Sécurité : Armand Beouindé invite chaque Burkinabè à contribuer à l’effort de guerre en cédant un mois de revenu brut

Monsieur Armand Beouindé sans parti pris je vous dis ici que
le libéralisme conduit inexorablement à la dérive morale : L’homme ne peut pas être libre de faire tout ce qu’il veut, sinon, ça devient du désordre totale : Et je demande au peuple Burkinabé de faire attention au libéralisme des pseudos intellectuels comme vous. Je vous prie de ne pas prendre le peuple Burkinabé pour un idiot ! Vous demandez un peuple qui n’a pas un bon repas par jour de se sacrifier pour vous autres qui aviez 5 repas par jour. Il est temps que vous arrêtiez vos charabias inutiles.

Monsieur Beouindé, vous saviez où trouver l’argent pour acheter les armes et soulager nos FDS, mais vous fermez les yeux pour insulter le peuple opprimé. Je vais vous poser une seule question et si vous arriviez à me répondre vous pouviez continuer à arnaquer le peuple opprimé. ‘’’’’Ma question est qu’en 1998 on voyait traverser la ville à 3 heures du matin toutes sortes d’armes de guerre pour le Liberia ou le pays voisins, et notre pays est cité parmi les premiers acheteurs d’armes au monde quand Blaise Compaoré était au pouvoir : Ou Blaise Compaoré trouvait l’argent pour acheter ces armes pour Taylor, SORO et autres ?’’’’’’

Et si je vous dis que saviez là ou trouverez l’argent pour acheter les armes et aider nos FDS, c’est simple : ’’’’’’’’’’Vous pouviez allez a Pissy et confisquer les cantines pleines d’argent d’un ancien DG de la douane et aider nos FDS. Ou puisé dans les banques de la place les réserves d’une certaine Gando ou François Compaoré de l’argent volé a l’état et qui dorme là. Demandez à un peuple qui n’a pas un bon repas par jour d’aider ceux qui ont 5 bons repas par jour comme vous monsieur Beouindé, je comprends pourquoi l’Afrique continue à être le continent de toutes les calamités quand le niveau de réflexions de ses lettrés est aussi fade et de base envolée. La vérité blesse mais ne tue pas. Et si ce n’est pas Ka qui vous le dit, personne n’osera. Sans rancune.