Mèches, perruques et autres postiches : Le coup de gueule de Sayouba Traoré
24 octobre 2019, 18:42, par
Teeeltaaba
Merci frère Sayouba
Vous avez touché du doigt un autre phénomène de négation de la femme africaine noire. Si ce ne sont pas les mèches, les ongles, les fonds de teint, les faux cils, ce sont les pommades claicissantes.
La honte ne tue pas la femme africaine car même dans les instances supérieures au sommet de nos états elle ne donne pas le bel exemple. Au Burkina nous avons des ministres qui se depigmentent, portent des mèches et cela n’est pas un exemple pour nos jeunes filles.
Le comble est que dans mon pays le Burkina je connais bien, même tous les concours de beauté ne prennent pas en compte la femme naturelle dans leur critère de sélection des plus belles femmes. Vraiment dommage. Quelle image veut-on donner de la femme africaine ? Si j’étais le responsable d’une télévision surtout nationale, aucune femme qui se depigmente ne présenterait une émission à la télé comme le journal de 20 h. Ça fait honte à la nation.
Merci frère Sayouba
Vous avez touché du doigt un autre phénomène de négation de la femme africaine noire. Si ce ne sont pas les mèches, les ongles, les fonds de teint, les faux cils, ce sont les pommades claicissantes.
La honte ne tue pas la femme africaine car même dans les instances supérieures au sommet de nos états elle ne donne pas le bel exemple. Au Burkina nous avons des ministres qui se depigmentent, portent des mèches et cela n’est pas un exemple pour nos jeunes filles.
Le comble est que dans mon pays le Burkina je connais bien, même tous les concours de beauté ne prennent pas en compte la femme naturelle dans leur critère de sélection des plus belles femmes. Vraiment dommage. Quelle image veut-on donner de la femme africaine ? Si j’étais le responsable d’une télévision surtout nationale, aucune femme qui se depigmente ne présenterait une émission à la télé comme le journal de 20 h. Ça fait honte à la nation.