Statue de Thomas Sankara : « On veut quelque chose de parfait », déclare John Jerry Rawlings
20 juillet 2019, 01:13, par
Markus
Jan Jan, vous n’aimez pas feu Sankara, c’est votre droit. Mais l’accuser de ce que vous ne maîtrisez pas, est inconcevable. Sankara n’est pas sanguinaire. Renseigne toi bien. Il était le président certe. Mais le pays était dirigé à l’époque par quarte personnes. Le numéro deux et ministre de la justice fut celui qui l’a assassiné. Cette même personne fut en même temps, le commandant du CNEC (Centre National d’Entraînement Commandos) de Pô. Ceux la même, qui ont assassiné les Burkinabè pendant et après Sankara.
L’homme peut toujours mentir mais, l’histoire ne ment jamais.
Jan Jan, vous n’aimez pas feu Sankara, c’est votre droit. Mais l’accuser de ce que vous ne maîtrisez pas, est inconcevable. Sankara n’est pas sanguinaire. Renseigne toi bien. Il était le président certe. Mais le pays était dirigé à l’époque par quarte personnes. Le numéro deux et ministre de la justice fut celui qui l’a assassiné. Cette même personne fut en même temps, le commandant du CNEC (Centre National d’Entraînement Commandos) de Pô. Ceux la même, qui ont assassiné les Burkinabè pendant et après Sankara.
L’homme peut toujours mentir mais, l’histoire ne ment jamais.