs de ses valeurs culturels sont nos chefs coutumiers comme le Moogho Naaba et son équipe, dont leurs continuités des coutumes de l’ancêtre au grand-père, allant au père en fils, restent une référence de notre jeune démocratie qui cherche son vrai chemin. Et tout dont je demande à l’équipe du palais royale du royaume mossi, surtout à ceux qui se rebellent, est de se conduire dans la sagesse et nous montrer la bonne voie à suivre pour sauver notre culture qui disparaît à petit feu.
’’’A l’internaute Ouédraogo Mamadou :’’’ Ta suggestion a été donnée par plusieurs des internautes. Et je crois, qui ne regarde que moi, ’’ si le Gounghin Naaba et le Laarlé Naaba ont décidé de laver leur linge sale en publique, c’est qu’il n’y a pas eu une entente entre le Moogho Naaba et son gardien des tombes.’’
Pourtant celui qui veut écrire l’histoire du royaume des mossis pendant que celui ayant droit qui est le Moogho Naaba est vivant, cette personne est manipuler par ceux qui sont en action pour les querelles ethniques des politiques amateurs de notre pays, surtout pour les pouvoirs régionaux qui constituent un obstacle considérable au développement du pays que nous aimons tous. Et je dis qu’au-delà de la disparition brutale de nos cultures a cause de la colonisation, certaines sont vivantes aux côtés du Moogho Naaba pour consolider la paix et la réconciliation nationale : Des exemple ne manques pas, a ne citer ’’’quand des officiers de notre armée ont du feu aux fesses, ils escaladent le mur du palais du Moogho Naaba pour sauver leur peau.’’’
Et brader les interdits des continuités de nos coutumes, c’est comme s’assoir sur une branche qu’on est en train de couper, ou se mettre à la place d’un enfant qui monte plus haut sans savoir comment redescendre.
Pourtant notre culture et ses interdits sont la seule valeur pour identifier notre peuple. Et ceux qui sont les porteurs de ses valeurs culturels sont nos chefs coutumiers comme le Moogho Naaba et son équipe, dont leurs continuités des coutumes de l’ancêtre au grand-père, allant au père en fils, restent une référence de notre jeune démocratie qui cherche son vrai chemin. Et tout dont je demande à l’équipe du palais royale du royaume mossi, surtout à ceux qui se rebellent, est de se conduire dans la sagesse et nous montrer la bonne voie à suivre pour sauver notre culture qui disparaît à petit feu.