Pourquoi des policiers en ambassade ? : Alpha BARRY s’explique
16 février 2020, 19:55, par
Arnaud
Très bonne communication de votre part M. le ministre. Je vous tire mon chapeau ! Effectivement les gens manquent de sagesse au Burkina sinon vous avez raison sur toute la ligne. Ce quiproquo entre deux syndicat témoigne du malaise social au Burkina et rappelle l’urgence de revoir le traitement salarial pour vraiment établir la justice et apaiser les rancœurs. Pour qui connait un peu la situation, savent qu’après les magistrats, les policiers sont les enfants gâtés de la république en terme salariale. J’imagine peut être, qu’à catégorie égale, un policier s’en sort mieux qu’un employé des affaires étrangères au pays voila l’origine du mal quand on sait que le burkinabé aime trop regarder dans le plat de son voisin. Reversé à l’étranger quel sera la différence entre les deux corps de métier...
Le petit hic pour moi, c’est pourquoi avoir laissé la gendarmerie pour choisir la police. La police avec son syndicat, imaginez ce que nous risquons en terme d’indiscipline et même de fuite d’information à l’étranger.
Très bonne communication de votre part M. le ministre. Je vous tire mon chapeau ! Effectivement les gens manquent de sagesse au Burkina sinon vous avez raison sur toute la ligne. Ce quiproquo entre deux syndicat témoigne du malaise social au Burkina et rappelle l’urgence de revoir le traitement salarial pour vraiment établir la justice et apaiser les rancœurs. Pour qui connait un peu la situation, savent qu’après les magistrats, les policiers sont les enfants gâtés de la république en terme salariale. J’imagine peut être, qu’à catégorie égale, un policier s’en sort mieux qu’un employé des affaires étrangères au pays voila l’origine du mal quand on sait que le burkinabé aime trop regarder dans le plat de son voisin. Reversé à l’étranger quel sera la différence entre les deux corps de métier...
Le petit hic pour moi, c’est pourquoi avoir laissé la gendarmerie pour choisir la police. La police avec son syndicat, imaginez ce que nous risquons en terme d’indiscipline et même de fuite d’information à l’étranger.