Histoire du Burkina Faso : « Ma part de vérité », le premier mémoire de l’ancien président Jean-Baptiste Ouédraogo
26 janvier 2020, 17:55, par
le poignard
Je viens donner mon ressenti suite à la réaction de cet internaute qui parle de décontruction de mythe. Sankara est loin d’être un mythe on le connait par ses oeuvres. Et même quand on déconstruit le mythe c’est qu’on a quelque chose de plus raisonné à proposer à l’histoire.Que JBO nous propose aujourd’hui un modèle de lutte contre le terrorisme.Sankara au moins nous a défait du terrorisme colonialiste. Il a ose affronter la puissance coloniale face à face pour leur dire haut et fort ce qu’il pensait.Il avait certes des défauts comme tout homme mais ses qualités transcendaient ses défauts.Voilà ce qui fait son mérite.C’était un homme de conviction qui n’attendait pas quarantes ans pour dire ou réveler ses convictions.Comme disait bien l’autre lorsque nous indexons un individus pour dire qu’il est manipulateur ou ceci les trois doigts se retournent contre nous comme pour dire que peut-être nous aurions biens de choses à nous reprocher que de vouloir accuser les autres.
Je viens donner mon ressenti suite à la réaction de cet internaute qui parle de décontruction de mythe. Sankara est loin d’être un mythe on le connait par ses oeuvres. Et même quand on déconstruit le mythe c’est qu’on a quelque chose de plus raisonné à proposer à l’histoire.Que JBO nous propose aujourd’hui un modèle de lutte contre le terrorisme.Sankara au moins nous a défait du terrorisme colonialiste. Il a ose affronter la puissance coloniale face à face pour leur dire haut et fort ce qu’il pensait.Il avait certes des défauts comme tout homme mais ses qualités transcendaient ses défauts.Voilà ce qui fait son mérite.C’était un homme de conviction qui n’attendait pas quarantes ans pour dire ou réveler ses convictions.Comme disait bien l’autre lorsque nous indexons un individus pour dire qu’il est manipulateur ou ceci les trois doigts se retournent contre nous comme pour dire que peut-être nous aurions biens de choses à nous reprocher que de vouloir accuser les autres.