> Salif Diallo et l’affaire des 30 millions : "Je ne suis pas l’envoyé du chef de l’Etat"
21 août 2005, 11:08, par
Enver Hoxa
Bravo Salif, pour une fois !
Je suis reconforté par ton aveux :"C’est vrai qu’en cours de chemin, j’ai changé, du point de vue conception, de ma vision des choses". Dans la logique de ton honnêteté, dis enfin au peuple burkinabè, comment cnnaissant le mouvement étudiant, tu en es arrivé à faire tuer DABO BOUKARI, l’étudiant de 7ème année de médecine en mai 1990. De cet autre aveux, tu en sortira plus grandi ! A défaut, sache que certains de tes compagnons de ta vision idéaliste de la politique n’ont pas changé. Pour ceux-ci tu ne restera qu’un assassin jusqu’à la fin de tes jours que la vérité ne sera faite sur la mort de DABO.
Bravo Salif, pour une fois !
Je suis reconforté par ton aveux :"C’est vrai qu’en cours de chemin, j’ai changé, du point de vue conception, de ma vision des choses". Dans la logique de ton honnêteté, dis enfin au peuple burkinabè, comment cnnaissant le mouvement étudiant, tu en es arrivé à faire tuer DABO BOUKARI, l’étudiant de 7ème année de médecine en mai 1990. De cet autre aveux, tu en sortira plus grandi ! A défaut, sache que certains de tes compagnons de ta vision idéaliste de la politique n’ont pas changé. Pour ceux-ci tu ne restera qu’un assassin jusqu’à la fin de tes jours que la vérité ne sera faite sur la mort de DABO.