Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Extradition de François Compaoré : Des OSC burkinabè demandent à la France de clarifier sa position
12 décembre 2019, 23:23, par
Nabiiga
François Compaoré, faites à autrui ce que vous voulez qu’on vous fasse. C’est aussi simple que cela.
Il ne veut pas rentrer au Burkina, pourtant Burkinabè, né en effet à Ziniare. Mais pourquoi. Pour lui, ce sont ses ennemis qui sont au pouvoir donc, du coup, il n’y aura pas de justice pour lui mais il faut avoir volé les poulets d’un voisin pour savoir où il les gardes d’habitude. Il le sait plus que quiconque, car en son temps, la justice burkinabè se résumait à un seul nom : François Compaoré. Les juges se faisaient nommer à sa guise, une fois nommé, ils étaient au service de la famille Compaoré donc, non seulement était-il intouchable sur le plan social mais aussi juridiquement. Quelqu’un qui se donne de tels droits, qu’est-ce qui peut bien l’empêcher d’assassiner froidement et lâchement des innocents comme Norbert, où encore toute personne qui ne se courbe pas devant lui. Il s’est cru tout permis, il se voyait en Dieu et pour cause : la famille avait la clé du trésor national, il avait ses juges qui n’oseraient juger autrement qu’en sa faveur, il avait une milice de 1,500 hommes qui, à elle seule, détenait 95% pourcent des armes que le contribuable burkinabè se procurait pour sa défense mais qui, au final, défendaient plutôt nulle autre que la famille Compaoré. Enfin, la France doit nous envoyer François, Il doit répondre de ce crime crapuleux qu’il a commis
François Compaoré, faites à autrui ce que vous voulez qu’on vous fasse. C’est aussi simple que cela.
Il ne veut pas rentrer au Burkina, pourtant Burkinabè, né en effet à Ziniare. Mais pourquoi. Pour lui, ce sont ses ennemis qui sont au pouvoir donc, du coup, il n’y aura pas de justice pour lui mais il faut avoir volé les poulets d’un voisin pour savoir où il les gardes d’habitude. Il le sait plus que quiconque, car en son temps, la justice burkinabè se résumait à un seul nom : François Compaoré. Les juges se faisaient nommer à sa guise, une fois nommé, ils étaient au service de la famille Compaoré donc, non seulement était-il intouchable sur le plan social mais aussi juridiquement. Quelqu’un qui se donne de tels droits, qu’est-ce qui peut bien l’empêcher d’assassiner froidement et lâchement des innocents comme Norbert, où encore toute personne qui ne se courbe pas devant lui. Il s’est cru tout permis, il se voyait en Dieu et pour cause : la famille avait la clé du trésor national, il avait ses juges qui n’oseraient juger autrement qu’en sa faveur, il avait une milice de 1,500 hommes qui, à elle seule, détenait 95% pourcent des armes que le contribuable burkinabè se procurait pour sa défense mais qui, au final, défendaient plutôt nulle autre que la famille Compaoré. Enfin, la France doit nous envoyer François, Il doit répondre de ce crime crapuleux qu’il a commis