Histoire du Burkina Faso : « Ma part de vérité », le premier mémoire de l’ancien président Jean-Baptiste Ouédraogo
27 janvier 2020, 11:30, par
ô pays mon beau peuple
Sankara a aimé son pays, son continent et tous les êtres épris de liberté. Ce n’était pas de simple discours Monsieur JB. trois décennie après, enlever du Burkina les cités 1200, an II, an III, et dans les provinces où les cités de la révolution demeurent les seules infrastructures modernes. Les faso dan fani que beaucoup arborent fièrement aujourd’hui ça vient du "consommons burkinabé". Ce qui est bien dans votre livre, c’est le fait de révéler votre propre personnalité. D’abord en bon africain ou mossi, quand quelqu’un est mort on préfère faire ses louanges et taire totalement ses défauts, quand bien même tout le monde sait que le défunt n’était pas un ange. Citez moi un seul être humain, aussi célèbre soit-il de qui on ne peut pas recenser de nombreux défaut. A quoi sert de passer un temps fou pour écrire des évidences ?
Sankara a aimé son pays, son continent et tous les êtres épris de liberté. Ce n’était pas de simple discours Monsieur JB. trois décennie après, enlever du Burkina les cités 1200, an II, an III, et dans les provinces où les cités de la révolution demeurent les seules infrastructures modernes. Les faso dan fani que beaucoup arborent fièrement aujourd’hui ça vient du "consommons burkinabé". Ce qui est bien dans votre livre, c’est le fait de révéler votre propre personnalité. D’abord en bon africain ou mossi, quand quelqu’un est mort on préfère faire ses louanges et taire totalement ses défauts, quand bien même tout le monde sait que le défunt n’était pas un ange. Citez moi un seul être humain, aussi célèbre soit-il de qui on ne peut pas recenser de nombreux défaut. A quoi sert de passer un temps fou pour écrire des évidences ?