Situation sécuritaire : L’UNAPOL dénonce le mauvais équipement des policiers et convoque une "réunion d’urgence"
14 septembre 2019, 21:05, par
Indjaba
Tu n’as pas honte De parler commé ça ? L’enseignant qui traverse des marres pour aller dans des hameaux de cultures où il donne cours sous des paillotes ? Les médecins qui soignent sans un minimum ? L’infirmier du CSPS du village reculé qui fait 24/24h et 7/7jours pour soigner sans repos et sans équipement adapté etc. On est dans un pays pauvre et chacun doit faire un sacrifice. Entrer à police suppose choisir le métier de l’arme. Métier de l’arme suppose un jour combat et mort par arme. Les gens ont intégré le corps des FDS pour juste être des salariés tout en oubliant les contraintes y afférentes. Discuter avec les anciens combattants des guerres mondiales et ils vous diront dans quelle condition ils ont fait les guerres. Le terrain de guerre ne peut être agréable, rassurant, calme commé un salon d’un hôtel 4 étoiles. L’erreur à été la création d’un syndicat à la police. On ne peut pas non plus donner des armes lourdes à des gens qui grèvent, qui font des mouvements d’humeur, qui sont sans retenue, qui insultent sans réserve leur hiérarchie dans la presse.
Tu n’as pas honte De parler commé ça ? L’enseignant qui traverse des marres pour aller dans des hameaux de cultures où il donne cours sous des paillotes ? Les médecins qui soignent sans un minimum ? L’infirmier du CSPS du village reculé qui fait 24/24h et 7/7jours pour soigner sans repos et sans équipement adapté etc. On est dans un pays pauvre et chacun doit faire un sacrifice. Entrer à police suppose choisir le métier de l’arme. Métier de l’arme suppose un jour combat et mort par arme. Les gens ont intégré le corps des FDS pour juste être des salariés tout en oubliant les contraintes y afférentes. Discuter avec les anciens combattants des guerres mondiales et ils vous diront dans quelle condition ils ont fait les guerres. Le terrain de guerre ne peut être agréable, rassurant, calme commé un salon d’un hôtel 4 étoiles. L’erreur à été la création d’un syndicat à la police. On ne peut pas non plus donner des armes lourdes à des gens qui grèvent, qui font des mouvements d’humeur, qui sont sans retenue, qui insultent sans réserve leur hiérarchie dans la presse.