Affaire CAMES : Première réaction du professeur Soma
16 juillet 2019, 21:09, par
Africa
Bonsoir mala. Mala dans ma langue maternelle signifie "grand frère". A vous lire donc "mala", on peut déduire votre niveau académique. Je vous en félicite. Cependant, je crois que lorsqu’on a été victime de choses telles que vous les décrivez, il est bon d’empêcher ceux qui suivent de vivre les mêmes injustices, mesquineries et brimades. C’est en cela que le Pr Soma fait œuvre utile en déposant une plainte contre des pratiques dont il s’estime victime. Il n’y a rien de pire que l’oppression intellectuelle. Elle doit être combattue partout où elle se manifeste.
Du côté du CAMES, je pense qu’il devrait profiter de cette affaire pour se restructurer de manière à garantir son indépendance par rapport aux politiques. Les délégations à ces CTS devraient être l’affaire des universitaires de chaque pays selon des critères académiques acceptés de tous. L’autorité politique doit se limiter à définir les orientations. Cela nous éviterait de transformer un problème académique en une affaire d’Etat comme cela semble être le cas actuellement.
Bonsoir mala. Mala dans ma langue maternelle signifie "grand frère". A vous lire donc "mala", on peut déduire votre niveau académique. Je vous en félicite. Cependant, je crois que lorsqu’on a été victime de choses telles que vous les décrivez, il est bon d’empêcher ceux qui suivent de vivre les mêmes injustices, mesquineries et brimades. C’est en cela que le Pr Soma fait œuvre utile en déposant une plainte contre des pratiques dont il s’estime victime. Il n’y a rien de pire que l’oppression intellectuelle. Elle doit être combattue partout où elle se manifeste.
Du côté du CAMES, je pense qu’il devrait profiter de cette affaire pour se restructurer de manière à garantir son indépendance par rapport aux politiques. Les délégations à ces CTS devraient être l’affaire des universitaires de chaque pays selon des critères académiques acceptés de tous. L’autorité politique doit se limiter à définir les orientations. Cela nous éviterait de transformer un problème académique en une affaire d’Etat comme cela semble être le cas actuellement.