Burkina Faso : Un rescapé du massacre de Silgadji témoigne
30 janvier 2020, 07:06, par
Le fils de l’homme
Capitaine des cabarets, en effet c’est toi qui ne veut pas comprendre pour la simple raison que tu trouve tes intérêts dans cette situation macabre du pays dont vous êtes responsables.
Selon le récit des rescapés, cela ressemble plus à une vengeance ethnique qu’à une guerre religieuse.
Les massacres de Yirgou et de Banh sont beaucoup plus à l’origine de cette haine ethnique, depuis la Guinée en son temps le responsable des peuhls avait lancé un cri d’alarme sur cette situation où lui pensait que c’était une épuration ethnique qui n’allait pas resté impunie.
Je déplore ici l’incompétence notoire d’un régime agonisant prêt à faire le théâtre du roi Néron, mettre le feu au village et se percher sur la colline voir comment les gens se débattent contre ce feu.
Dans l’histoire du pays et de mémoire d’homme, on a jamais entendue parlé d’un pouvoir comme celui qui est là maintenant. Mais ce n’est qu’une question de temps, mais de grâce arrêté de berner le peuple en le faisant croire ce qui n’est pas juste.
Capitaine des cabarets, en effet c’est toi qui ne veut pas comprendre pour la simple raison que tu trouve tes intérêts dans cette situation macabre du pays dont vous êtes responsables.
Selon le récit des rescapés, cela ressemble plus à une vengeance ethnique qu’à une guerre religieuse.
Les massacres de Yirgou et de Banh sont beaucoup plus à l’origine de cette haine ethnique, depuis la Guinée en son temps le responsable des peuhls avait lancé un cri d’alarme sur cette situation où lui pensait que c’était une épuration ethnique qui n’allait pas resté impunie.
Je déplore ici l’incompétence notoire d’un régime agonisant prêt à faire le théâtre du roi Néron, mettre le feu au village et se percher sur la colline voir comment les gens se débattent contre ce feu.
Dans l’histoire du pays et de mémoire d’homme, on a jamais entendue parlé d’un pouvoir comme celui qui est là maintenant. Mais ce n’est qu’une question de temps, mais de grâce arrêté de berner le peuple en le faisant croire ce qui n’est pas juste.