Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Sahel : « A qui profitent les discours antifrançais ? » s’interroge Guillaume Lafargue, journaliste indépendant
9 janvier 2020, 14:34, par
Dajo
En tous cas, pour l’instant on peut constater que l’Afrique a hérité des mauvaises habitudes françaises qui consistent à tout critiquer, à ne jamais être satisfait, à estimer que ce sont les autres qui sont responsables, que ce soit les étrangers ou le parti au pouvoir.
Il ne faut pas se leurrer : les pays étrangers qui viennent développer l’Afrique ont tous des intentions de profit. Le pire c’est aussi lorsqu’ils amènent leurs produits de très mauvaise qualité, comme les Chinois qui sont expansionnistes y compris en France.
Il faut accepter le passé qu’on ne peut changer et construire l’avenir en étant conscient que nous faisons partie d’un seul monde et chercher ce qui va aider chacun à survivre.
Pour que l’Afrique se développe, il ne faut pas oublier les villages qui ont un handicap majeur, celui de ne pas pouvoir communiquer ensemble, faute d’une langue commune.
Certes, il faut conserver les langues locales mais avoir conscience qu’une langue commune est indispensable.
En tous cas, pour l’instant on peut constater que l’Afrique a hérité des mauvaises habitudes françaises qui consistent à tout critiquer, à ne jamais être satisfait, à estimer que ce sont les autres qui sont responsables, que ce soit les étrangers ou le parti au pouvoir.
Il ne faut pas se leurrer : les pays étrangers qui viennent développer l’Afrique ont tous des intentions de profit. Le pire c’est aussi lorsqu’ils amènent leurs produits de très mauvaise qualité, comme les Chinois qui sont expansionnistes y compris en France.
Il faut accepter le passé qu’on ne peut changer et construire l’avenir en étant conscient que nous faisons partie d’un seul monde et chercher ce qui va aider chacun à survivre.
Pour que l’Afrique se développe, il ne faut pas oublier les villages qui ont un handicap majeur, celui de ne pas pouvoir communiquer ensemble, faute d’une langue commune.
Certes, il faut conserver les langues locales mais avoir conscience qu’une langue commune est indispensable.