Burkina : Le SYNATIC dénonce des « dérives répressives dans les médias publics »
18 octobre 2019, 06:14, par
Robin Des Sables
Il y a beaucoup de chaines de télévisions et radios de nos jours. Au lieu de travailler à maintenir le cap face à la concurrence qui est très rude, vous vous battez à perdre le peu d’audience que vous avez. Maintenir ces médias publics (sous perfusion) en vie est déjà trop coûteux pour le contribuable. Mettez un peu d’eau dans votre vin ; le pays a assez de problèmes à gérer.
Il y a beaucoup de chaines de télévisions et radios de nos jours. Au lieu de travailler à maintenir le cap face à la concurrence qui est très rude, vous vous battez à perdre le peu d’audience que vous avez. Maintenir ces médias publics (sous perfusion) en vie est déjà trop coûteux pour le contribuable. Mettez un peu d’eau dans votre vin ; le pays a assez de problèmes à gérer.