Histoire du Burkina Faso : « Ma part de vérité », le premier mémoire de l’ancien président Jean-Baptiste Ouédraogo
26 janvier 2020, 06:16, par
Ahmed
Monsieur Ouedraogo si c’est pour ternir l’image de Thomas c’est peine perdue. Un héro n’est pas un ange. La perfection n’est pas de ce monde. Personne n’a dit que Sankara était autre qu’un homme comme vous d’ailleurs. Les jeunes qui l’adorent sans l’avoir connu est fait sur ceux qui l’ont connu et ont écrit sur lui. Sankara est mort si non il aurait donné sa part de vérité. Votre livre est en Burkinabé. Pour vous on en fait trop pour Sankara.
Monsieur Ouedraogo si c’est pour ternir l’image de Thomas c’est peine perdue. Un héro n’est pas un ange. La perfection n’est pas de ce monde. Personne n’a dit que Sankara était autre qu’un homme comme vous d’ailleurs. Les jeunes qui l’adorent sans l’avoir connu est fait sur ceux qui l’ont connu et ont écrit sur lui. Sankara est mort si non il aurait donné sa part de vérité. Votre livre est en Burkinabé. Pour vous on en fait trop pour Sankara.