Marchés financiers au Burkina : Tout savoir sur le trading
24 novembre 2019, 08:10, par
BEOGO
Le descriptif fait par le journaliste concernent les activités des sociétés de trading au Burkina rappellent ce qu’a fait l’escroc MADOFF.
Toute chose égale par ailleurs, en Occident, les Autorités de contrôle des marchés financiers (SEC (US) , BCE (UE)) déconseillent fortement aux personnes physiques et particuliers de spéculer sur le Forex (marché des changes). En effet, il ressort des différentes enquêtes et plaintes que 97% des clients particuliers ressortent perdants. En effet, les particuliers ne disposent pas des outils (intellectuels, informatiques,) pour suivre un marché fortement mondialisé. En outre, le risque d’escroquerie est énorme. Comme ils disent en Occident, les conseillers ne sont pas les payeurs. Quoi qu’il arrive, les sociétés de trading et autres courtiers prendront leurs commissions.
Vous me direz, chacun est libre de faire ce qu’il veut de son argent, mais il serait judicieux que les particuliers burkinabè et notamment les jeunes de trouver d’autres sources d’investissement. Ainsi, par exemple investir dans le obligations de l’Etat burkinabè avec un taux de 6% constituent un placement de beau-père de famille. De même , quasiment toutes les sociétés de la BRVM versent de bons dividendes. En ce moment, les titres cotés ont fortement baissé, donc c’est un point d’entré (ceci n’est pas une incitation).
Le descriptif fait par le journaliste concernent les activités des sociétés de trading au Burkina rappellent ce qu’a fait l’escroc MADOFF.
Toute chose égale par ailleurs, en Occident, les Autorités de contrôle des marchés financiers (SEC (US) , BCE (UE)) déconseillent fortement aux personnes physiques et particuliers de spéculer sur le Forex (marché des changes). En effet, il ressort des différentes enquêtes et plaintes que 97% des clients particuliers ressortent perdants. En effet, les particuliers ne disposent pas des outils (intellectuels, informatiques,) pour suivre un marché fortement mondialisé. En outre, le risque d’escroquerie est énorme. Comme ils disent en Occident, les conseillers ne sont pas les payeurs. Quoi qu’il arrive, les sociétés de trading et autres courtiers prendront leurs commissions.
Vous me direz, chacun est libre de faire ce qu’il veut de son argent, mais il serait judicieux que les particuliers burkinabè et notamment les jeunes de trouver d’autres sources d’investissement. Ainsi, par exemple investir dans le obligations de l’Etat burkinabè avec un taux de 6% constituent un placement de beau-père de famille. De même , quasiment toutes les sociétés de la BRVM versent de bons dividendes. En ce moment, les titres cotés ont fortement baissé, donc c’est un point d’entré (ceci n’est pas une incitation).