Histoire du Burkina Faso : « Ma part de vérité », le premier mémoire de l’ancien président Jean-Baptiste Ouédraogo

Comme quoi la vérité rougit les yeux. Lol.

JBO, a eu le courage de donner le ton. J’espère seulement que les langues vont se délier sans crainte. Car jusqu’à présent on a l’impression qu’il n’y a qu’un seul discours qu’il faut tenir sur cette période de notre histoire.

Allez les Kôrô, les geôles du conseil, de la sureté, de la DST, du camp de Kamboinsin, des permanences CDR, les poteaux N°10, 20...., les dégagements, suspensions, licenciement pour propos anti ou contrerévolutionnaire, ont complètement disparu du paysage politique de notre pays. Vous pouvez donc tout nous dire sans aucune crainte.
Haro ! déclassifier tout Koro, vous nous devez ça au moins.