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Burkina Faso : Yacouba Isaac Zida confirme sa présence au prochain congrès du MPS

17 février 2020, 11:19, par Ka

Mon ami KôRô Yamyélé voilà ce qu’il fallait faire après la transition avec celui qui a dit à la place de la révolution entouré par une jeu-nesse assoiffée d’une alternance saine le 31 Octobre 2014, ‘’’’Que Rien ne Sera comme Avant, l’évangile selon I. Zida.’’’’’ Si les RSS avaient accepté dans leur soupe les leaders de la transition qui sont I. Zida et A. Barry pour continuer radicalement les actions de la transition qui était de balayer tout et recommencer à zero, nous ne serons pas là où nous sommes aujourd’hui. La réussite d’une alternance politique ne se fait pas avec des sentiments des autres, et Zida comme Barry l’on comprise. Malheureusement nous sommes au Burkina dont l’ethnicité fait la loi, et les aînés ont toujours le dernier mot. Au-jourd’hui mon ami Kôrô Yamyélé, sans une révolution comme celui du valeureux Thomas Sankara tout dont tu viens de conseiller a I. Zida de faire sera impossible a 100%. Même si Zida arrivait au pouvoir avec une volonté politique de ravager totale de l’inégalité et les pourris, la plupart des cas, on n’assistera qu’à quelques timides gesticulations pour se donner bonne conscience ou améliorer quelque peu son image vis-à-vis du peuple : Car, comme tu le dis si bien, il y aura l’influence religieuse qui sera aussi un frein puissant pour ce jeune croyant qui déviera son ambition d’être un deuxième Sankara. Ou, pire encore, à une instrumentalisation minutieuse de ceux qui l’on appelé.

Pour conclure mon ami Kôrô Yamyélé : Tout dont tu dis a I. Zida de faire est faisable, mais ce défi demande une préparation, comme nous avons préparé nos révolutions pour l’alternance politique quand on était jeune. Ou rappelle-toi de nos insomnies a Fada après avoir abandonné l’ODP/MT de notre honorable Leader C. O. Ouédraogo pour créer le CDP, un parti de l’espoir détourné par des charognards au gosier large ? Pour te dire que toute chose demande une préparation. Et Zida, ou Laoda, ont un temps devant eux durant les cinq ans à venir pour dire au peuple que tout est possible. Car, nous connaissons notre peuple : Au Burkina : Quand le peuple ne veut pas ça ne se fait pas. Heureux de te lire comme il y a dix ans mon ami Kôrô Yamyélé nationale.


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