Burkina : Des soldats tués par un engin piégé sur l’axe Toéni-Loroni

Pour tout commencer, je presente aux familles éplorées mes sincères condoléances. Que la terre libre du Burkina accueille leurs âmes.
On a coutume de dire que le verre qui se trouve dans le fruit qui le pourri, depuis l’avènement du coup d’État du 30 et 31 octobre 2014 le pays a amorcé sa descente aux enfers, ce n’est pas la peine de crier souvent son patriotisme, c’est un concept qu’on né avec on ne le devient pas.

Quand le présent du Faso himself déclare sur des radois étrangères et à la face du monde, que le Burkina ne dispose pas d’armée, et l’élite de l’armée qui était le RSP n’était qu’un tigre sur papier, le premier ministre devant les députés déclare qu’il faut du temps pour s’acheter des armes, quelque soit leurs intentuons j’avoue que ces genres de propos des premiers responsable dun pays dénote leur fuite en avant si non un mépris pour le pays tout entier.
Le ministre de la défense qui cri aux abois accusant tous les partenaires, soient de ne pas vouloir les aider soient de servir leurs propres intérêts, tout cela explique aisément des aveux d’impuissance jamais égalés depuis la création du pays et bien avant.
Le Burkinabè accepte la mort que la honte, c’est ça la vraie devise du pays des hommes intègres.

On ne peut de nos avoir de telles personnes à la tête du pays et vouloir sue nous soyons ce que nous disons ou être ce que nous voulons être.
Au delà de l’aspect politique qui est une couverture pour tous les malpropres dune nation, il y’a que les burkinabè doivent savoir et accepter que la nation est en danger absolue et que rien ne pourra nous sauver sans une cohésion absolue de ses différentes composantes, socle du vivre ensemble.

Tous ceux qui manipulent le peuple dans le seul but de leurs seuls intérêts et ça au non de la politique politicienne qui est devenue leur gagne pain, doivent savoir que l’avenir tout comme l’histoire ne feront jamais d’eux des hommes et des femmes sages. Le pays est à un tournent de son histoire que la politique ne plus être la seule alternative pour sa reconstitution.
Seul le bon sens doit faire de chacun ce qu’il doit être.