Le Burkindlim : Une analyse comparative entre la Haute-Volta et le Burkina Faso
22 août 2019, 17:42, par
Nestor HEMA
Merci pour cette belle réflexion. Le burkinabè n’est pas mort. Il existe mais le régime passé et présent tentent de le tuer. Ils sont toujours nombreux ces burkinabè patriotes qui refusent les vols, les détournements, la corruption, le griotisme, le mensonge, la paresse et la calomnie. Malheureusement beaucoup d’être eux sont mis en quarantaine ; s’ils ne sont pas dans un bureau où il n’y a rien à faire ils sont simplement assis à la maison parce qu’on veut pas leurs trouver un poste de travail. Ce qui m’attriste plus dans ce pays c’est que ce sont les fossoyeurs de la République qui remplissent les mosquées, les temples et les églises et qui se pavanent même dans les bureaux pour montrer leur sainteté. Vraiment mon pays est en danger. Ce n’est pas le terrorisme le problème mais la politisation de l’administration.
Merci pour cette belle réflexion. Le burkinabè n’est pas mort. Il existe mais le régime passé et présent tentent de le tuer. Ils sont toujours nombreux ces burkinabè patriotes qui refusent les vols, les détournements, la corruption, le griotisme, le mensonge, la paresse et la calomnie. Malheureusement beaucoup d’être eux sont mis en quarantaine ; s’ils ne sont pas dans un bureau où il n’y a rien à faire ils sont simplement assis à la maison parce qu’on veut pas leurs trouver un poste de travail. Ce qui m’attriste plus dans ce pays c’est que ce sont les fossoyeurs de la République qui remplissent les mosquées, les temples et les églises et qui se pavanent même dans les bureaux pour montrer leur sainteté. Vraiment mon pays est en danger. Ce n’est pas le terrorisme le problème mais la politisation de l’administration.