Histoire du Burkina Faso : « Ma part de vérité », le premier mémoire de l’ancien président Jean-Baptiste Ouédraogo
27 janvier 2020, 10:26, par
Djognin
Le même JBO était au stade quand Blaise COMPAORE organisait ses journées de pardon. Il n’a jamais levé le petit doigt. Aujourd’hui son aigreur lui remonte à la tête et il décide de détruire le mythe de SANKARA ; c’est peine perdue. Moi j’ai connu la révolution et je vous assure que ça n’a rien à voir avec le désordre qui a suivi après.
Excellence, la révolution vous a terrassé et je consens que ça fait mal, mais évitez surtout de vouloir salir l’image de SANKARA sinon vous allez vous autodétruire la vôtre.
Le même JBO était au stade quand Blaise COMPAORE organisait ses journées de pardon. Il n’a jamais levé le petit doigt. Aujourd’hui son aigreur lui remonte à la tête et il décide de détruire le mythe de SANKARA ; c’est peine perdue. Moi j’ai connu la révolution et je vous assure que ça n’a rien à voir avec le désordre qui a suivi après.
Excellence, la révolution vous a terrassé et je consens que ça fait mal, mais évitez surtout de vouloir salir l’image de SANKARA sinon vous allez vous autodétruire la vôtre.