Nuit des champions : Une citoyenne écrit à l’Association des journalistes sportifs du Burkina à propos de Chantal Compaoré

A supposer que l’auteur de cet écrit aie sa part de raison, tl importe qu’il sache que c’est cela aussi les dures lois du monde. Comme quoi, "Qui tue de l’épée mourra par l’épée" selon l’adage. Autrement dit, on a vu qu’au règne de Chantal, elle avait totalement ravi "la maternité" de la " lutte contre l’excision" à Madame Lamizana, qui l’avait pourtant initiée et dont personne n’évoquait encore le nom.nulle part. Mais voilà qu’avec la rotation de la roue, cette dernière se retrouve encore Dieu merci réhabilitée, et rétablie dans ses droits dont on l’avait grugée. Puisqu’elle a été replacée à l’avant garde de ce "combat" Alors, n’en déplaise à Madame Chantale COMPAORE ! Qu’elle aussi elle reste aujourd’hui à l’ombre dans son petit coin, en attendant le prochain tour de roue, et sans rancune !.