Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Syndicat des médecins du Burkina (SYMEB) : « Nous en appelons au gouvernement pour une reprise conséquente et sincère du dialogue social »
8 octobre 2019, 10:02, par
Le regard citoyen
C’est indécent de constater que sous le prétexte des revendications salariales( en faite c’est la vraie raison) des organisations syndicales y compris celles des médecins jadis respectés sacrifient tant des humains,( ceux pour qui ils ont prêté serment) aller en gréve.
C’est tout simplement inimaginable et inconcevable de la part d’un tel corps de métier.
Je donne aujourd’hui raison au président Béninois( Patrice. TALON) qui a interdit aux personnels de la santé tout droit de grève.
C’est une nouvelle race d’hommes aux blouses blanches, assoiffés d’argent mais que le gouvernement hélas se voit impuissant d’assumer ses responsabilité en mettant fin à cette récréation qui n"a que trop duré.
Il faut procéder à une retenue des salaires à ceux qui n’ont pas suffisamment la conscience et l’esprit de sacrifice et ne veulent pas travailler : trop c’est trop ! ! !
C’est indécent de constater que sous le prétexte des revendications salariales( en faite c’est la vraie raison) des organisations syndicales y compris celles des médecins jadis respectés sacrifient tant des humains,( ceux pour qui ils ont prêté serment) aller en gréve.
C’est tout simplement inimaginable et inconcevable de la part d’un tel corps de métier.
Je donne aujourd’hui raison au président Béninois( Patrice. TALON) qui a interdit aux personnels de la santé tout droit de grève.
C’est une nouvelle race d’hommes aux blouses blanches, assoiffés d’argent mais que le gouvernement hélas se voit impuissant d’assumer ses responsabilité en mettant fin à cette récréation qui n"a que trop duré.
Il faut procéder à une retenue des salaires à ceux qui n’ont pas suffisamment la conscience et l’esprit de sacrifice et ne veulent pas travailler : trop c’est trop ! ! !