Histoire du Burkina Faso : « Ma part de vérité », le premier mémoire de l’ancien président Jean-Baptiste Ouédraogo
26 janvier 2020, 10:49, par
Kaboré
C’est bien d’écrire,c’est aussi bien de parler et dire ce qu’on veut,mais sachons que ce qu’on veut n’est pas ce que l’autre veut.
De toutes les façons,le docteur Jean Baptiste Ouedraogo,s’il est sincère,dirait haut et fort qu’il n’a jamais aimé Sankara parce qu’il n’est pas parti du pouvoir volontairement et tout le monde le sait.
Sankara était un homme (un être humain) comme tout autre,avait donc des qualités et des défauts et rien d’anormal ;Mais,l’histoire retiendra que même avec ses défauts,il restera immortel car lui au moins aimait son pays,aimait son continent et affrontait l’impérialisme occidental sans peur,tout en sachant qu’il pouvait perdre sa vie.toutes les femmes devraient être fières de cet homme qui a contribué à donner plus d’espoir et de places dans la société Burkinabè.
C’est bien d’écrire,c’est aussi bien de parler et dire ce qu’on veut,mais sachons que ce qu’on veut n’est pas ce que l’autre veut.
De toutes les façons,le docteur Jean Baptiste Ouedraogo,s’il est sincère,dirait haut et fort qu’il n’a jamais aimé Sankara parce qu’il n’est pas parti du pouvoir volontairement et tout le monde le sait.
Sankara était un homme (un être humain) comme tout autre,avait donc des qualités et des défauts et rien d’anormal ;Mais,l’histoire retiendra que même avec ses défauts,il restera immortel car lui au moins aimait son pays,aimait son continent et affrontait l’impérialisme occidental sans peur,tout en sachant qu’il pouvait perdre sa vie.toutes les femmes devraient être fières de cet homme qui a contribué à donner plus d’espoir et de places dans la société Burkinabè.