Départ de Daouda Simboro de l’Assemblée nationale : « Cette démission ne nous a pas trop surpris », Moussa Zerbo, porte-parole de l’UPC

Honorable, il faut que vous vous battez pour que le député ne soit pas esclave du parti politique. Vous conviendrez avec moi que chacune des 45 provinces du Burkina a sa spécificité. Il faudrait nécessairement que si le député pense qu’une loi ne favorise pas sa population qu’il soit autorisé à voter contre la loi et ne suive pas "moutonnement" la consigne de vote imposé par le parti.