Mise en quarantaine de la chloroquine au Burkina : Le ministère de la santé explique
26 mars 2020, 10:56, par
Bereba
Depuis les indépendances, nous sommes restés totalement dépendants de ces pharmaceutiques occidentaux.
N’est ce pas le moment de revisiter les chantiers de notre Héros national , le Président Sankara, qui prônait l’abolition de la main mendiante pour l’avènement d’un développement endogène.
Que notre Gouvernement en tire les leçons pour mieux développer, organiser et former les tradipraticiens et que l’on arrête aussi de les diaboliser.
C’est quand même ironique :
toutes les substances curatives des pharmaceutiques viennent de nos forêts ou s’y trouvent mais on s’est bien fait avoir par les blancs :
Ils nous ont formatés à détester nos propres produits thérapeutiques locaux afin que nous les mettions à leur disposition comme matières premières.
Hélas, nous avons mordu à leur hameçon, mais l’heure est de s’en défaire maintenant et pour toujours !!!
Produisons, testons, homologuons, légiférons et consommons les produits de nos pharmaceutiques traditionnels de chez nous.
Que nos "Didier Raoult" burkinabé pour une fois se lèvent pour notre santé publique !
Depuis les indépendances, nous sommes restés totalement dépendants de ces pharmaceutiques occidentaux.
N’est ce pas le moment de revisiter les chantiers de notre Héros national , le Président Sankara, qui prônait l’abolition de la main mendiante pour l’avènement d’un développement endogène.
Que notre Gouvernement en tire les leçons pour mieux développer, organiser et former les tradipraticiens et que l’on arrête aussi de les diaboliser.
C’est quand même ironique :
toutes les substances curatives des pharmaceutiques viennent de nos forêts ou s’y trouvent mais on s’est bien fait avoir par les blancs :
Ils nous ont formatés à détester nos propres produits thérapeutiques locaux afin que nous les mettions à leur disposition comme matières premières.
Hélas, nous avons mordu à leur hameçon, mais l’heure est de s’en défaire maintenant et pour toujours !!!
Produisons, testons, homologuons, légiférons et consommons les produits de nos pharmaceutiques traditionnels de chez nous.
Que nos "Didier Raoult" burkinabé pour une fois se lèvent pour notre santé publique !