Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Mali : « Kidal, base arrière et rampe de lancement de plusieurs opérations terroristes », Maman Sambo Sidikou secrétaire permanent du G5 Sahel
12 septembre 2019, 11:46, par
kwiliga
"Les Maliens ont raison de se revolter en disant que si un militaire malien meurt, ils vont brûler une station totale."
Ben dites donc, pas si "tranquillos que ça" !
En partant de ce principe, on n’aurait déjà plus aucune station Total au Faso.
Mais bon, on pourrait ensuite s’attaquer à Sitarail, qui est contrôlé par Boloré, et quand nous aurons arraché le dernier rail, à coté de la dernière gare en flammes, on ira s’en prendre à Brafaso, qui appartient à Castel... euh, non, là quand même, faut pas exagérer, on peut s’attaquer à tout, sauf à la bière.
Puis on pourrait s’en prendre directement aux français que l’on croise dans la rue, on ne les connait pas, mais on n’a qu’à tous les mettre dans le même sac, tous des pourris, qui sous prétextes humanitaires, viennent faire de l’espionnage pour le compte de leur état corrompu, qui est le premier soutien des forces du mal qui endeuillent notre fier pays.
Voilà, je crois que j’ai bien fait le tour.
Et nous les burkinabè, on est tous des gentils, unis les uns aux autres par des liens indéfectibles, ah, oui, j’ai failli oublier, surtout, nous, on est intègre.
"Les Maliens ont raison de se revolter en disant que si un militaire malien meurt, ils vont brûler une station totale."
Ben dites donc, pas si "tranquillos que ça" !
En partant de ce principe, on n’aurait déjà plus aucune station Total au Faso.
Mais bon, on pourrait ensuite s’attaquer à Sitarail, qui est contrôlé par Boloré, et quand nous aurons arraché le dernier rail, à coté de la dernière gare en flammes, on ira s’en prendre à Brafaso, qui appartient à Castel... euh, non, là quand même, faut pas exagérer, on peut s’attaquer à tout, sauf à la bière.
Puis on pourrait s’en prendre directement aux français que l’on croise dans la rue, on ne les connait pas, mais on n’a qu’à tous les mettre dans le même sac, tous des pourris, qui sous prétextes humanitaires, viennent faire de l’espionnage pour le compte de leur état corrompu, qui est le premier soutien des forces du mal qui endeuillent notre fier pays.
Voilà, je crois que j’ai bien fait le tour.
Et nous les burkinabè, on est tous des gentils, unis les uns aux autres par des liens indéfectibles, ah, oui, j’ai failli oublier, surtout, nous, on est intègre.