Rupture du gel hydro alcoolique : L’armée burkinabè met le produit à la disposition des populations
25 mars 2020, 16:24, par
TIENFO
Vraiment du concret. Il faut que cette production de gel se poursuive même après la pandémie. On lieu de dépendre toujours de l’extérieur, il est temps de mettre à profit l’expertise nationale pour diminuer le coût des produits de première nécessité à défaut de pouvoir augmenter les salaires. Pour le cas particulier du gel, l’armée pourra approvisionner les écoles et les services publics avec une subvention de l’Etat. "Consommons ce que nous produisons, produisons ce que nous consommons" dira Thomas . Valable pour les autres produits. Il faut arrêter d’enrichir l’extérieur. Soyons patriotes pour notre propre bonheur. Avec l’arrivée de LEBS, BRAKINA est de plus en plus respectueux envers l’Etat, ses travailleurs et de la clientèle. Voilà de nouveaux produits accessibles même si les prix des anciens produits n’ont pas baissé. Cette crise sanitaire doit nous obliger à avoir de nouveaux comportements de consommation. La fermeture des frontières ne devrait pas étouffer à court terme.
Vraiment du concret. Il faut que cette production de gel se poursuive même après la pandémie. On lieu de dépendre toujours de l’extérieur, il est temps de mettre à profit l’expertise nationale pour diminuer le coût des produits de première nécessité à défaut de pouvoir augmenter les salaires. Pour le cas particulier du gel, l’armée pourra approvisionner les écoles et les services publics avec une subvention de l’Etat. "Consommons ce que nous produisons, produisons ce que nous consommons" dira Thomas . Valable pour les autres produits. Il faut arrêter d’enrichir l’extérieur. Soyons patriotes pour notre propre bonheur. Avec l’arrivée de LEBS, BRAKINA est de plus en plus respectueux envers l’Etat, ses travailleurs et de la clientèle. Voilà de nouveaux produits accessibles même si les prix des anciens produits n’ont pas baissé. Cette crise sanitaire doit nous obliger à avoir de nouveaux comportements de consommation. La fermeture des frontières ne devrait pas étouffer à court terme.